Chapitre 11 : "t'es un con tu sais ?"

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Ce matin, je suis allée au lycée avec Ymir Sasha et Mikasa.

Nous en avons profité pour discuter.

Mikasa : au fait, Jean a un entraînement ce soir. On va le voir ?

Elles m'ont toutes regardé attendant une réponse positive de ma part.

(T/P) : euh... on s'est disputés...

Sasha : je me disais bien que t'avais perdu la pepite dans tes yeux.

Ymir : pour de la merde encore ?

(T/P) : exact...

Mikasa : viens, ce sera peut-être une occasion de lui parler.

Je finis par céder et nous passons le portail du lycée.

Ymir : tiens quand on parle de lui...

Devant nous se tient un jean qui a son bras autour de Hitch.

Il perd pas de temps le batard...

Étrangement ça m'énerve...

Ça m'énerve beaucoup trop pour que ce sois normal.

Sasha : bon... elle est en partie dans la dispute c'est ça ?

(T/P) : même pas.

Mikasa : Eren donc ?

(T/P) : ouai...

Les filles soupirent en cœur et le grand brun dont on parlait à l'instant arrive derrière moi.

Eren : oula, ça va pas toi ?

(T/P) : si... mais figure toi que j'me suis embrouillée avec l'autre idiot à cause de tes jolis suçons. Dis-je en le taquinant.

Eren : arrête ils étaient laids. Je dois en refaire de plus beau...

Je lui lance un regard froid indiquant que je n'ai clairement pas du tout envie.

Je vois Jean interpeller Ymir et ils s'isolent tous les deux.

Sasha curieuse quand à cette aparté soudaine, essaye d'écouter mais se fais vite rembarrer.

Pourquoi il a toujours sa main sur son torse ?

Oh mais pourquoi je prête attention à lui moi ?

Je rentre dans le lycée et monte les marches avec Eren.

Une fois devant la salle de classe, je vois arriver Jean toujours avec son bras autour des épaules de Hitch.

PDV JEAN

Hitch est restée avec moi hier soir.

Je n'ai pas été à l'hôpital comme elle me l'a suggéré car je ne peux pas me permettre de faire payer ma mère pour mes conneries.

Je me débrouillerais... mettais-je dis.

Je regrette un peu cette idée depuis que je me suis levé.

Elle m'a soutenu de ma maison jusqu'à ma salle de classe comme elle le pouvait pour que je ne souffre pas trop.

Mais rien que quand je respire j'ai l'impression qu'on me transperce la cage thoracique.

Me voilà en cours, à côté de (T/P).

Même si je lui en veux je ne peux pas m'empêcher de la regarder furtivement.

Jean x Reader / Meilleurs Amis, Vraiment ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant