chapter five

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Timothée, Jude et moi sommes assis par terre devant la porte de l'appart. Aucun de nous n'a les clés. . . A la base il n'y avait que Timothée et moi, mais Jude est arrivé trente minutes après quand elle à compris que nous étions rentré. Quand on l'a vu au bout du couloir elle était complètement éméché, mais ca c'est calme a partir du moment ou elle a vomi dans son sac. Autant dire que le sac va finir à la poubelle. 

-Il répond pas ! S'énerva Timothée en remettant brusquement son téléphone dans sa poche

-C'est normal, cria Jude avec un sourire en coin, sa bite doit être en pleine action !

J'éclata de rire. 

-Ouais bah la mienne elle l'est pas donc si il pouvait ramener son jolie petit cul ce serai sympa de sa part ! 

Timothée n'avait pas un appartement ? 

-T'as pas un appartement ?

-Les clés sont à l'intérieur de votre appart. . .

J'y crois pas ! Il ose se plaindre alors qu'il ne sait même pas se débrouiller tout seul ! Il en a du culot quand même. Outre ce petit échange avec le roi des cons, la soirée est passé lentement. Ce n'est qu'à quatre du matin qu'on revoit monsieur "bite en pleine action". Les deux personnes mes cotés dorment, chacun sur une de mes épaules. Je réveilla doucement Jude et pinça le roi des connards pour qu'ils se réveillent. 

-Qu'est ce que vous faites assis dans le couloir ? Dit Sam en s'arrêtant net

-On est en train de camper ca se voit pas, dis-je sèchement en me relevant, plus sérieusement ouvre cette foutue porte. . .

-Vous avez pas les clés ? Dit-il en ouvrant la porte

Je ne pris même pas la peine répondre et alla dans ma chambre.  J'étais fatigué a ne plus pouvoir tenir debout. Quand j'ouvra la porte de la chambre je ferma la porte, m'allongea sur lit et m'endormais instantanément. 

At the morning :

Ce matin j'ai...mal. La gueule de bois est présente, je la sens sans aucune hésitation. Je mets en position tailleur sur mon lit, j'essaye de calmer le mal de tête qui me prend depuis que je suis réveiller, mais rien à faire. J'en ai pour la journée entière. Sérieusement, je m'étais promis de ne plus boire comme ca après la soirée que j'avais passé avec Emie, le jour avant mon départ. Niveau "je tiens mes propres promesses", j'ai encore du boulot. Je me regarda dans le miroir juste devant mon lit et vu la robe verte moulante qui me collait toujours à la peau. 

De l'air, de l'air, de l'air. J'ai besoin d'air !

 Au diable cette foutue robe ! Je me leva précipitamment de mon lit, pris ma Ventoline dans mon sac et me dirigea vers le salon. J'avais besoin d'air à tout pris ! Je cherchais la plus grande fenêtre disponible dans le salon, et me dirigea vers cette dernière avant de l'ouvrir brusquement. 

Enfin

Cette air frais qui s'abattait sur mon visage et qui traversait la pièce au passage me rendait tout de suite plus légère. Apres avoir expirer et inspirer trois, quatre fois dans ma Ventoline, je me retourna et découvris le grand brun aux cheveux bouclés. Il parait tout de suite moins con en dormant. Son visage est détendue, il respire paisiblement. 

A Little Too Much ~ Timothée ChalametOù les histoires vivent. Découvrez maintenant