Serre-moi fort

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En poursuivant notre voyage à vélo, nous faisons escale chez des amis près du volcan Tungurahua. Nous passons une soirée festive où ils nous parlent d'un joli refuge qu'ils connaissent pas très loin, sur les flancs d'un volcan voisin à celui-ci. La fatigue du voyage nous rattrape bien vite, et les kilomètres de vélo commencent à peser sur nos jambes. La nuit est déjà bien avancée quand on décide de prendre une bonne douche méritée avant d'aller se coucher. J'entre sous la douche avant toi et je règle la température comme je l'aime, brûlante. Je laisse couler l'eau chaude sur mon corps en attendant que tu viennes me rejoindre. Je sens une main se poser sur mes fesses, puis une autre sur mes pectoraux : tu es entrée dans la douche. J'ouvre les yeux pour pouvoir les poser sur ton corps nu, l'eau de la douche ruisselant sur tes petits seins, sur ton ventre, coulant le long de tes cuisses. La température sous la douche vient encore d'augmenter, mais cette fois-ci c'est mon intérieur qui se réchauffe. Tu t'agenouilles devant moi, m'embrasse les cuisses, nos regards se croisent et se comprennent. Nous savons tous les deux ce qui va suivre. D'abord tes lèvres vont rencontrer mon intimité. Puis ta langue va la faire se dresser. Enfin ta gorge va l'envelopper.

Je laisse faire la maîtresse en la matière et instantanément, mes jambes semblent ressentir tous les kilomètres parcourus durant les derniers jours. La salle de bain se remplit de vapeur chaude, alors que tu me soulages brièvement.

Quelques minutes plus tard, nous sortons de la salle de bain pour rejoindre notre chambre qui est en réalité la serre vide accolée à leur maison dans laquelle ils ont installé un grand lit double. à travers les murs transparents la forêt nous regarde. Seules quelques lumières au loin, probablement venant d'un petit hameau, viennent décorer cette grande étendue sombre.

Au- dessus quelques nuages tentent en vain de cacher l'immense parterre d'étoiles scintillantes. Les parois invisibles de notre chambre nous protègent de cet environnement aussi fascinant qu'effrayant.

Tu te dénude de nouveau et t'allonge sur le lit. La vue de ton intimité ainsi exposée me fait saliver, alors je m'agenouille au bord du lit et je l'attire à moi. Ton odeur à elle seule suffit à me dresser. Je goûte tes cuisses, avant de progresser vers tes lèvres, je glisse ma langue autour et dessus, j'explore ta fente et je joue avec. Ma langue frottant ton entre-jambe, je viens glisser un doigt dans ta deuxième entrée. Je vois alors ton sourire se dessiner sur tes lèvres: Je sais ce que tu vas me demander, mais je veux l'entendre de ta bouche.

"Un ce ne sera pas assez, tu sais très bien que je suis plus gourmande que ça"

Je sens ton entrée de derrière se détendre alors que mon deuxième doigt se glisse en toi. Ma langue se promène toujours sur ta fleur, jusqu'à ce que mon érection devienne trop pressante. Je me redresse alors et vient poser mon membre dur contre ta fente dégoulinante. Tu me surprends à me faire non de la tête avec ton sourire joueur. Tu agrippes ma queue et la baisse de quelques centimètres, pour la poser contre ta petite entrée de derrière.

"Ce soir je suis pas ta copine, je suis ta pute. Fais-toi plaisir, il est tout à toi."

Tu sens soudainement la pression provoquée par tes mots contre ton anus. Je rentre presque sans effort entre tes fesses. Je plonge mes yeux dans les tiens aussi profondément que mon membre en toi, une de mes main vient se poser sur ton cou, l'autre sur un de tes petits seins. Je suis au dessus de toi, et je peux sentir à quel point tu aimes ça. Ce soir, tu n'auras pas de tendresse. Je veux voir ton regard de soumise suppliant d'être dominée, conquise, et de perdre toute dignité. Tu as libéré la bête, on verra bien si tu es capable de l'encaisser. Alors que j'enfonce encore une fois mon érection au fond de ton cul je presse un peu plus fort sur ton cou.

"J'espère pour toi que tu es bien détendue"

C'était une simple phrase pour te prévenir, et tu l'as bien comprise, je sens ton anus se détendre autour de ma queue dure, et me laisser jouer plus librement. Heureusement pour toi. J'amplifie mes coups de bassins, je les vois résonner dans tout ton corps. Je me penche et viens placer mes lèvres sur les tiennes tout en continuant de maltraiter ta petite entrée de derrière. Juste après un court baiser je murmure à ton oreille

"Retourne-toi petite pute, je vais me faire ton cul à quatre pattes, comme une chienne"

Je sais très bien l'effet que ça te fait quand je te parle comme ça. J'ai beau ne pas la toucher, ta chatte est devenue une vraie fontaine : tu adores la sodomie.

Une fois à quatre pattes je m'enfonce de nouveau dans ton entrée de la soumission. Dans cette position, je ne me retiens pas, j'y vais à pleine force dans ton cul. Face à la forêt sombre je te prend comme un animal sauvage, déchaîné, affamé. Mes hanches butent, claquent contre tes fesses à chaque mouvement. Nos respirations se font de plus en plus bruyantes et courtes. Je t'attrape par les cheveux et je les tire en arrière pour te glisser à l'oreille

"Tu aimes te faire ouvrir comme ça?"

Tu me réponds une phrase crue qui ne fait que de m'exciter toujours plus

"Quand tu m'encule comme ça, t'es mon maître. Alors continue à me défoncer le trou du cul et je serai ta pute quand tu voudras. Je veux pas que tu te retiennes, défoule-toi sur moi autant que tu veux. Fais tout ce que tu veux, je suis à toi"

J'ai ralenti le rythme après cette phrase, sinon, c'était l'orgasme assuré, et j'ai d'autres plans en tête. Mes vas et viens sont donc devenus plus suaves et profonds, jusqu'à ce que je sorte enfin. Ton anus, ne s'est pas refermé tout de suite, pas après ce qu'il vient de prendre, et après quelques instants de contemplation de mon œuvre, je me suis allongé sur le lit.

"Montre-moi à quel point tu aimes ça. Viens t'empaler sur ma queue."

Comme toujours, tu es d'une obéissance parfaite. Je te vois donc t'enfoncer mon érection entre les fesses facilement. Il faut dire que ton anus n'est plus en état de résister.

Je vois donc ta silhouette fine et sombre se détacher de l'immensité étoilée. J'ai bien envie de te dire que tu es magnifique, et que c'est la plus belle vision que je n'ai jamais eu... mais ce soir, tu es ma pute, pas de tendresse ni de compliments. Je t'attrape par la gorge pour rapprocher ton visage. Tes beaux yeux clairs, ta peau douce, tes cheveux tombants... Tu jouis sur moi, et je ne trouve ça que plus attirant. Pour résister à l'envie de te faire des louanges, ma main vient claquer contre ta joue. Tu mets un instant avant de réaliser ce qui vient de se passer. C'est la première fois que je te gifle. Puis je vois ton regard suppliant m'en demander une nouvelle. Putain qu'est-ce que tu peux être sexy. Je te laisse donc travailler, t'empaler sur moi pendant que je te pince les tétons et que je te gifle jusqu'à ce que tes joues soient chaudes.

Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. J'approche ton visage du miens pour t'ordonner

"Descends me sucer sale pute, ta récompense arrive"

Tu ne te fais pas prier, toujours allongé, les étoiles dans les yeux, je sens tes lèvres monter et descendre sur ma queue, là où l'instant d'avant, ton anus faisait les mêmes vas et viens.

Au moment où je te dis

"Tu es vraiment une bonne soumise"

je déverse dans ta bouche tout le désir que j'ai pour toi. Je sens le liquide chaud te remplir la bouche, puis après une dernière giclée, et un dernier vas et viens de tes lèvres, tu te dégage et viens te mettre au-dessus de moi, la bouche encore pleine de ma jouissance. Je pose ma main sur ton cou et je te sens déglutir. Puis tu ouvres la bouche toute fière pour me montrer que tu as bien tout avalé.

Je te caresse la joue en te disant

"Je suis fier de toi, tu m'a vraiment fait bander très fort"

Tu viens t'allonger à mes cotés et tu glisses à mon oreille en t'endormant

"J'adore quand tu me défonces le trou du cul, j'aimerai le faire à chaque fois. J'adore être ta pute"

Ce n'est pas un souhait qui est tombé dans l'oreille d'un sourd.

Épuisés, on s'endort l'un contre l'autre dans cette grande serre au plafond étoilé.

J'ai de la chance de faire ce voyage avec toi.

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