Nature Sauvage

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Nous arrivons au petit village de Rio Verde où nous déposons nos vélos pour mieux continuer à pied

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Nous arrivons au petit village de Rio Verde où nous déposons nos vélos pour mieux continuer à pied. Le temps à été nettement moins clément qu'au début de notre voyage ces derniers jours, être trempé est devenu une habitude. Mais aujourd'hui il fait beau et l'eau qui nous trempe vient de la terre et non du ciel. Nous visitons une cascade juste à côté du village nommé "El Pailon del Diablo", qui a une petite particularité : un escalier creusé à même la roche qui permet de monter jusqu'au sommet, en passant en dessous la cascade. Je te demande de passer devant pour rendre l'ascension plus agréable à mes yeux. La vue sur ton jean mouillé, collé sur tes fesses me déconcentre des merveilles environnantes, et tu le remarques facilement. Tu me jette de temps en temps des regards joueurs en te massant les fesses parce que "les escaliers les font beaucoup travailler", ou en te penchant en avant jambes tendues pour "resserrer tes lacets". Je bous de l'intérieur, mais nous ne sommes pas seuls, je retiens donc mes pulsions.

Une fois au sommet tu viens me murmurer à l'oreille:

"C'est la cascade dans ma culotte aussi, elle est trempée. Viens on s'enfonce dans la forêt et tu t'enfonces en moi?"

Comment refuser une proposition aussi alléchante?

Nous disparaissons donc dans la jungle avoisinante. Nos pas sont régulièrement interrompus par quelques baisers. Mes mains claquent sur tes fesses lorsque je les vois devant moi. Peu à peu nous nous perdons dans la nature luxuriante et la luxure. Ton regard de désir est presque agressif. Je viens placer ma main autour de ton cou et te plaque contre un arbre. Ma main se resserre alors que l'autre vient agripper un de tes petits seins. Nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, je t'ordonne de baisser ton jean et ta culotte. Sans discuter, tu t'exécutes. Je te retourne face à l'arbre, et ma bouche à ton oreille murmure :

"Cambre et écarte"

Dans cette position je plonge mon érection en toi sans retenue. Tu n'as pas menti quand tu parlais de cascade dans ta culotte, je me glisse en toi avec aisance, tu es trempée. Mes hanches butent sur tes fesses, une de mes mains empoigne tes cheveux, l'autre joue avec un de tes tétons. Je déchaîne les pulsions que j'ai réprimé durant l'ascension et je ne suis pas le seul. Nos vas et viens sont parsemés de fessées, de morsures, et nos regards croisés sont empreints de désir. Je perds le contrôle, je me sens déjà sur le point de jouir. Je me dégage et t'ordonne "à genoux". J'explose avant même que tu sois en position, je te lézarde le visage de blanc pour finir par me déverser dans ta bouche. Sans avoir à te le demander, tu déglutis avec gourmandise. Je t'attrape par la gorge et je te remonte à mon niveau. Je soulève une de tes jambes. Je n'en ai pas fini. Face à face contre cet arbre, j'entre de nouveau en toi. Nos respirations se font courtes, mon attention est entièrement projetée sur ton corps, que je parcours de mes yeux et de mes doigts. Nos lèvres se rassemblent et nos langues se joignent. Je t'explore en haut comme en bas. Ma deuxième main finie agrippée sur tes fesses rondes.

Soudainement le sol s'effondre sous nos pieds, les racines de l'arbre cassent et les pierres roulent. On manque de tomber de peu. Pas de mal, personne ne s'est blessé, mais notre moment intense à été coupé net. Après un bon fou rire, on remet nos vêtements légèrement salis par la chute, fin prêt à retourner à la civilisation. Mais non, ma main glisse dans ton jean pour trouver ta fente. Je n'en ai pas fini avec elle. Je t'allonge, jambes écartées, après t'avoir de nouveau retiré ton bas. Les yeux dans les yeux, on y retourne. Mon membre dur s'insère de nouveau en toi, mes lèvres retrouvent les tiennes. Au début suaves et lents, mes vas et vient se font de plus en plus brusques. Tu attrapes une de mes mains et tu la pose entre tes fesses, un de mes doigts appuyant sur ton autre orifice. Je ne refuse pas ce genre de demande. J'enfonce doucement mon doigt par derrière, en reprenant un rythme plus lent par devant. Une fois bien enfoncé, je reprends un rythme plus sauvage avant que tu ne m'interrompe de nouveau. Avec des yeux suppliants tu me demandes:

"Le deuxième"

Je me fais une joie de te rentrer un deuxième doigt qui vient t'ouvrir par derrière. Tu l'accueille comme un soulagement, je vois les traits de ton visage se détendre. Tu es définitivement devenue accro à ça, et ça n'est pas pour me déplaire. J'aime quand tu es sale et vulgaire. J'aime te baiser à même le sol, serrer ma main autour de ton cou et croiser ton regard plein de luxure. Mes coups deviennent de vrais coups de butoir, je laisse la bête en moi se déchaîner. Je suis sur comme fer. Je vais me vider de nouveau, mais cette fois-ci dans ta fleur. Mes yeux plongés dans les tiens, je jouis en toi. Je sens mon liquide chaud te remplir. Je continue les coups de hanches tout en fondant sur tes lèvres en un baiser. Le liquide coule de ta rose, je le sens sur mes doigts que je retire enfin. Enfin je sens mes pulsions assouvies, je me sens plus léger. Après une courte pause le temps de reprendre notre souffle, je t'aide à te relever et à remettre tes vêtements pleins de terre. On dira qu'on est tombé, et on lavera tout ça à notre prochain arrêt ce soir. Nos estomacs se mettent à gronder simultanément: prochaine étape, manger! 

Voyages LemonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant