On sort de la douche après notre journée sportive. Une fois secs, la fatigue nous engourdit les muscles, notre motivation à cuisiner, et même à enfiler des quelconques vêtements. On se retrouve chacun une tasse de chocolat chaud à la main, devant un petit-déjeuner improvisé. Ta tête se pose sur mon épaule et tu me dis en expirant pour accentuer ta fatigue:
"Je suis trop fatiguée pour me nourrir toute seule, nourris-moi"
Le contact de ta peau contre la mienne et la vue de ton magnifique corps nu commence doucement à faire effet entre mes jambes.
Je plonge mon doigt dans le pot de pâte à tartiner et je le présente à tes lèvres en te murmurant doucement à l'oreille :
"Suce"
Tu t'excecute sans protester. Ta langue vient frotter tout autour de mon doigt, pour aspirer toute la pâte sucrée. Entre mes jambes, le mât se dresse lentement. Ta main nonchalante vient le caresser, puis l'agripper.
"Si jamais j'en mettais sur..." Avant que je ne finisse ma phrase, tes lèvres viennent sussurer à mon oreille
"Je te sucerai et j'avalerai tout"
Tu sens immédiatement l'effet de tes mots doux dans ta main.
Il ne m'en faut pas plus pour aller chercher un peu de pâte et m'en étaler sur mon membre déjà dur.
Ta tête quitte mon épaule et descend lentement, en m'embrassant le cou, les clavicules, les pectoraux, le nombril, puis enfin ta langue rencontre mon érection. Tu me nettoies le membre de bas en haut alors que mes mains cherchent tes petits seins. Je te laisse manger autant que tu le désir, et tu t'en donne à coeur-joie. Pendant que ta bouche est occupée, je joue avec tes tétons. Je les tire, je les pince d'une main pendant que l'autre maintient ta tête là où elle doit être : empalée sur ma queue. Ce genre de maltraitance te fais de l'effet entre tes cuisses et je le sais. Je tire sur tes cheveux bouclés pour te relever et ton regard me demande ce que tu dois faire. J'apprécie un moment cette vision de ta bouche dégoulinante et de tes beaux yeux interrogateurs avant de te mettre une gifle. Ton regard surprit me demande visiblement "pourquoi?"
Je te réponds d'un ordre:
"Sur la table, jambes écartées. C'est mon tour de manger"
Sans discuter tu t'installes.
Je saisis la crème chantilly et t'en couvre l'intimité.
"Si je sens trop le goût de la chantilly, et pas assez le tiens, tu t'en reprends une"
Je sais que tu aimes quand je suis cruel avec toi, ça ne te fait que plus d'effet.
L'idée que tu vas sûrement te refaire gifler te fait un effet clair entre les jambes, et quand ma langue se pose dessus, je peux facilement sentir le goût de ton intimité. Je décide de profiter du mélange délicieux de ces deux goûts opposés. Malgré ça, après m'être repu, je me relève, de la chantilly plein la bouche et te dis :
"Visage"
Tu tends docilement ta joue, en attente de la gifle. Je lève la main et te regarde droit dans les yeux. A ce moment tu es ma proie, tu sais qu'il n'y a pas d'échappatoire, je peux voir la peur et l'excitation dans tes yeux. Mes doigts claquent sur ta joue.
"Merci maître"
Ce genre de petites phrases parfaitement bien placées me font énormément d'effet et mon cerveau me lance des idées inattendues.
J'attrape une fraise et, sans prévenir, je l'insère dans ton deuxième orifice heureusement correctement lubrifié. Je me régale de la délicieuse surprise dans tes yeux avant de la voir se transformer au moment où je viens placer mon érection gonflée à l'entrée de ta fente trempée. Allongée sur la table, parmi les aliments, je te prends sans ménagement. Mes mains se promènent sur ton corps et vont attraper ta poitrine, alors que les tiennes descendent jouer avec ton clitoris. Nos pulsions ont supplanté notre fatigue et nos corps bougent poussés par l'instinct primaire. Je m'interromps une seconde pour te retourner et te plaquer ventre contre table, et tu en profite pour sortir la fraise de ton petit orifice et la mettre dans ta bouche avant de me jeter un regard joueur tout en écartant tes fesses avec tes mains.
Message reçu petite salope.
Je rentre facilement entre tes fesses. Une fois au fond, quand ma queue est entièrement plongée dans ton cul et que ton anus est grand ouvert tu me dis:
"Ah, voilà, là je me sens à ma place"
Les vas-et-viens que j'entame par cette entrée sont rapidement aussi violents que les précédents. Sans aucune retenue, je te pénètre encore et encore. Chaque coup de hanche te fait pousser un cri, chaque coup de hanche rapproche la table du mur. Tu accompagnes ton orgasme d'une phrase qui déclenche le mien :
"Merci, de me détruire le cul maître"
"Avale ton dessert salope" Je t'ordonne au moment où je me retire.
Sans hésiter tu te retournes et tes lèvres plongent sur mon membre sur le point d'exploser. Je me déverse une première fois dans ta bouche, puis je me dégage exprès pour te gicler au visage. Tu gardes évidemment la bouche grande ouverte, gourmande comme tu es, mais je strie ton visage de lignes blanches. Une fois vidé, tu ouvres de nouveau tes magnifiques yeux et tu me lances un regard plein d'amour que je retourne.
Le visage couvert de sperme tu me dis d'un ton amusé :
"Je propose qu'on retourne à la douche, je peux pas me coucher dans cet état là"
Le fait de te faire couvrir le visage de sperme t'as visiblement redonné de l'énergie, et je sens qu'il y aura de nouveau de l'action sous la douche, alors je t'y accompagne avec plaisir.
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Voyages Lemon
RomansToi et moi pendant nos voyages, nous partageons des moments qu'aucun autre couple ne partage... Les aventures sexy d'un couple en voyage en Équateur. C'est une version romancée d'une suite d'histoires basées sur mes expériences passées. J'espère un...