La chaleur sous la neige

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L'ascension jusqu'à Laguna Amarilla est plus longue que prévue. Les conditions météorologiques ne sont pas idéales, il fait plus froid que prévu, et le dernier jour du périple il se met même à pleuvoir. Heureusement que les arbres nous abritent en grande partie de la pluie, ce qui n'empêche pas de transformer les chemins de terre en boue glissante. Tu décides de monter devant moi, pour que je puisse te rattraper si jamais tu glisses, et cela ne fait qu'embellir ma randonnée. Tu feins même une fois ou deux de tomber juste pour me laisser t'agripper les fesses en te rattrapant.

Le trajet épuise nos corps, mais nos esprits eux sont fixés sur l'objectif : Le refuge de la lagune. L'espoir de dormir dans un logement en dur motive nos pas et nous arrivons avant la tombée de la nuit.

Nous retrouvons enfin un réel confort et une vraie chambre malgré la neige qui tombe dehors. Après s'être lavés, nous retrouvons avec plaisir des draps chauds. Tu viens te lover contre mon torse, j'entoure tes épaules de mes bras. La fatigue dans nos muscles endoloris nous empêche de sortir des draps, mais nos esprits se perdent à travers la fenêtre, dans la neige tombant à l'extérieur. Tu fais une remarque qui me surprend et me faire rire:

" Je trouve ça tellement confortable la sodomie, comme si mon trou était fait pour"

"Et pas que la sodomie, les mains serrées autour de ton cou aussi, entre autre"

"C'est vrai. En fait je crois que j'aime juste être dominée fort. Me prendre une bonne gifle après m'être fait ouvrir le cul et traité de salope...Wow, qu'est ce que c'est sexy"

Ces simples paroles suffisent à durcir mon membre, et tu l'as bien senti. Ta main se promène dessus, le caresse nonchalamment. Mes doigts s'emmêlent dans tes cheveux et les agrippent pour contrôler ta tête.

"Après ces belles paroles, c'est le moment d'utiliser ta bouche pour autre chose" je te dis en poussant sur ta tête pour la diriger vers mon érection. Pas besoin de plus pour que je sente tes lèvres sur mon gland, ta langue sur mon chibre. Tu te donnes tout de suite pour mon plus grand plaisir. J'aime quand l'action suit les paroles. Je laisse ta bouche me détendre. Je n'hésite pas à appuyer sur ta tête pour bien t'enfoncer sur ma queue. Je sens que tu aimes ça, tu te donnes à fond. Je tire sur tes cheveux pour te remonter à ma hauteur et là aussi tu suis mon mouvement sans protester. Une fessée claque fort, ta fesse rougit. Tu te mets sur moi, une jambe de chaque côté. Ta petite poitrine juste sous mes yeux, tu t'empales sur mon sexe que tu viens de durcir avec tes autres lèvres. Je me sens comme absorbé en toi, et, vu ton talent, je te laisse à l'œuvre. Tu te frottes, tu t'enfonces, débordante de plaisir et d'envie, et moi comme un miroir, je ne peux m'empêcher de te saisir les fesses, te caresser les seins, et pincer tes tétons. La température monte très vite sous la couette avec nos frictions, et rapidement nos corps deviennent aussi brûlants que des braises ardentes. Ton corps s'inverse, et je me retrouve avec ta rose posée sur ma langue alors que la tienne s'active sur mon érection. Un nouveau changement et je me retrouve au-dessus de toi, tes jambes sur mes épaules.

La pièce atteint une température difficilement supportable. J'ouvre la fenêtre sous laquelle est placé le lit et vient te pencher en avant contre le rebord. Le vent froid s'engouffre sur ton corps, durcit tes tétons, et nous fait dresser la chair de poule. Alors que tu patiente sagement sur le rebord de la fenêtre, face à la neige qui tombe, je viens poser mon sexe trempé entre tes fesses.

Tes mains viennent les écarter sans un mot de plus. J'appuie, contre ta petite rondelle encore toute serrée. Elle a l'habitude, elle va vite se détendre. Après avoir un peu joué, je me glisse enfin par la petite entrée. Comme d'habitude je te sens t'ouvrir autour de moi, te détendre et accepter la sodomie. Je te fais chauffer les fesses alors qu'il neige sur ton visage. Une fessée, deux, trois, puis je remonte réchauffer ces tétons qui ont si froid. alors que je tire sur tes petits seins, ma bouche à ton oreille te murmure

"C'est bien salope, laisse-moi te défoncer le cul. On sait tous les deux à quel point tu aimes ça."

Et j'ai le droit à une réponse des plus enivrante de luxure

"Je suis ton jouet, casse-moi comme tu veux. Montre-moi bien qui est le maître et qui est la petite chienne en chaleur. Encule-moi fort, pour que je sente que je suis ta pute"

Sous la pression grandissante de mon érection, ton anus est forcé de s'ouvrir toujours plus. Fini les jeux, je te rentre des coups de queue violents, mes hanches viennent buter contre tes fesses dans des claquements sonores. Tu as beau te tenir au cadre de la fenêtre, il tremble à s'en décrocher à chaque martèlement qui traverse ton corps. Il n'y a plus aucune résistance, ta petite porte est grande ouverte autour de mon membre dressé et prêt à exploser.

Je te relève en te tirant par les cheveux et te jette à plat ventre sur le lit. Je m'allonge au-dessus de toi, et je plonge de nouveau par derrière, sans prévenir. Une main serrée autour de ta gorge, je jouis en toi.

"Putain, vas-y, vide tes couilles dans mon cul. Remplis mes fesses de sperme après m'avoir bien défoncé le trou du cul. Putain j'aime quand tu fais ce que tu veux avec mon cul!"

Tes paroles accompagnent ton orgasme et le mien. Je déverse entre tes fesses de puissantes giclées de sperme. Toujours en toi, je viens déposer un bisou sur ta joue, glisser mes doigts entre les tiens et te dire un furtif "je t'aime" au creux de l'oreille avant de sortir mon érection encore dure de ton orifice complètement détendu.

Après ça, je me souviens juste avoir fermé la fenêtre, et t'avoir rejoint sous la chaleur de la couette recouverte de neige.

Voyages LemonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant