2. Gare aux Coyotes

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Préparez-vous à découvrir Lexa ;)

J'attends vos avis sur elle, son attitude :p

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Clarke

Je repérai trois filles à une table : trois brunes. Une avec une masse de cheveux impressionnantes avec des reflets roux, une avec des yeux verts étonnants et l'autre qui semblait vraiment très gentille. Elles riaient ensemble tout en pariant je ne svaais quoi.



– T'as triché ! Tu l'as déjà lu !

– Réveillez-vous ! Une nana toute nue en bottes militaires ! Faut pas être devin ! Merci !

– J'aime bien ses bottes, moi ! Je vais m'en acheter une paire !; je vis la brune aux yeux verts regarder la photo et rire. Celle aux cheveux fous se leva et demanda à ce qu'on augmente le volume. Elle se mit à danser.

– Vous voulez que je fasse ma danse du ventre ?

– C'est ça ! Fais-nous Sheherazade !; je me tournai vers le patron.

– Dis donc ! Tu les connais ?

– Elles ? Elles viennent souvent le matin à la même heure pour décompresser ! C'est pas un luxe avec le travail qu'elles font.; elles avaient au moins l'air de s'amuser !

– Ce sont des racoleuses ?

– Non !; il sortit quelque chose de sa poche et me le lança.; Ce sont des Coyotes.

– Les filles ?! Vous voulez voir mon nouveau tattoo ?; celle aux yeux bleus se leva et remonta sa jupe pour montrer le haut de sa cuisse : deux motifs tribaux noircissaient sa peau.

– Trois cent billets chacune, t'es toujours sûre que tu veux aller en fac de droit ?; elle tendit la liasse à celle qui avait une crinière impressionnante avant de la retirer.

– Buvons à ton avenir ! À notre Luna et sa dernière prestation de Coyote.

– À notre Luna, qu'on aura tout le mal du monde à remplacer.



Coyotes hein ? Je me décidai à aller jeter un oeil, et avec un peu de chance, obtenir un boulot pour payer mon loyer ! Je me rendis donc à La Tanière des Coyotes, mais le bar était fermé. Une voix s'éleva :



– Qu'est-ce que c'est ?; je m'approchai de la trappe.

– Je cherche le patron !

– Ici ! Descends pas les mains vides ! Prends une caisse au passage !; je fis donc ce qu'elle avait demandé. Le carton pesait une tonne et demi. Je vis une blonde arriver.

– Je vais pas pouvoir tenir longtemps. Je vous la pose où ?

– Ça dépend, qu'est-ce que tu veux ?; elle prit une caisse assez facilement et se déplaça avec tandis que j'avais du mal à tenir la mienne.

– Et bien, j'ai entendu dire qu'il y avait une place à prendre.

– Mets ça là.; je la posai donc.; Laisse-moi te regarder.; elle me regarda de haut en bas.; Laisse-moi deviner... Mont Weather.

– Arkadia.

– C'est pareil. Tu te drogues ?

– Seulement au café. C'est tout ce que je peux m'offrir.; j'étais fière de ma blague alors que j'étais si nerveuse.

Un comptoir d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant