Prologue

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Dans un monde où terreur, tyranie, peur et mort sont réunis sous une dictature, je vis sans plaisir et seul.

La solitude est ma seule amie. Mon unique et fidèle.

Seul est ma situation familial mais mon village, sous l'emprise et à cause de cette dictature, est devenue ma famille de substitution. Ce chère village commandé par mon Père à une époque révolue, à présent.







Bonjour, moi c'est Téa.

Je vis dans un monde où la terreur et la peur règne, où les plaisirs et les belles choses sont rare, non, en faite elles sont : inexistantes.

J'ai 18ans mais ai une maturité bien plus élevé. Ma vie a été détruite il y 6 ans.

C'est à ce moment là que tout a commencé.

*6ans plutôt*

Mon père : Bruce, chef de notre communauté, vit comme tout le monde dans une maison simple avec une architecture étrange, cubique pour la notre et avec d'autre forme géométriques pour d'autres.

Il vivait avec ma mère, mon frère et moi.

Ma mère était une femme douce, gentille, belle, souriante, drôle, positive, optimiste, fière et avec des principes. Ma mère portait ses cheveux châtains parsemés de mèches claires et rebelles. Ses mèches tombaient souvent sur son front pour lui couvrir ses yeux marrons et ronds comme des amendes alors elle les remettait derrière son oreille avec un sourire délicat et chaleureux. Elle était belle ma mère.

Mon père lui, était un homme bon, courageux, simple, très fière aussi, un peu orgueilleux mais qui donnerai sa vie contre n'importe laquelle.
Il n'était pas pessimiste. Il était réaliste. Il portait ses cheveux bruns et ses yeux d'un bleus glacés avec beaucoup d'assurance.

Marek, mon frère, lui avait les cheveux bruns de notre père et les yeux marrons de notre mère. Il était canon. Il était franc et très convoité par les filles. Il avait 18 ans à ce moment là.

Avec mon frère j'avais une grande complicité. On était très proche. Il me disait tout, et moi je me livrais à lui comme à un journal intime. Il était ma bouée de sauvetage.

Mais... Un soir, Ce soir alors que nous mangions tous les quatre durant le repas : Des hommes sont arrivés, armés d'arme à feu et se sont mis à nous demander de nous mettre a genoux. Marek me poussa sous la table sans que personne ne s'en rendre compte. Ils mirent mon père à genoux puis mon frère, et un autre attrapa ma mère part les cheveux et elle se mît à crier. Alors mon père jeta un simple regard à mon frère et à eux deux ils maîtrisèrent les hommes entrain de les menotter. Mais il avait déjà emmené ma mère.

Ce fut à ce moment là, que toute une armée entra chez moi. L'un m'attrapa par les pied pour me sortis de dessous la table.

A ma sorti de dessous la table : ils essayaient d'emmener mon frère qui se débattait. Mais il n'y avait aucune trace de mes parents.

La tables à manger était renversé par terre, la nourriture étalée sur le sol ainsi que les chaises brisées.

Je mordis de toutes mes forces l'homme qui m'avait pri dans ses bras, mais il n'y avait rien a faire il ne sentait rien. Ils nous emmenèrent mon frère et moi. Mais une fois à l'extérieur il pleuvait à ne plus voir devant soit à un mètre !

Mon frère avait cessé de se débattre. Arrivé dans un petite rue, j'était à côté de lui et il me fis un clin d'œil.

Je compris qu'il voulait s'enfuir, avec moi.

A ce moment là, où les gardes ne s'y attendaient pas mon frère lança sa jambe à la tête du garde qui était derrière moi - pendant que je me baissait pour ne pas me prendre le coup - ce qui fit valser le garde a quelque mètre de moi, puis donna un coup de tête à l'homme derrière lui qui tomba en gémissant il prit ensuite sa tête pour l'éclater violemment contre le mur de la ruelle, puis il me prit la main et nous partions en courant.

Mais un homme immense d'au moins 2 mètre 10 nous barrait le route. Mon frère me cria de partir devant qu'il me rejoindrai plus tard que c'était comme quand ils me couraient après avec notre père et qu'il fallait que je cours de toute mes force sans me retourner. Alors je joignis ses paroles aux gestes puis arrivé au bout de la rue je vis mon frère étalé par terre inconscient.

J'avais mal, mal par ce que je savais que je ne reverrai pas mon frère de sitôt, je restait là, sans bouger, trempée, triste et malheureuse.
Mais étrangement je n'avais pas peur, du moins mes pensées n'était ni oppressées ni envahit par la peur mais mon corps lui en était infesté. La peur s'en était prit à mes mains et à mes jambes qui tremblaient au point que je ne puisse ni tenir un stylo ni marcher.

Jusqu'aux moment où un homme me mît sa main sur la bouche pour que je ne crie pas. Je levais la tête pour voir mon agresseur pour voir que c'était le meilleur ami de mon père et de mon oncle ainsi que mon oncle derrière lui, puis il me dit :

- Tous le village a été pri d'assaut nous avons emmener tous les gens possible en sécurité et

Un bruit sourd retentit, puis un corps sans âme tomba.

C'était celui du meilleur ami de mon père, les gardes avait voulu me tuer mais il avait manqué leur cible. Le frère de mon père me pris dans ses bras et partit en courant sans se poser de question.

J'étais là, poser sur son épaules à regarder derrière lui, a basculer de haut en bas au rythme de la course saccadée de mon oncle. Derrière lui je fixais le corps inerte du meilleur amie de mon père, qui n'avait même pas pût finir sa phrase.

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J'espère que ça vous a plu !! Commentez et dite moi si vous aimez, ou pas ! La couverture est là parce qu'il n'y a pas le choix sinon il n'y aurai rien ^^

Téa L'Emblème [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant