Chapitre 4

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PDV : Téa
Avec Will je rigole beaucoup, ça me fait du bien, seul Marek arrivait à me faire rire.... Et voilà le passé me fait un coup bas.... encore.... Merde, je me sens faible dans ces moments là, comme si la muraille que je m'était construite avait des failles.

Aux souvenirs des blagues et du sourire de Marek je souris puis me redis à cause du trou béant qu'il y a dans mon cœur, à cause de son emprisonnement.
Une larme aurait couler sur les joues de n'importe qui, mais je suis pas semblable à n'importe qui.

Je suis de la glace, qui pour être refroidis, mais il lui faut du feu. Qui se trouve dans l'amour de la famille ou dans celui d'une autre personne pour qui on pourrait tout donner : j'aime penser et imaginer des phrases à plusieurs sens sur l'amour pour un conjoint comme :
"L'amour, c'est la rage d'aimer quelqu'un à en mourir"

"L'amour c'est le fait de se vendre corps, âme et secret à une personne"

Mais toute c'est phrase ont des sens cacher, comme la rage survient dans la colère, mais la colère ne mené pas a l'amour. L'amour mène à la folie.. Peut être. Il y a plein de possibilité.

Will m'a demandé de faire faire du sport à Ben mais pas trop poussé pour pas qu'il ne se détruise pas son corps. D'ailleurs, Will m'avait demandé de ralentir en me disant que ce n'était pas bon de faire autant d'effort physique.

Je sonne chez Ben, et entend Will dire a Ben :
- Va ouvrir s'il te plait.

Un moment passe puis un Ben apparaît, il n'a plus ni les joues creusées, ni le dos rond il arrive à se tenir droit et debout sans difficulté. C'est déjà ça, me dis je.
- Viens Ben on va aller courir tranquille au bord de la mer, l'air marin va te revigorer et te faire du bien.
Will s'approche.

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PDV : Will
Je restais là à fixer la tenu de Téa. Elle portait comme tenue, un teeshirt moulant et un peu débraillé en haut ce qui permettaient à mes yeux ébahis de regarder le début des formes de sa poitrine, elle avait du se vêtir ainsi pour ne pas avoir trop chaud en ce début de printemps.
Son panta-court, lui serai ses cuisse et ses fesses ce qui mettaient ses courbes en valeurs, soudain Téa me dit :
- Ça va pas Will ?

Si seulement, elle savait comment je me sentais bien.

- Oui oui, m'empressais je de répondre un peu distrait, alors que je détournais les yeux de son corps si divin.
Ça va ! M'exclamais je, puis repris :

- Il faut y aller doucement, sinon Ben ne pourra plus rien faire avant un baille. Vous faite 20 minutes de course puis revenez pour que Ben fasse des étirement. Ensuite on passera à 25 minutes puis de plus en plus au fur et à mesure, à tout à l'heure. Dis je à Téa, elle me répondit la même chose pendant que je en fermais la porte.

Cette phrase résonnais dans la tête : "A tout à l'heure", je me mordais la lèvre inférieur. J'avais hâte de la revoir.
Mais je ne suis pas amoureux d'elle !
De toute façon je sais pas c'est quoi aimer !

Ou alors mon esprit me convainc que je ne sais pas c'est quoi.... Ou encore que c'est à cause de mon mur que j'ai monté au fur et à mesure du temps que je n'arrive pas et à me lâcher et à me m'ouvrir a elle.

Bref !
Si quelqu'un vivait dans ma tête je suis sûr qu'il dirai que je suis pas nette.
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PDV : Téa
Will m'avais paru bizarre, personne ne m'avais jamais regardé comme lui l'avait fait, surtout que quand j'ai interrompu le silence qui s'était installé durant son absence dans ses pensées, il a rougi.

Mais pourquoi a-t-il rougi ?

Je pensais à cela quand je regardai ma montre pour voir si il était temps de faire demi tour, ça faisait 17 minutes. Alors je me tournais vers Ben pour lui dire qu'on allait faire demi tour, mais..... il n'y avait personne.
Pris de panique je me retourne pour voir à une cinquantaine de mètre le corps de Ben immobile.

Je cours, je cours. Il faut courir. Courir. Je sens un filet d'eau couler sur mes joues pour s'éclater dans mon coup. Je pleure. J'ai peur. Je pense à Ben. Je me sens "conne", "débile", enfaite je suis tout et rien. Putain ! A dire que c'est à cause de moi et mes pensées bizarre ! Parce que je pensais à Will... Will !
Je prend mon téléphone et appelle Will et dit : "plage des hippocampes ! Ben c'est écroulé je l'ai pas vu, j'ai avancé puis je viens de faire demi tour ! Et..." Un temps passe puis je dit : "et j'y suis !!!"
Je pose le cellulaire sur le côté et le met sur haut parleur, puis dit :
- Je fait quoi ?

- Es ce que son cœur bat ? Me dit il calmement.
Non mais je rêve ! Comment peut il être aussi calme ! J'avais les mains qui tremblaient, l'esprit embrouillé et les larmes qui coulaient sans que je n'y puisse rien. J'étais entrain de psalmodier :
- Reviens BEEEEEEN !!! Non ne me laisse pas ! Je t'en supplie ! Fais pas le con hein ! Fait pas comme mes parents et Marek !!!! T'as pas le droit dis je en tapant sans énergie son torse puis Will me dit :

- Téa ? Arrêté de penser. arrête de réfléchir. t'es intelligente naturellement, et une fois calmée tu pourra faire appelle à tes souvenirs et à tes connaissances.

Je me ressaisis et sèche mes larmes puis dit :

- OK.

Je cherchais dans ma mémoire comment faire pour trouver les battements de son cœur.

Je posais ma main sur son torse mais ne sent rien, je dis :
- je sens rien.

- Prend 2 doigts et met les en dessous de sa pomme d'Adam.

- OK. Je sens des battements mais très faible, dis je.

- Es ce que son thorax se soulève ?

- Oui, répondis je.
Je connaît se terme grâce à des techniques de combat qui cible cette partie du corps, enfaite je connaît casiement toutes les parties du corps.

Soudain la cage thoracique de Ben ne se soulevait plus et je dis sans m'affoler :
- Will ? Sa cage thoracique ne se soulève plus qu'es ce que je fais ?

- Il faudrait que tu mette une de tes mains sur sa nuque pour la tenir bien droite et qu'avec l'autre tu lui place la langue correctement. Si tu peux, couvre toi deux doigts avec quelque chose de propre, pour placer sa langue.

Je m'exécute, pour mes doigts j'arrache un morceau de mon tee-shirt.
- Ensuite ? dis je.

- Si sa langue tient, tu vas devoir inspirer très profondément puis placer ta bouche sur la sienne, lui en donner une partie en expirant dans sa bouche puis expirer le reste dans l'air à côté. Puis renouveler l'opération.

Au bout d'un moment je sens que les poumon respirent tous seul alors j'arrête. C'est à ce moment là que Will arrive avec son sac.
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PDV : Will
J'avais eu mal au tripe de demandé à Téa de faire du bouche à bouche à Ben. Mais je n'avais eu pas le choix.

Je regarde l'œil de Ben encore inconscient et voit que ses pupilles ont de bon réflexe, c'est bon signe.
Je prend le stéthoscope, puis place le bout sur tout le torse de Ben, puis demande à Téa de m'aider à le mettre sur le dos. C'est à ce moment là que je me rend compte que je n'avais pas fait attention à elle en arrivant : elle pleurait. Je lui pris la main, puis lui dis doucement en lui séchant les larmes de l'autres mains avec mon pouce :
- T'inquiète pas il va s'en sortir, dis je en remettant une de ses mèches derrière son oreille.

- Je l'ai pas vu, renifle-t-elle, je n'ai pas fait gaffe à lui, je suis censé m'occupe d'une escouade et je ne sais même pas m'occupe d'un homme !

- Mais tu l'as sauvé. Dis je un peu froidement.
Je n'aime pas que les gens se rabaisse : surtout elle.

On le retourne puis je vois une tâche violacé, je la touche avec mes gants pour me rendre compte que c'est mous. On le remet sur le ventre, et me met à ausculter son ventre et je découvre une anomalie mais mon travaille s'arrête là l'ambulance arrive enfin puis je m'exclame, en me levant :
- Homme de 19 ans dépressif, en sous alimentation, pupilles réactives, il était en course et à maintenant une anomalie au niveau de l'abdomen !

L'ambulance nous emmène : Téa, Ben et moi au urgence.
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Et oui au final l'inspiration est revenu !! Alors voilà le chapitre 4 !!
Bon je vous laisse juger.
Moi j'attend vos coms avec impatience !

Téa L'Emblème [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant