Chap IV
Les applaudissement se sont tue, toutes dans la pièce fixe désormais la jeune femme.
« Viens, entre. »
L'incite Marie-Madeleine, d'un signe de main elle lui mima de venir vers elle, d'entrer entièrement dans la pièce.Elle ouvre donc plus grand la porte et pénètre à l'intérieur, les battements de son cœur accélère, avoir tant d'attention sur elle ne lui plaît gère.
Tandis qu'elle approche avec méfiance, Marie-Madeleine fait signe à Jeannette de s'approcher de la fille, alors elle le fit.Tout doucement elle va se poster près d'elle avant qu'elle n'atteigne le centre de la salle, la stoppant ainsi dans son avancée.
« Quoiqu'il arrive, n'est pas peur, ici personne ne te veux du mal, toutes ses femmes sont très gentilles ! »
Elle termine avec un large sourire, la jeune femme hoche simplement la tête.Tour à tour, les femmes se lèvent ainsi que Marie-Madeleine, elles s'approchent jusqu'à entourées Siambaénou, qui elle se sent tout de suite oppressé.
« Ne t'inquiète pas, elles ne vont pas te faire du mal, elles veulent juste te voir de près. »
L'a rassure Jeannette.
Mais c'est peine perdue, elle ne peut pas aussi facilement faire abstraction de tout ce monde, mais en même temps qui le pourrait ?
Certainement pas elle, encore une fois.« Jeannette explique lui s'il te plaît ce que l'on a prévus pour elle ! »
S'exprime tout enthousiaste Marie-Madeleine, en un jour elles avaient fait un plan d'événements pour plus d'un mois pour la jeune fille, à vrai dire depuis l'arrivée de Siambaénou dans cette internat, elles y avaient réfléchies.Alors Jeannette suivie les ordes et traduit à la fille ce que lui réservera le mois entier.
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Dans un bureau, plus précisément dans le bureau de Marie-Madeleine, Jeannette et Siambaénou sont assise face à l'hôte de la pièce.
Un peux plus tard après les présentations, l'hôte les avaient convoquées dans son bureau, Jeannette n'etant la que pour traduire.
La jeune se sent mal à l'aise, tous cela est trop pour elle, trop précoce, elle vient de vivre un "traumatisme".
« Alors, nous somme là pour lui trouver un prénom, il faut au plus vite l'intégrer dans notre monde, sinon se sera un véritable handicap lorsque nous voudrions agir. »
Prononce l'hôte d'un air sérieux, de nature joviale, Marie-Madeleine sait également intégré son rôle de meneur avec un sérieux infaillible.
Elle se baisse vers l'un de ses tiroirs pour en sortir un tas de feuilles est l'ai éparpille sur la table.
Le bureau dans lequel elles trouve présentement est de style asiatique, la plus âgée en visitant un jour le marché qui se tenait au porte de Vienne, avait trouvé diverses produit provenant de l'Asie, et ça a été le coup de cœur, et c'est de là qu'elle a trouvé l'inspiration pour concevoir sa décoration.
Dans la pièce ce trouve un magnifique bureau aux gravures chinoise, la pièce est éclairé que par deux lampes, assez vieille qui menace à tout moment de ne plus émettre de lumière, elles sont toute deux placée de parte et d'autre du bureau, de sorte à conféré un visibilité à Marie-Madeleine lorsqu'elle travaille.
Et également une armoire des plus simple, ce bureau possède peu de meuble, la seule chose de valeurs qui est présente est la table aus gravures orientale.« Alors, ceci est les prénoms dont je dispose, se sont toutes des fiches avec des renseignements dessus, cela a été anticipé en amont, de ce fait du n'as juste qu'à choisir le prenom que tu voudrais porter. »
Jeannette enchaîne juste après Marie-Madeleine, tandis que la jeune fille ne fait qu'hocher la tête. Plus d'une dizaine de feuilles sont éparpillés sur le bureau, elle l'est fixe indécise, ne comprenant pas le sens des mots inscrits sur ses fiches de fausses identité.
Alors au hasard, elle tend la main vers l'une d'elle et l'a saisie, l'a brandissant ensuite près du faciès de l'hote.Prise de court, la femme regarde la fiche, puis sourit, elle l'a lui prend des mains.
« Alors, Camille du Bois, à résider dans la famille du Bois, lui ont laissé une liberté acquis de dur journée de labeur.
Alors, à partir d'aujourd'hui, tu t'appellera Camille, tu as vingt-cinq ans, tu vis seule et tu es veuve, d'accord ? »Marie-Madeleine se lève sans laisser le temps à Jeannette de traduire.
« Tu lui retranscrira mes dire plus tard, il faut que je lui présente ses appartements et ses nouvelles colocataires, ensuite je doit lui montré quelques d'important, allez suivez moi. »
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La pièce qui va lui servir de chambre est agencé de sorte à ce que trois lits y loge, un lit en face de la porte d'entrée et les deux autres à l'est et à l'ouest, petite de taille mais suffisante pour contenir leur maigre corps pour certaines, il y a également deux armoire et une petite commode où des livre destinés à apprendre le français sont posés, dans un coin de la pièce se trouve une pile de vêtements blanc et des chaussures basse.
Marie-Madeleine ouvre un peu plus grand la pièce et invite la nouvellement prénommé Camille à y entré d'un signe de la main, ce qu'elle fit timidement, il y'a deux lits en mettant de côté la sienne, mais qu'une personne a l'intérieur, une magnifique femme.
Ce qui est d'autant plus étonnant, c'est sa couleur de peau, couleur miel, des cheveux crépus mais long virant vers le orange, de ses yeux gris, elle fixe Camille, c'est la première fois qu'elle voit une telle personne, même ses cils sont orange !
L'hôte sourit face à l'air ébahis de la jeune fille, faut croire que c'est la première fois qu'elle rencontre une albinos.
« Nathalie, je te présente la nouvelle, Camille, à compter d'aujourd'hui elle sera ta nouvelle colocataire, c'est clair ? »
La jeune femme ne fit qu'acquiescé, Marie-Madeleine regarde attentivement la chambre puis fronce les sourcils, son regard se porte sur le lit vide devant elle puis s'oriente vers Nathalie.
« Où est-elle ? »
Nathalie ne fit qu'hausser les épaules indifférente, mais sentant le lourd regard posé sur elle, elle roule des yeux et point le lit en face du doigt, plus précisément le dessous du lit, comme si quelqu'un s'y trouve.
La plus grande en âge soupir déjà lasse du combat qu'elle va mener pour la sortir de la, qu'elle lui en cause des problèmes celle là.
Elle désigne le lit à côté pour que Camille puisse s'y installer le temps qu'elle se charge de l'autre.
Ce qu'elle fit évidemment sous le regard de Nathalie qui suit des yeux le moindre de ses fait et geste, comme si elle était entrain de l'analyser, de l'étudier sous tout les angles possible.
06.01.2022
1142 mots
Je prends beaucoup trop de retard sur cette histoire, mes plus plats excuses !
C'est pas l'inspiration qui me manque, ou un quelconque syndrome de la page blanche, j'ai juste la flemme d'écrireee.
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The Beautiful Maid | A Freedom Destiny
Fiksi SejarahSa vie ruinée, son bâteau échoué, ces deux femmes vivent un destin non choisi, l'une se battant pour récupérer sa liberté l'autre se battant pour se faire accepter. Découvrez le paradoxe de la vie de ces deux femmes esclaves.