Chapitre 1

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Dix secondes après que ma mère est quitté la voiture, je me décida de descendre, je n'osais même plus respirer tellement ça me fesait mal, mon cœur c'était compressé entre lui, je remonta la grande allé avec mes sac. J'étais toujours en uniforme en couleur de mon pensionnat, ma mère poussa la porte, mon cœur s'arrêta de batte.

-Ils sont tous partient voir un match, me dit mère, tu n'as qu'à allé prendre ta douche.

Elle monta afin de me montré ma chambre que j'avais très peu occupé, c'était la même porte mais la chambre avait entièrement était redécoré du sol au mur, mon petit lit était maintenant un grand lit avec une superbe tête de lit noir matelassé, le parquet était sombre et les mur gris métallisé, il y avait beaucoup de lampe rétro ronde qui venait égaïé la piece, la petite table en dessous de l'immense écran plat, le petit banc devant le lit et l'autre petite table rectangulaire en dessous du grand miroir était noir, un petit fauteuil en forme de boule rouges qui se tenait au coin de la pièce, la pièce était magnifique.

-J'espère qu'elle te plait, me dis ma mère, je l'ai redécoré il y a un an en espérant que tu revienne un jour changée.

-Elle est parfaite, dis je en lui souriant.

-Je pensais te prendre un rendez vous chez le coiffeur et l'esthéticienne pour cette après midi, les gars ne rentreront pas manger.

-Sa serait super, répondis je.

Elle partis et je mis mon uniforme à la poubelle, avec l'intention de le brûler. Je fila sous la douche, même je fesais la bonne fille bien sage depuis mon retour, la colère me brûlait mais elle n'avait pas la force de ressortir. Il y a quatre ans, ont à quitter Milan pour s'installer à Manchester, j'avais aucune envie de quitter mes amis, mon petit ami et même juste l'Italie pour que mon père joue à la babale. J'étais resté la même pendant trois mois, j'avais aucun ami, mes frères avait tous trouvé leur place puis je me suis mis à me comporter comme si j'avais seize ans, je me suis mis du noir sur les yeux comme un panda, du rouge sur mes lèvre,j'ai fais le mûr une bonne dizaine de fois. À douze ans je fumais, je buvais et me droguais, personnes n'à rien remarqué jusqu'à mon overdose, ils ont essayé pendant deux mois que je revienne leurs petit ange jusqu'à ma deuxième overdose. Ils m'ont envoyé en Italie chez mes grand parents mais un évènement m'à fais replonger dans la drogue. Ils m'ont ensuite envoyés dans un pensionnat dans la campagne Londonienne, pendant une semaine j'ai essayé de me faire viré mais ils m'ont totalement détruite mentalement. J'en voulais à ma mère de ne plus m'avoir donné de nouvelle pendant plus de trois ans et demi, elle avait baissé les bras et m'avait abandonné, j'avais que douze ans et maintenant j'étais plus qu'un squelette, j'étais aussi vide de l'intérieur que de l'extérieur. Je me blotti dans ma serviette essayant de ne pas penser au passé, je mis une blouse avec l'arrière plus grand que le devant, un de mes nouveaux jeans et je m'entraîna à marcher avec les talons, je crois que je gérais bien, je descendis en bas sous le regard attentif de ma mère.

-On as rendez vous à deux heure, me dit elle, on se dépêche de mangé et on part me dit elle.

Je picora dans mes petit pois pendant que ma mère est le temp de manger un steak, des petit pois et un yaourt puis on partis, arrivé devant chez " Will's" un salon de beauté on j'avais déjà été quelque fois.

-Ah mais c'est quelle a beaucoup poussé la petite Valentina, s'écria William le gérant du salon, enfin petite, elle me dépasse maintenant.

Il me fit signe de m'assoir sur le fauteuil, je manquais de trébucher sur le sol, j'avais encore du mal, c'était la première fois que je marchais avec des talons et même compensé, les talons de dix restait haut.

-Alors qu'est ce qu'on te fais ? Demanda William.

-Je ne sais pas trop, hésitais je, je veux juste garder ma longueur.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant