Chapitre 3

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Quand je pu ouvrir les yeux, je n'avais plus mal mais j'étais prise de vertige. Je tourna la tête et je fus surprise de voir mes triplé et mon père avec des larmes au yeux dernière la fenêtre du couloir qui donnait sur la chambre, ce qui leur ressemblaient pas du tout. J'espère que personne est mort, ma vision devenue moins flou, je soulèva le drap et j'eu une nausée, c'était dégueulasse, c'était jaune, bleu et rouge et j'avais un trou. En voyant le trou, je tourna la tête pour vomir de l'eau, j'avais que ça dans mon estomac. Mes frère et mon père arrivèrent à mes coté.

-Hey, sa va ? Celio, appelle le médecin, cria mon père.

-C'est rien, dis je après avoir finis de recracher, c'est juste trop moche.

-T'as faillit mourir, m'avoua Celio, tu as fais une réaction allergique à cause de la crème, je suis désolé.

-C'est rien, lui sourit je, c'est pas ta faute.

-Comment c'est arrivé ? Demanda mon père.

-Je suis fatiguée, mentis je.

-Un moment ou l'autre, dit mon père d'une voix sévère, il faudra bien que tu avoue.

-Très bien, je suis resté cinq jours dans une cave sans aucune lumières à me faire piquer par des araignées.

-Mais qu'est ce que tu foutais dans une cave ? Dis Enzo qui n'étais finalement pas muet.

-On m'y a jeté, repondis je.

-Mais qui ? cria Celio plus délicat que Enzo.

-La proviseure, dis je plus doucement en me rendant compte que ce que je venais de dire.

-Arrête, dis mon père, c'est n'importe quoi.

-Tu te souviens du jour où tu m'as laissé la bas ? Lançais je à mon père pendant qu'il hochait la tête. Te souviens tu, d'avoir vu un seul sourire ?

-Non, repondit il, mais sa se saurait si des élèves avait été maltraité.

-Pas si elles ne disent rien, certaines se sont suicidés, avouait je.

-Sa suffit, cria mon père, tu raconte n'importe quoi, ils t'ont pas laissé mourir dans ton anorexie, ils ne peuvent pas te maltraiter.

-Sauf si j'ai réussi à m'enfuir, dis je intimidé.

-Pourquoi tu cherche encore à te tuer alors ? Me lança Enzo.

Je décida de l'ignorer, il avait pas tord mais qu'est ce que je pouvais répondre à ça ?

-Je te crois moi, me dis Celio en s'approchant.

Celio et Enzo se ressemblait beaucoup physiquement, il était tout deux bruns, avec les yeux vert comme moi, le foot les avait rendus très musclés mais moralement Celio était beaucoup plus gentil, naïf et fragile. Enzo était très intelligent et égoïstes, il ne valait pas mieux que moi pourtant il était juste un connard alors que moi, j'aivais été beaucoup plus loin.

-Tu croirais encore au père noël, grommela Enzo, si elle te le dis.

-Tu n'as qu'à téléphoner au parents des anciens élèves, lança je à mon père.

-Bon, il es temp de partir, dis mon père.

Il détestait avoir tord et était près à m'importe quoi pour prouver qu'il avait raison.

-Je reste ici, annonça Celio, à moin que tu ne veuille pas ?

-Bien sur que si, souriait je.

-Mais putin, tu ne vois pas qu'elle te manipule ? Cria Enzo.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant