Chapitre 9

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Enfin j'allais voir ce match ! Louis était à côté de moi, j'apprenais à connaître un gars très drôle, loin de l'image ronchon qu'il m'avait semblé être à l'hôpital. Alonzo était rentré cette après midi, on avait même joué à FIFA tout les deux, avant qu'il se rendorme, il restait très fatigué. Enzo m'avait pas reparlé depuis deux jours, depuis l'entrée de Alonzo à l'hôpital, il avait continué de m'ignorer comme si j'avais rêvé de ce câlin. La silhouette noire me rendait toujours visite pour calmer mes cauchemar, je voudrais connaître la vérité mais je voulais que cette silhouette continue ces visite, j'en avais besoin tant que mes cauchemars dureront.

Le match venait de commencer, je repèra tout de suite mes triplés, ils étaient tout les deux attaquants. Je rigolais en voyant Louis perdre toute sa bonne humeur en voyant son équipe perdre la partie mais en me voyant rire, il me sourit. J'étais plutôt fier de mes frères, ils avaient beaucoup progressé depuis mon départ, ils étaient très complice sur le terrain, ce qui était plutôt mignon à voir. La mitan sifflé, aucun but n'avais été marqué, je voulais vraiment que mes triplé marque un but.

-Tu étais ou, avant ? Me demanda Louis.

-Dans un pensionnat, repondis je gêné.

-Je t'ai jamais vu avant, tu venais jamais voir tes frères ? Demanda t'il curieux.

-Je ne pouvais, répondis je d'un ton ferme.

Il se tut et changea de sujet.

-Tu connais personne par ici ?

-Non, à part toi et mes frères, la rentrée me stresse un peu, avouais je.

-Il y à une fête après le match, si ça te dis, je te présenterais du monde, proposa t'il.

Je lui souris, la soiré me stressais un peu mais ne pas voir des gents normaux me manquaient.

-D'accord, tu as des frères et sœurs ? Continuais je.

-Je te présenterais ma sœur jumelle ce soir sinon j'ai une petite sœur, dit il en souriant.

J'avais jamais eu de problème pour me faire des amis garçons, étant un peu garçon manqué. Le problème étant avec les filles même avec celle que je croyais ma meilleure amie. Au collège j'avais Anthonela, j'appelais les autres les suiveuse, quatre filles prête à tout pour devenir populaire mais pour ça il fallait d'abord passer par la reine Valentina.

Le match finit, j'était fier qu'Enzo ais marqué un but, ce qui fesait 1-0 pour Manchester. Une demi heure après on partais en direction de la fête.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant