Chapitre 18

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Je pris la balance et la balança dans le miroir, ce n'est qu'après que je me rendis compte de ma connerie. Je m'effondra et me recrovilla sur moi, 46 kg pour 174 cm soit extrême maigreur. J'étais pas extrêmement maigre peut être un peu maigre mais pas à un poid critique. Je ne pleurais plus et je fixais les carreaux de la salle de bain avec les morceaux de balance et de miroir, sept ans de malheur comme si ça pouvait être pire, pensais je. J'entendis du bruit venant d'en bas, je me leva avant que quelqu'un remarque le cadavre du miroir et de la balance. J'espérais ne pas voir Enzo, ni un de mes parents, au faite j'espérais voir personne, je ne voulais pas mentir à Celio encore une fois. Par malheur c'était bien Celio.

-Tu étais ou bordèle, gueula Celio.

Je me remis à pleurer pour lui dire que non seulement je m'étais redroguée mais aussi que nôtre triplés se droguer, il ne restait qu'une demi heure avant qu'il parte jouer au foot. j'avais pas trop envie de faire semblant de pleurer pendant toute la demi heure mais j'étais prête à tour pour éviter de lui répondre. ça fesait du bien de pleurer un bon coup dans ses épaule rassurante, celles qui m'ont encore jamais trahit.

-Tu as des nouvelles de Enzo ?

Je me remis à pleurer encore plus fort. Allez encore vingt cinq minutes, faut que je trouve autre chose.

-Je dois allé prendre mes cours chez Louise, bafouais je.

-Je les ai pris pour toi, me coupa t'il.

-Tu n'as pas pris mes mes maths, mentis je en prenant mon trench Burberry.

-Reviens, cria t'il.

-Il sera trop tard après.

Je partis en courant, il soupçonnait quelque chose. Je retourna chez Jordan mène si j'avais envie de commencer une longue période de gueule face à Enzo, j'étais trop inquiéte pour le moment. Je fus accueillis par une femme d'une trentaine d'année, je me suis sentis très gênée sur le moment mais la femme était très gentille et m'indiqua la chambre de Jordan. Elle devait sûrement être sa mère avec les même yeux gris persant. Je frappa à une porte du deuxième étages et Jordan m'ouvrit l'air contrarié.

-Merci de m'avoir laissé seul dans la merde, gronda Jordan.

Enzo n'avait toujours pas bougé mais tant qu'il respirait toujours, j'avais enfin la paix avec mon frère.

-Fallais que je parte d'urgence, repondis je stressé.

-Je sais pas ce que c'est vos histoires de famille mais sa m'à l'air assez compliqué. Constata le meilleur ami de mon frère.

-Je viens juste d'apprendre que certaines choses devrait jamais être fais de sa part.

-C'est à cause de ce que je t'ai dis pour la coke ?

-Tu m'as seulement révélé quelle connard était vraiment mon frère.

-Je sais que ça me regarde pas mais il tiens énormément à toi.

-Pas autant que je l'espérais.

La porte de la chambre s'ouvrit à toute volé et Celio apparut dans l'encadrement furieux.

-Vous me cachez quoi ?

Son expression changea quand il vit notre frère étalé sur le lit de Jordan.

-Vous lui avez fait quoi ?

-Il à besoin de personne pour se mettre dans un état pareil, rétorqua Jordan.

-Ou presque, soulignais je avec un regard noir en direction de Jordan qui me rendit mon regard.

-Il à prit quoi ? Gueula Celio hors de lui.

-Il à mangé quelque chose de pas frais, criais je, du poisson.

Bon d'accord pas très crédible même Celio qui est est très naïf pourrait pas me croire. Je ne pouvais pas dire à Celio qu'une autre personne qu'il aimait était un camé.

-Il prend de la coke de temp en temp, rien de méchant, le renseigna Jordan.

-Rien de méchant ! Repris Celio. J'ai perdu quelqu'un comme ça, elle ne seras plus jamais la même.

-Va te faire foutre, gueulais je. En.plus il en prend peu être depuis plus longtemps que moi.

Celio prit un air dégouté, je venais de trahir Enzo mais c'était lui qui m'avait trahit en premier.

-On fait quoi pour vôtre frère ? Nous interrompus Jordan.

Jordan et Celio essayèrent chacun leur tour de le réveiller. Il reçu plusieurs gifle et verre d'eau sur sa tête mais il ne bougea pas un doigt. Je m'approcha de lui et l'écouta respirer, je remarqua son extrême blancheur, il était comme un cadavre, son poil et sa respiration était irrégulierère.

-Il fait une overdose, prononçais je au bord des larmes.

-Tu en es sûr ? Demanda Jordan.

-Oui, putin appele les secours. Criais je.Enzo répond putin, Enzo.

Je répétais toujours et encore ces mots, soudain ma haine envers Enzo c'était reporté sur Jordan. À l'heure qu'il est mon frère était sûrement dans le coma, son visage était noyé de mes larmes et Celio ne bougeait plus, il était encore à l'entré de la chambre à nous fixer.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant