Chapitre 2

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-Tu peux bouger. Me demanda le vigile.

J'hocha la tête, j'avais simplement mal au bras, j'essaya de me relever mais j'avais un peu de mal avec un bras en moin, le vigile m'attrapa et me remis sur pied. Il m'entraîna dans une pièce suivit de mes deux frères, il me donna de la glace pour mon œil et desinfeta ma lèvre, Alonzo sortit son téléphone.

-Alonzo, tu fais quoi ? Demandais je avec une voix endormis par la douleur.

-J'appelle papa, dit il.

-Non !

-Tu veux vraiment qu'ils se posent encore plus de questions ? Dit il.

J'étais déjà rentré à la maison dans un état semblabe à celui ci, pas pour me défendre mais parce que j'avais cherché la merde sans aucune raison valable.

-Tu peux bouger le bras, me demanda le vigile.

-Je secoua le bras difficilement.

-Sa doit être une entorse, conclut le vigile.

-Sa te fais mal ? Me demanda Luca.

-Non, dis je en lui souriant.

Ont resta silencieux jusqu'à l'arrivé de mes parents, je revis l'inquiétude et la colère qui avait marqué le visage de mes parents pendant six mois.

-Qu'as tu fais encore ? Crias ma mère. J'ai crû que t'avais changée.

-On va te réinscrire à l'internat, annonça mon père plus direct.

À cette annonce mon sang se glaça puis ma tête bascula contre le sol.

"On me jeta dans une cave, ma tête cogna le mûr et je m'écroula sur les graviers qui me piquait dans le chair, je m'endormis à bout de force avec la tête ensanglanté. J'avais seulement répondu au mechanté que m'avait lancé la prof d'Anglais. Je la revoit encore et toujours.

-Tout le monde sait ça depuis le primaire,mademoiselle Mastriani, malgré d'apprendre que tout le monde n'à pas encore atteint le cp.

-Je me plait bien en grande section, dis je.

Elle m'envoya chez le proviseur qui ouvrit une porte, d'ou ne distinguais qu'une pièce noir.

Des chatouillis me tira de mon sommeil, je poussa mon bras mais les chatouilles me montais sur le bras, je me leva des graviers, les chatouille prirent place à des plaques douloureuses, je mis ma main sur mon ventre des gros boutons avaient fait leurs apparition, je ne sais pas combien de temp je suis resté à me morfondre dans la douleur à griffé mes démangeaison et dans le froid aucune lumière ne venait éclairer la pièce, je suis rentré dans la pièce le 13 octobre et j'en suis ressortie le 17 octobre"

-Hey, réveille toi.

J'étais en sueur et j'avais bougé dans tout les sens, les drap blanc c'était complètement défait du lit d'hôpital, un cauchemar ce n'étais qu'un cauchemar. Je me toucha le ventre les boutons des araignées avaient laissé une énorme cicatrice à force de me gratter, dans cette cave j'y avait laissé mes ongles et ma peau.

-Celio. M'ecriais je.

-Ouai, dis t'il avec un l'air de s'en foutre,t'as fais un cauchemar, je devais juste te dire que si dans trois semaines tu fais le moindre écart, tu retourne au pensionnat.

-Attend, lui criait je avant qu'il ne sorte je ne savais pas quoi lui dire mais j'espérais qu'il vienne me prendre dans ses bras.

-C'est pas ma faute pas cette fois, finis je par dire, après qu'il se soit tourné vers la porte.

-Putin, cria t'il,mais arrête de nous prendre tous pour des crétins, tu vas encore inventé quoi ?

-Tu me connais mal, dis je en élevant la voix, j'ai toujours tout avoué fièrement, on peut m'accuser de pas mal se chose mais pas d'être une menteuse.

Il s'approcha de moi et je me blotti contre moi en croyant qu'il allait me frapper, comme d'habitude je laisserais les coup rebondir sur ma peau et comme d'habitude je ne lèverais pas la main. Il ne releva le visage avec ses doigts, il eu l'intention de me dire quelque chose mais sans faire exprès, il posa sa main sur mon ventre. Je sursauta, quand il vu que j'avais mal il tira le drap mais j'esseya de caché la cicatrice qui prenait une grande partie de mon ventre.

-Montre moi, gueula t'il.

Je me cachait terrifiée, personnes n'avait mon ventre à par peu être les médecin mais il n'y prenait guère attention, Celio me prit les mains puis s'arrêta à la vue de mon ventre.

-C'est quoi ça ? Me dis il plus calmement.

Je me tourna dos à lui, personnes ne savait la vérité.

-C'est une brûlure ? Recommença t'il.

-Non.

-Un cannibale à commencer à te manger mais il y avait trop d'os.

-Non, rigolais je.

-Est ce que sa a été vue par un médecin ? Dit il.

-Je sais pas, dis je, sa fais plus de trois ans que c'est la.

Il s'approcha de mon ventre, peu être qu'il y aurait fallut que je montre ça à un médecin mais de toute manière au pensionnat aucun médecin n'était jamais venu, l'infirmière nous prenant tous pour des chochotes.

-Tu permet que j'appelle un médecin ? Demanda t'il.

-Si ça peux t'amuser, dis je.

Il revient quelques minutes après avec un médecin, le médecin pointa une lumière et examina.

-Comment c'est arrivé ? Demanda le médecin.

-J'ai griffé des morsures d'araignée.

-Vous y avait été fort, vous n'avez pas soulagé la douleur avec une pommade ou crème ?

-Il n'y avait pas de petite crème dans cette endroit, repondis je.

-Depuis combien de temps l'avez vous ?

-Plus de trois ans.

Le médecin désinfecta toute la plaie et passa une crème.

-On verra comment évolue sinon je ferais venir un spécialiste.

Il partis me laissant seul avec Celio.

-Des araignées mais où tu as pu allé pour qu'un nid d'araignée se jettent sur toi ?

-Ne compte pas sur moi pour te le dire.

-Pourquoi ? Me questionna t'il.

-Je préfère oublier ces quatre dernières années surtout ce passage la.

-Monsieur, vous allez devoir partir l'heure des visites est terminer.

Il m'embrassa sur la joue puis il s'en alla me laissant seule, j'avais de nouveau peur. Je n'avais pas repensé à cette semaine dans la cave depuis six mois, soit à la dernière fois que j'y suis allé.

Je me réveilla à trois heures à cause du même cauchemar, je sentis tout mon ventre me brûler, j'appela une infirmière à l'aide du petit bouton, j'avais encore plus mal qu'il y a trois ans. L'infirmière arriva et regarda la plaie, je me mis à crier, tout était gonflée et du sang glissait partout sur les draps et mon corp. Elle appella à l'aide et me compressa le ventre, d'autres infirmières arrivait avec un médecin, je criais toujours, une des infirmières essayaient de me calmer mais rien n'y fais, je me sentais de plus en plus faible.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant