Chapitre 10

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On arriva devant une maison assez grande, certain était déjà endormis dans un coin de pelouse d'autre tenait encore debout dans un triste état. J'étais seule avec Louis, Célio devait être encore sous la douche, il se posa sur le canapé avec son gros plâtre il devait fatigué.

-Tu veux que j'aille te chercher un verre ? Proposais je.

-Si tu veux bien, je prendrais une pression, répondit il.

Je me leva pour lui rapporter sa pression et me pris une swirnoof mais quand je retourna au salon quelqu'un avait déjà prit ma place. Une fille extrêmement belle avec des long cheveux blond et elle était habillé d'une petite robe libertine, Louis semblait en pleine discussion avec elle pourtant il détourna sa tête vers moi et m'appela, j'avança vers lui timidement avec les deux verres.

-Valentina, je te présente ma sœur Mary, dit Louis tout content.

-Tu es la sœur de Célio ? Demanda t'elle toute joyeuse.

Ils se ressemblaient pas beaucoup physiquement mais ils avaient le même sourire et les même yeux gris clairs, ils me fesaient penser à moi et Enzo avant, ils avaient l'air très complice tout les deux.

-Oui, repondis je en souriant. Tu veux quelque chose aussi ? Rajoutais je en tendant la pression à son frère.

-Non merci, rigola t'elle, je ne suis pas handicapé moi.

J'étais soulagé qu'elle me parle pas de Enzo, il m'ignorait toujours et ça me fesait de plus en plus mal de ne pas l'avoir près de moi. L'arrivé de l'équipe de foot se fit entendre, certaines filles devenaient presque hystériques comme si Justin Bieber allait arrivé. Celio arriva et ignora les quelques filles qui l'approchaient et vient me voir.

-Alors j'ai bien joué ? Dit il d'un ton ironique.

-Tu t'es amélioré depuis la dernière fois, souriais je.

Il mit sa main sur mon épaule, puis salua Louis et Mary. Je remarqua qu'il fesait son timide avec elle, il pouvait rien me cacher lui, pendant que trois bon copain sautèrent sur Louis, sa sœur proposa d'aller sur la terrasse, elle sortie une cigarette et je pris les miennes sous le regard surpris de Celio.

-T'inquiète j'ai juste repris la clope, lui chuchotait je à l'oreille.

-Tu me promet que ça s'arrête la ? Chuchota t'il a son tour.

-Promis, dis je en lui serrant le petit doigt quelque chose qu'ont avaient pour se rassurer tout les trois.

-Alors, comment se fait il qu'on a jamais entendu parlé de la soeur des fameux jumeux Mastriani ? Demanda Mary.

-Dans un internat, dis je tout bas. J'avais pas du tout envie d'en dire plus.

-Tu vas à nôtre lycée à la rentrée ? Dit elle en souriant.

-Oui, tu te plait dans ce lycée ? Demandais je.

-On rigole bien malgré que le quart des élèves soient composé de salope et de branleurs. Dit elle sincère.

On discuta pendant plusieurs minutes mais je me sentais de trop en voyant leur regard se croiser plusieurs fois, ils étaient mignons tout les deux. Je m'éclipsa en prêtexant avoir envie d'aller aux toilettes, je retourna au salon et vit Louis qui n'avait pas bougé en compagnie de ses copains, Enzo était dans un coin avec une blonde surmaquillé quand une fille me bouscula violement contre le sol. Je releva la tête pour voir une rouquine avec un regard furax.

-Reste loin de lui, gueula t'elle.

-De qui ? Dis je confuse.

La fille s'énerva de nouveau et me donna un coup de pied dans les côte, je me releva pour éviter un autre coup de ce genre. Elle me plaqua contre le mur et s'apprêta à m'insérer un coup de poing mais quelque chose lui en empechais. Je releva la tête pour voir Louis qui empechais la rouquine d' accéder à moi avec sa béquille.

-Laisse la, lacha t'il d'un ton ferme.

-Je la finis d'abord, ricanna t'elle.

Elle poussa sa béquille, il réussit tout de même à retrouver l'équilibre mais sur une jambe il lui était difficile d'intervenir, je chercha Enzo du regard, il avait promis d'être au moin la pour me protéger. Toujours pas de Enzo pendant qu'elle m'avait déjà affligé une dizaine de coup dans le ventre. Tout le monde avait tourné son regard vers nous et la colère s'empara en moi quand je vis Enzo tracé des lignes blanche, je poussa la fille pour directement allé coller une gifle à Enzo. Des larmes coulaient sur ma joue, qu'est ce que cette putin de famille avait avec la drogue ? D'abord la tentative d'Alonzo et maintenant Enzo qui prenait de la coke, je ne sais pas ce qui me fesait le plus mal, qu'il prenne simplement de la drogue ou qu'il me reproche d'avoir été une droguée pour en prendre aussi.

-Tu te fou vraiment de ma gueule ? Criais je hors de moi. Je voulais le taper à nouveau mais il me retient et m'entraîna ailleur, on passa devant la rouquine et son sourire narquois.

-Tu t'en fais combien, salope ? Me jeta t'elle.

J'aurrais voulus lui insérer mon poing dans son nez pointu mais Enzo me serrait fermement les deux mains. J'étais en colère mais j'étais en même temp très faible, je me sentais tellement minable. On entra dans une chambre et il me lacha mais je m'écroula sur le sol en pleurant. Je crois que je me serais endormis si je m'étais pas mise à saigner du nez. Je m'assis contre le mur, Enzo était sur un fauteuil en face de moi et me fixait nerveux. Le sang coulait jusqu'à ma joue, cela devait être assez répugnant à voir. Enzo m'apporta un linge humide et essuya ma joue puis il me fit mettre ma tête en bas avec un doigt sur la narine. Cinq minute après j'avais repris mes esprits et lui recolla une gifle sur sa joue.

-Merde, tu as la tête où en prenant de la coke ? Criais je de nouveau. Tu me fais encore la geule après plus de trois ans et t'en prend, t'as oublié ce que ça m'as fais la drogue.

-J'en prend pour m'amuser pas pour me tuer, insinua t'il.

-C'est vraie que c'est très rigolo, ironisa t'il.

-J'en prend juste de temp en temp, dit il insensible, il y à pas de quoi en faire un drame.

-Un jour tu le deviendras, si tu le dis ça et puis tu voudras passer à quelque chose de plus fort...

-Ça n'à rien de commun avec toi.

-Je te vois en reprendre, j'en reprendrais, promis je.

-Tu peux pas faire ça, dit il horrifié.

-Ça n'à rien d'un jeux et cette fois ça seras la dose mortelle. Annonçais je avant de me lever afin de quitter la pièce.

-Tu peux pas essayer de te tuer à chaque fois que ça devient un peu compliqué, lança t'il en me retenant par le bras.

-Tu sais pas ce que j'ai vécu, annonçais je les larmes aux yeux.

-Raconte

-Tu peux pas me protéger de tout et tu n'aurais pas envi de me croire.

Je réussi de me détacher de lui puis repartit chez moi.

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J'aimerais avoir vos avis sur mon histoire, sur les points à améliorer, merci.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant