Chapitre 8

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Quand je vis Alonzo étalé sur le trottoir une force inexpliquable s'empara en moi. Je donna plusieurs coup de pied dans le vide jusqu'à ce qu'il me lâche après un coup que je croiyais dans les bijoux de famille. Je fonça vers Alonzo et à ma grande surprise, il se relèva et se mit à courir devant.

J'ignorais ou était Paul, j'ignorais depuis combien de temp ont courraient, j'ignorais même ou ont etaient Alonzo s'arrêta et je tourna la tête en arrière, personne, je m'approcha de mon frère. Ont étaient tout deux essoufflés assis contre le muret.

-Pourquoi tu t'es allongé par terre tout à l'heure ? Dis je encore essoufflé.

Il n'eu pas le temp de prononcé une phrase qu'il se mit à tousser sans pouvoir s'arrêter, je voyais les manches de sa veste devenir rouge, il crachais du sang. J'étais toute affolée et le releva, il toussait toujours et il commençais à devenir tout rouge, je crias pour appelé une mamie avec son caddie qui s'empressa de venir.

-Madame est ce que vous avez de l'eau, s'il vous plait, criais je affolée.

Elle hocha la tête et farfouilla dans son caddie pour en sortir une bouteille d'eau, je fis boire comme je pouvais mon petit frère.

-Voulez vous que j'appelle les pompiers ? Demanda la dame.

Je regarda Alonzo qui était au plus mal, je devais rompre mes promesse.

-Oui, s'il vous plaît, dis je.

Sa toux avait enfin cessé, je m'assis à ses côté et il posa sa tête sur mon épaule, je devais lui parler afin qu'il ne s'endorme pas.

-Sa va mieux ? Demandais je.

-Un peu, dit il faiblement.

Il recommença à tousser un peu et par la même occasion à cracher du sang, je poussa sa tête et me posa en face de lui.

-Parle plus mais essaye de ne pas t'endormir, dis je les larmes aux yeux.

Il posa ses bras sur mes épaules et coucha sa tête près de la mienne mais je releva de nouveau sa tête car il aurrait finit par s'endormir et je caressa sa joue, il était tellement pâle. Cette fois les larmes coulaient à flot, j'aurais jamais dû lui promettre de garder le secret au lieu de l'entrainer la bas, tout était encore de ma faute.

-Il faut le mettre en position de sécurité, dit la mamie, les pompiers ne vont plus tarder.

Je l'aida à s'allonger délicatement sur le coter et le couvra de ma veste de tailleur, il était tout tremblant et s'accrochait à ma main comme à une corde.

-Part pas s'il te plait, murmura Alonzo avant de fermé les yeux.

-Alonzo revient putin, criais je, tu dois pas t'endormir.

Je pleurais, je criais et j'étais enervé contre moi, tout.était de ma faute. Quelqu'un me poussa sur le côté et je m'écroula en pleurs sur le trottoir, je murmurais sans cesse le nom de mon frère, ma vision était devenu flou et je n'entendais plus rien. J'avais peu être tué mon petit frère, j'étais une criminelle.

"-Valentina, pourquoi tu viens plus me voir jouer au foot ? Me demanda Alonzo mon petit frère de dix ans .

-J'ai autre chose de prévu, dis je pressé.

-Tu vas encore prendre de la drogue ?

À dix ans il était loin d'être bête et comprenais facilement la situation actuelle, même si personnes ne lui avait expliqué malgré mon overdose.

-L'ennui avec la drogue c'est qu'on peu pas s'en passer, lui dis je simplement.

Je l'embrassa sur le front et quitta la pièce quand il s'accrocha à ma main comme si c'était une corde.

Jusqu'à la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant