Voici une saison 3 différente de l'original.
Laguerra rejoindra nos héros bien plus tôt et dans d'autres circonstances. Je vous invite à lire le prologue .
Cet Fanfiction contiendra des éléments de l'original en revanche certains passage seront ch...
Au beau milieu des montagnes et du sol enneigé, une étrange machine noir se pose juste à côté d'un bateau qui est bien différent des autres. Au pied de se bateau se trouve trois personnes avec une chasuble . Leur identité étant inconnue.
Dans le bateau , un petit homme roux semble admirait un récipient avec une substance doré . Cet homme roux ce trouverais être Ambrosius. Un alchimiste très savant avec de mauvaises intentions comme celle de s'emparer du savoir d'un peuple pratiquement disparu pour pouvoir dominer le monde .
Ambrosius : Ahaha oui ma belle ensemble nous allons faire de grandes choses. S'exclama t'il tout joyeux .
La porte de la Nef s'ouvrît laissant place à un alchimiste.
Alchimiste : La machine olmèque vient d'arriver maître Ambrosius. Nous allons procéder au transfert du prisonnier.
Ambrosius : Parfait ! Emporter également ceci , c'est la matrice d'Oricalque ! Prenez en le plus grand soin . Dit il en la donnant à l'alchimiste.
Un des alchimistes qui se trouvait sur la Nef actionna un levier . Qui déplaça le prisonnier qui se trouvait dans un tube de taille humaine . Le prisonnier était en réalité Athanaos le père d'Esteban . Les alchimistes à présent au pied de la Nef , attendirent que le prisonnier soit déposer en bas . Ambrosius s'approcha de lui .
Ambrosius : Ravi de t'avoir revu Athanaos ! Nous aurons l'occasion de discuter plus tard , nous évoquerons... le bon vieux temps . Dit il sournoisement. Je passerais le bonjour à ton fils de ta part ! Ahahah . Dit il en s'éloignant.
Athanaos : Ambrosius, Nonn !
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Pendant se temps le condor volait au dessus des nuages . Tao chercher visiblement quelque chose dans son livre .
Tao : C'est pas ça ! Non . J'y trouve rien . Mon livre n'en parle pas . Ehh ça ressembler à quoi au juste ces luminoprojection ? A des fantômes ?
Zia : Non... plutôt à des images ... comme ses vitres de couleurs qu'il y'a dans les églises en Espagne . Sauf que sa bouger et sa parler .
Tao : J'aurais tellement aimé voir ça ! Pourquoi vous êtes pas venus me chercher ? Les interrogea t'il .
Zia : La salle s'est refermée toute seule ! Je me demande quelle merveille les autres cités nous réservent encore .
Tao : Bah moi , je suis plus vraiment sûr de vouloir les découvrir. Dit il furieusement en fermant son livre . Si c'est pour les livrés à Zarès, vous imaginez. Le glorieux héritage de mes ancêtres dans les salles pattes de cet brute ! Non . On peut pas laisser faire ça , se serrait une trahison... ce serait comme ... détruire les cités d'or nous mêmes.
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Esteban lui était dans ses pensées. Il repensait au moment où il a vu son père se faire enlever par Zarès sous ses yeux . Lui juste devant, impuissant .
