Chapitre 10

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PDV Izana :

J'étais assis sur une chaise près de la porte Dans une pièce sombre, le mec qu'on avait capturé était attaché inconscient sur une chaise au milieu de la pièce. Je le surveiller seul pendant que y/n était parti aux toilettes. Il mettait vraiment beaucoup de temps à émerger, elle y est pas allée de main morte. Je vis qu'il commençait à bouger et à ouvrir les yeux.

Izana : T'es enfin réveillé, et bah dis donc t'en a mis du temps. J'espère que t'as bien profité de ce petit somme parce que le prochain sera définitif.

Sayo : T'es le mec qui était avec y/n et qui arrêtait pas de rire.

Izana : Ouais c'est ça. C'était vraiment drôle à voir. T'es tellement faible que tu dois supplier pour ta vie. Aucune dignité.

Sayo : T'es qui pour dire ça, enfoiré. Je te préviens je faisais parti d'un gang et je sais me battre alors prends grade de pas me provoquer.

Izana : T'es vraiment insolent pour un mec attaché qui peu pas bougé le petit doigt et qui vas se faire torturer à mort. Tu réalises vraiment dans quelle situation tu es.

Sayo : Elle n'oserait même pas me toucher pour elle je suis un dieu intouchable. Alors comment pourrais-je mourrir.

Y/n avait raison il est vraiment détestable. Comment il ose dire ça dans se position. J'ai vraiment envie de le virer maintenant tout de suite mais c'est son rôle.

Izana : De un elle, elle a un prénom, de deux elle te hais du plus profond de son âme et te tireras et de trois si elle le fait pas je le ferais.

La troisième condition je fus prononcer avec insistance et menace, cette fois ça lui as clouer le bec.

Izana : Au fait tu m'as pas dit de quel gang t'étais, j'aimerais bien savoir qu'on rigole un peu.

Mon ton était toujours glacial et méprisant. C'est fou à quel point ce mec me dégoûtait.

Sayo : J- j'étais dans le Black Dragon. Au service du chef de la 8eme génération et on était très proche si il apprend ce que vous êtes en train de le faire il ça vous butée. Je te préviens il est complètement taré et hésites pas à tuer. Tu fais moins le malin maintenant...

A la fin de sa phrase sa voix se brisa. Il commençait vraiment à m'énerver. Je m'approche de lui pour qu'il voit mon visage. Je le fixait droit dans les yeux c'est ridicule comme il tremblait comme une feuille. Y/n dépêche toi sinon je vais le tuer avant que t'es pu t'amuser.

Izana : C'est totalement impossible que le chef de la 8eme génération du Bkack Dragon vienne te sauver puisque c'est moi. Ma voix devint tranchante et froide mais on sentait la colère. Je vais te dire un truc ça me met vraiment hors de moi qu'un merdeux comme toi salisse mon nom et celui du Black Dragon ! C'est un totale manque de respect envers le gang et led fondateurs.

Je me releva et alla chercher un poignard qui étais accrocher au mur, je m'approchais lentement de lui. Il était littéralement en train de se pisser dessus. Quel baltringue ce mec.

Sayo : Qu'est-ce que tu vas faire avec ça arrête ! Ne t'approche pas ! Je suis vraiment désolé je n'aurais pas du mentir comme ça !

Izana : Ta gueule connard ! Tu commence a grave me les briser avec tes excuses de merde depuis de tout à l'heure.

Arrivé devant lui j'attrape sa langue avec ma main libre et approche le poing nard celle ci pendant qu'il se débattait comme un dingue. Poussant quelque gémissement de terreur et tentant d'articuler des supplications en espérant que je le laisse.

Izana : Arrête de bouger comme ça. Si tu continues je vais me rater et sa risque de faire très mal. Je pourrais déborder sur la joue ou te crever l'œil sans faire exprès. Ce serait vraiment con.

Au moment où la lame s'enfonçait dans sa chair la porte s'ouvrît et y/n entra.

PDV y/n :

Je marchais dans le couloir en direction de la salle où étais Izana quand soudain j'entendais des cris de supplication. Je commença a courir en espérant arriver a temps. C'était moi qui devais ouvrir les festivités pas lui !

Les cris s'étaient tus il ne l'avait quand même pas tué il n'avait pas osé. Je rentra brusquement presque en défonçant la porte.

Izana s'arrêta nette dans son geste et se tourna vers moi un grand sourire innocent collé sur la face. Il allait lui couper la langue !

Je me précipita vers eux et arracha le poing nard des mains d'Izana. Il me regardait l'air tout contrarié et tenta de reprendre le couteau sans lâcher sa langue.

Izana : y/n s'te plaît rends le moi. J'en ai vraiment marre il déblatère des conneries depuis tout à l'heure. Et il m'a manqué de respect !

Y/n : Non c'est ma vengeance, c'est moi qui commence ! Et t'aurais du m'appeler au lieu de parler avec lui.

Izana : Tu voulais que j'aille te chercher au toilette ? T'es vraiment bizarre.

Y/n : Non mais... Laisse tomber.

Sayo : y/n dieu soit loué je t'en pris sauve moi de ce taré. Qu'est-ce que tu fous avec un malade mentale comme ça. Dit-il avec empressement comme si j'étais sa pote.

Je me tour a vers lui avec un regard à glacé le sang. Et pointa la lame au creux de son cou.

Y/n : Écoute moi bien toi. Je suis plus la gamine flipper qui fais tous c que tu lui ordonnes. Alors tu vas calmer tes ardeur et fermer ta grande gueule. Pigé !

Sayo : Tu oses me parler comme ça sale chienne, c'est moi qui t'es récupérer dans la rue quant tu crevais la dalle ! Je t'ai offert un toit et un boulot ! Espèce d'ingrate ! J'aurai du te laisser crever dans le froid.

A l'entente de ces mots ma colère explosa je donna un énorme souci de pied dans son flan se qui fut basculé la chaise sur le côté, puis j'attrapa ses cheveux pour le forcer à me regarder redans les yeux.

Y/n : Tous ce qui t'arrive maintenant c'est ta faute ! La tienne et celle de personne d'autre, tu m'as fais vivre un véritable enfer espèce de sale batard ! Trois longue années de souffrance à vouloir sortir d'ici.

Je commence a le frapper de toutes mes forces lui explosant le nez et laissant des traces bleues sur tous son corps.

Y/n : Tu ne sais pas ce que ça fait d'être captivé, d'être traité comme un animal ! Au début tu n'arrives pas y croire, comment cette personne si gentille est devenue comme ça. C'est ma faute, j'ai fais quelque chose de mal ? C'est ça que tu te dis ! Et après l'enfer se prolonge tu ne rêves plus que d'une chose sortir de la. Faites que ça s'arrête ! Puis pour empirer les choses comme si elles n'étaient pas déjà assez horrible, tu as osé poser tes sales pattes sur moi ! Et en plus tu m'as vendus dans des clubs de putes ! Espèce d'enculé ! Tu n'imagines pas a quel point je te hais.

Izana : Bah dis donc ça en fait des choses je comprends mieux pourquoi tu voulais le buter.

Tu soupiras et passa ta main dans tes cheveux pour les remettre en place et essuyer le sang qui avait giclé sur ton visage. Ça faisait tellement du bien de déversé ta rage sur lui. Tu redressa sa chaise et contempla son visage enflé et couvert de bleus et de sang. Tu le regarda longuement satisfaites de ce début et réfléchit la suite. Soudain un sourire carnassier se dessina sur ton visage, et tu te dirigeas vers les armes accrochés au mur.

Izana x reader   Ensemble jusqu'à la fin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant