Izana x reader Ensemble jusqu'à la fin

Chapitre 9

Je n'avais plus besoin du fauteuil roulant et ces quelques jours passé avec lui étaient très agréables il n'en restait plus qu'un et comme on aurait peut-être plus l'occasion d'être seuls comme ça sans que les autres ne nous nargues je voulais absolument mettre au point un plan pour exécuter mon ex.

Y/N : Izana tu peux venir ici stp. Je voudrais faire une mise au point avec toi.

Izana : J'arrive.

On s'installa tous les deux dans le salon.

Izana : De quoi tu voulais me parler ?

Y/N : C'est le dernier jour où tu dois rester alors je pensais qu'on pourrait planifier le meurtre.

Izana : D'ailleurs j'ai dit que j'étais d'accord mais tu veux tuer qui ?

Y/N : T'es vraiment pas croyable, tu acceptes de commette un crime mais tu te renseignes pas. T'es trop con. Dis-je en rigolant. En gros c'est mon ex.

Izana : Ton ex, je sais pas ce qu'il t'as fait mais il est vraiment con pour chercher la merde a une meuf comme toi. Ou tu butes tout tes ex, ce qui serais un peu contrariant pour mes projets.

Y/N : C'est le seul copain que j'ai eu et je le déteste pour une raison spécifique. Et comment ça tes projets, tu le fais peur parfois tu sais. Enfin bon t'entrons dans le vifs du sujet.

Pendant que je sortais une carte, des photos, des notes et des armes Izana me regardait avec un sourire en coin et un regard insistant.

Y/N : Arrête de me fixer c'est perturbant. Bon voilà c'est lui Sayo Irimi. Je lui tendit une photo. Il se rends au club de mites le jeudi soir à 22h, on l'interceptera à ce moment et on le kidnappe. Je connais une ancienne maison ou on le mettra. On pourra faire se qu'on veut c'est insonorisé et y'a pas de voisin. Ensuite quand on l'aura buté on brûlera son corps à l'acide. Là-bas y'a l'embarras du choix niveau armes. Ce que j'ai ramené c'est juste un petit aperçu.

Izana : En fait t'as tout organisé, moi qui croyais que je devrais tout t'apprendre. Et pour les flics ? Perso je m'en fiche je suis déjà aller en taule mais toi...

Y/N : Y'a aucun problème pour les flics tout le monde déteste ce connard on remarquera même pas sa disparition. Alors pour qu'on ouvre une enquête sur lui alors que y'a aucune preuves, t'inquiètes.

Izana : Ok. Mais jeudi c'est demain. T'aurais pu m'en parlé avant.

Y/N : Râle pas j'aurais très bien pus te le dire demain à 21h.

Il ricana et ébouriffa mes cheveux.

Izana : Ça te dit d'aller manger des ramen j'ai pas envie de cuisiner.

Je me leva et on partit faisait du bien de sortir après avoir passé 1 semaine enfermé. Après le resto on est allé faire un repérage des lieux. Ce cretin a voulu entreras sur le club pour soi disant connaître le terrain si on devait rentrer. Après il s'étonne qu'on le traite de pervers.

Une fois rentre on est partis dormir j'ai pas pus fermer l'œil de la nuit tellement j'étais excité. Lui par contre il dormait très bien.

Le lendemain arriva une vite on étais sur place a 21h45 pétante, y vas où il arrive plus tôt. On s'était installé dans une ruelle sombre près du club.

Izana : Il en met du temps on pote

Y/N : C'est pas mon pote.

Izana : C'est bon détend toi t'es trop tendu depuis ce matin, c'est super chiant tu sais.

Je le regarda avec mon plus beau regard noir. Avant de rediriger mon regard sur le club. Izana continuait de parler en espérant m faire réagir, il devait vraiment s'ennuyer pour faire ça.

YN : Tais toi il est là.

Izana : Sérieux enfin, on va pouvoir bouger d'ici.

Y/N : T'arrives toujours a parler avec toute la salive sur t'as utiliser. Bouge pas je vais le chercher.

Je m'approchai de lui discrètement et saisi son col pour le tirer dans la ruelle sombre et je le balança violemment dans les sacs de déchets.

Sayo releva la tête en se frottant l'arrière du crâne, quand il me reconnu On aurais dit qu'il avait vu un fantôme puis son regard devint charmeur sûrement qu'il croyait encore pouvoir me séduire et se servir de moi, ce connard.

Sayo : y/n ça fait longtemps comment tu vas depuis le temps. Tu es venus me chercher ? Je savais que tu ne pourrais pas te passer de moi. Après tout tu es incapable de te débrouiller toute seule.

Il me faisait rager ce ton insolent et ce regard me donnait la gerbe. Il n'a même pas encore compris dans quelle situation il se trouvait. Il essaya de se relever mais je m'en empêcha en écrasant mon pied sur sa sale gueule de rat.

Y/N : Reste dans les poubelles c'est la qu'est ta place, ordure. Tu devrais t'estimer heureux que je te crèves pas tout de suite.

En entendant l'agressivité de ma voix et en croisant mon regard chargé de haine il lâcha l'affaire en détournant le regard vers le sol. Voilà qu'il commençait à me sortir des excuses bidon et à trembler de peur.

Y/N : Franchement tu me dégoûtes espèces de sale merde. Comment j'ai pus me faire contrôler par un lâche comme ça.

Quelques mètres plus loin Izana faisait tout son possible pour se retenir de rire. J'assomma Sayo d'un coup sec et nette pour pouvoir le transporter sans qu'il se débatte. Je me tourne cris Izana qui finit par céder et éclater de rire.

Y/N : Pourquoi tu rigoles comme une tarte depuis tout à l'heure.

Izana peina à me répondre entre deux respirations.

Izana : Il est tellement pitoyable, c'est à mourrir de rire comment il t'as supplié après avoir tenté de te draguer.

Après ces quelques mots qu'il peina à articuler il reparti dans un fou rire et je vins me joindre à lui. Après ce fou rire interminable on repris notre sérieux et je lança.

Y/N : Ça fait longtemps que j'avais pas ris comme ça. Ça fait vraiment du bien. Aller on remballe direction la maison paumée.

J'embarqua le corps sur mon épaule pour le balancer dans le coffre de la voiture. Et partir pour notre destination.