Chapitre 8

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Je me faisais plein de scénarios dans ma tête. Est-ce qu'il allait dormir ici, si oui où ? Je suis trop bête il allait dormir sur le canapé. Mais j'allais rester seule avec lui durant le reste de la semaine. Mon cerveau était en surchauffe, mais pourquoi je panique comme ça. Je ne sais plus ou donner de la tête.

Izana : Bon...

Sur ce mot l'atmosphère changea de tout au tout, elle était devenue pesante et oppressante, mon cœur accélérait et le stress m'envahissait, mon instinct de survie s'emballait et une seule idée était présente dans mon esprit.

Fuire. Mais j'étais bloqué dans ce foutue fauteuil. Il se retourna vers moi et me fixait, ses yeux étaient grands ouvert et son regard menaçant. Izana se rapprochait dangereusement de moi et commença a parler.

Izana : Avant de t'évanouir tu as dis vouloir faire vivre un enfer à quelqu'un. T'as un plan ? Tu veux le tuer, le torturer, le briser, ou t'as juste dis ça sur le coup de la fatigue. Je suis près à t'aider mais tu es sûr de ton choix. On peut pas faire marche arrière après ça.

Une fois assez près il posa ses mains sur les accoudoirs du fauteuil, me regardant droit dans les yeux et dit d'une voix calme et pose mais qui inspirait la peur. Son calme faisait peur. Il parlait de ce genre de choses comme d'un jeu auquel il était habitué et où il était sûr de gagné.

Izana : Tu hais cette personne au pont de vouloir sa destruction ou c'est juste des conneries ?

Cette phrase qu'il venait de prononcé produit un déclic en moi. Est-ce que le le hais vraiment au point de vouloir le tuer ? Bien sûr qu'elle question, il m'a fais vivre un enfer au pont de vouloir mourir. Je releva les yeux vers Izana, son regard était hypnotisant et flippant. Je releva les yeux pour affronter son regard, déterminé et une lueur de folie, je pris son visage entre mes mains en souriant. Ma voix sortie posément de ma gorge.

Y/N : Je veux qu'il souffre, qu'il connaisse le désespoir et la mort. Une mort cruel et lente, une torture psychologique et physique dont sa chair et son âme seront marquer jusqu'au fin fond de l'enfer. Alors tu veux bien être mon complice et porter le fardeau de cette vengeance avec moi ?

Je me sentais à l'aise dans cette situation , il me comprenait et n'aurait pas peur si je lui révélait cette partie de moi, pour la simple et bonne raison qu'il est encore pire que moi. Izana aussi souriait il était satisfait de ma réponse.

Izana : Je serais ton complice mais t'as pas intérêt à me trahir. Si tu le fais je te jure que je te retrouverais et te le ferais payer. Je ne chercherais pas non plus à savoir pourquoi tu veux le tuer, je m'en fiche.

Y/N : Toi non plus t'as pas intérêt à me trahir.

Izana : Ce sera notre secret à tous les deux.

J'hocha la tête signe d'approbation. Il s'éloigna de moi et l'atmosphère se détendit, tous les muscles de mon corps se relâchèrent je crois que je n'ai jamais été aussi tendue. Un jour j'y passerait c'est sur, à toujours vouloir joué avec le feu, mais c'est tellement excitant. La monté d'adrénaline c'est le meilleur sentiment qui existe. J'ai vraiment flippé au début son aura est tellement imposante et il met une pression de ouf.

Cette histoire t'avais donné envie de prendre un bon bain chaud pour te détendre.

Y/N : Izana je vais prendre un bain tu m'appelles si tu trouves pas quelque chose, fais comme chez toi.

Izana : Ok.

Le reste de la soirée se passa dans le calme on avait beaucoup parlé et j'en avait appris pas mal sur lui même si j'avais du le harceler pour qu'il réponde à mes questions. Ce que je peux dire c'est qu'il a pas eu une enfance très heureuse, en plus il nan pas de parent comme moi. On finit par s'endormir assez tard.

Le lendemain matin je commençais à me réveillé et j'enroula mes bras autour de mon coussin mais j'eu plus de difficulté que d'habitude, il était plus lourd et moins moue mais il restait confortable, j'enfouissait ma tête dans celui-ci c'était vraiment bizarre il était tout chaud et la tête se soulevait et s'abaissait comme au rythme d'une respiration. Je me décida enfin à ouvrir les yeux, le temps que je m'habitue à la lumière et que je me rende compte que j'étais dans le salon sur le canapé et non dans ma chambre. Je releva le regard et quel ne fus pas ma surprise de tomber nez à nez avec le visage d'Izana en dormis. Au passage il était vraiment mignon quand il dormais.

Je rougis comme une tomate trois seconde chrono, je m'étais endormie sur Izana. Comment on en étais arrivé là, en plus je ne pouvais pas bouger sans aide. J'étais tellement gêné, comment je fais pour me mette dans dans de tel situation, je suis définitivement un cas désespéré. Je ne pouvais rien faire alors autant profiter, je me suis réinstallé et est posé ma tête du son torse. Mine de rien il est plutôt musclé.

Izana se réveilla quelques minutes après je faisais semblant de dormir s'était trop gênant. Il resta à me regarder et il osa même me caresser la tête. Je fis semblant que se contact me réveilla en relevant la tête et en le regardant. Rien ne semblait pouvoir le perturber il continuait de me caresser la tête en souriant. Je dois bien avoué que sa ne me déplaisait pas, j'aurais même voulu que sa dure pour toujours. Il finit par ouvrir la bouche se qui par contre j'aurais voulu qu'il ne fasse pas.

Izana : Ça va je suis confortable ? T'as l'air vachement bien installé. La prochaine fois on fais l'inverse. Dit-il toujours avec son grand sourire.

Y/N : J'te jure un jour je vais t'étriper. Pourquoi tu gâches ce moment. Et y'aura pas de prochaine fois et je te lisserais jamais t'allonger sur moi.

Izana : T'es pas sympa moi je t'ai bien laissé et en plus je t'ai mis une couverture.

Y/N : T'aurais aussi pus me ramener dans mon lit. Je vais commencer a croie que t'es vraiment un pervers.

Izana : J'avais la flemme de t'amener dans ta chambre et puis tu t'es endormie sur moi j'arrivais plus à bouger tellement t'es un poids mort.

Y/N : Sérieux elle te sert a quoi y'a force tu peux même pas porter une fille, et je te permet pas de parler de mon poids je suis pas lourde du tout.

Izana : Le temps de réaction que t'as eu.

Il se foutait de ma gueule en plus. Mais qu'est-ce que je fous, ça sert a rien de parler avec lui.

Y/N : Ta gueule et aide-moi à me lever.

Il m'aida à me relever et prépara le petit-dej, mine de rien Izana d'avoir très bien cuisiner.

Izana x reader   Ensemble jusqu'à la fin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant