Chapitre 14

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J'étais coincé au fond de la ruelle et ils commençaient à m'encerclé. J'eus un rire nerveux avant de tenter le tout pour le tout.

Y/n : Les gars je suis vraiment désolé d'avoir tué votre boss mais j'étais pas vraiment moi à ce moment. Alors c'était pas vraiment volontaire. Vous voulez pas plutôt faire la paix.

H? : On s'en fous tu l'as quand même buter ma jolie, alors on va te faire la peau. C'est simple a comprendre non ?

Y/n : Sympa.

H5 : Vu de près elle est vachement bien gaulé. Sa vous dit on se la fait et après on la bute.

Des cris d'exclamation résonnèrent dans l'écho du cul de sac. Ils voulaient me violer. Hors de questions que je les laisse faire j'ai eu ma dose pour le reste de la vie. Mon regard se dit froid et menaçant, je les toisait de tout mon être. Je dessina un cercle autour de moi et dit d'une voix ferme et autoritaire.

Y/n : Tous ceux qui franchissent cette ligne je les éclatent. Compris bande de sale pots obsédé !

Un homme s'avança en ricanant ne me prenant visiblement pas au sérieux. Il franchit la ligne un pas, deux pas et puis s'arrêta et me fixa d'un air de défis.

Y/n : Je vous avais prévenue.

J'attrapa sa tête et l'écrasa par terre puis le tourna sur le dos avant d'écraser ses parties génitale avec mon pied. Un hurlement de douleur retentir et se fus comme un signal, ils se jetèrent tous sur moi à ce moment.

J'en saisis un par le col pour le cogner à celui de derrière, enchaînant les coup de pied et de poing. C'était comme une danse ou le sang giclait partout.

Deux d'entre eux réussirent à m'attraper par derrière en me tenant les bras tendit qu'un autre s'approchait avec un sourire pervers.

Je lui cracha à la figure avant de donner un coup de poing à l'un des gars qui me tenait et de massacrer l'autre.

Ça devenait vraiment soûlant plus j'en défonçait plus il en revenait. Au bout d'un moment je sauta et utilisa la tête du mec le plus proche de moi comme tremplin. Je m'accroche aux barreaux d'un escalier de secoue qui longeait le mur.

Les yakuza me regardaient avec une tête d'ahuri le temps de comprendre ce qu'il se passait. Pendant ce temps je montais tranquillement les escaliers pour gagner le toit en me délectant de leur incompréhension.

H2 : Vite rattraper-la ! Monter surclassé toit on va le coincé.

Oups, je me dépêcha de monter pour arriver avant eux et peut-être trouver un moyen de partir. Arriver en haut ils commençaient déjà à affluer de tout les cotés. Cette fois j'étais vraiment pris eu piège à moi ce de savoir volé, j'étais bel et bien coincé.

H? : Maintenant tu peux plus t'échapper on te tiens.

Y/n C'est con ça, je me disais exactement la même chose. Dites par hasard vous pourriez pas vous écartez quand je puisse partir.

Ils ne réagissaient pas et me regardaient en mode elle nous prend vraiment pour des cons.

Y/n : Vous savez la d'où je viens c'est censé être drôle.

Je commençais vraiment à stresser. Le terrain était très désavantageux pour moi et ils le savaient. Les hommes tatoués se rapprochaient et moi je reculais jusqu'à ce que mon pied arrive au bord.

Y/n : Merde ! C'est vraiment haut si je tombe je meurs a coup sûr et avec ces enfoirés je peux pas passer. Je peux pas non plus les défoncer une gaffe et je tombe.

Je chuchotais sa pour moi avant de regarder en face de l'immeuble sur lequel j'étais. Non c'est de la folie, je vais crever si je le fais, c'est beaucoup trop loin. Franchement y/n tu préfères crever en tombant ou crever après avoir été violer.

La question ne se posait pas. Je courais vers eux se qui eus pour effet de les déstabiliser, arriver à leur niveau je tourna les talons et sortis un.

Y/n : Ciao les louser !

Magnifiquement bien placer. Avant de courir de toute mes forces vers le rebord et de sauter. Je suis folle, pourquoi je sais ça, je vais forcément finir en crêpe par terre. Derrière moi les grosses neiges musclées se précipitèrent sur le bord pour voir le spectacle.

Y/n : Stp Dieu si t'existe fait que j'atteigne l'immeuble d'en face. Je veux pas crever !

J'acheva mon saut en arrivant juste sur le bord du toit. Mais ma chaussure glissa et je tomba en arrière.

Y/n : Merde ! Dire que j'avais réussi !

Au dernier moment je me rattrapa à une vieille gouttière rouiller.

Y/n : Le coup de chance d'enfer... je crois que j'ai parlé trop vite !

Le tuyau craqua sous mon poids et commença à se détacher du mur. Je poussa un cris pendant que les autres imbeciles regardaient en retenant leur souffles.

Y/n : J'aurais du fermer ma gueuleeeee !

Je fus là plus grande chute de la vie j'eus l'impression qu'elle dura une éternité. La gouttière se stoppa nette au milieu me faisant tomber sur un escalier puis sur le rideau d'un magasin de moto, comme dans les films. Sauf que moi j'avais traversé le rideau et que l'atterrissage avait été très dur.

Mais je suis vivante c'est ce qui compte. Les gros lourde au on arrêter de me poursuivre après ça. C'était plutôt drôle et sa fais l'exercice de la journée. Même si je suis dans l'univers des gangs c'est pas tout les jours que je me fais courser par un groupe de yakuza en furie.

Je repris ma marche dans les rues de Tokyo en me reperdant dans le labyrinthe infinité de mes pensées.

Je sens que demain les Haitani auront raconter cette histoire à tout le monde. Quel bordélique ça va être, je vais encore me prendre un savon.

Je me demande comment il va réagir lui. Est-ce qu'il va rigoler ou me trouver bizarre ? Non il a vu pire venant de moi. Izana, j'ai envie de le voire, de sentir sa peau contre la mienne, de me perdre dans ses yeux et d'embrasser ses lèvres.

Après avoir formulée cette dernière pensée mon visage tout a au rouge écarlate. Mais à quoi je pense moi ! Comment je pourrais faire ça, j'oserais jamais. A ce moment la sonnerie de mon téléphone retentit me tirant de mes pensées.

Je regarda le numéro, c'était Izana ! Mon cœur s'accéléra et d décrocha.

Y/n : Allo ?

Ma voix tremblait j'essaya tant bien que mal da la contrôler.

Izana : T'es dispo ?

On pouvait sentir dans sa voix qu'il était nerveux.

Y/n : Oui pourquoi ? Tu as besoin de moi ?

Izana : Rejoins moi sur la colline je dois te dire quelque chose de très important.

Il raccroche tout de suite après cette phrase ne me laissant pas le temps de répondre.

C'est bizarre, pourquoi il est aussi stresser j'espère qu'il va bien. Je commence à courir en direction de la colline. Il m'inquiétait vraiment. J'espère qu'il ne s'est pas attirer de gros ennuies.

Izana x reader   Ensemble jusqu'à la fin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant