Chapitre 64

501 64 71
                                    

Nous somme le 4 janvier 2022 et je vous souhaite une très bonne année ! L'année écouler a su se montrer éprouvante alors j'espère de tout cœur que 2022 sera le bol d'air frai dont nous avons tous besoin ! Je vous souhaite plein de bonne chose et je vous encourage à rester prudent par les temps qui courent. Faudrait pas se latter la gueule proche de la ligne d'arriver XD.

Le premier chapitre de 2022 est clairement annoncer sous les auspices du Jikook. Vous l'avez attendus, il est de plus en plus présent, régaler vous !

J'écris Mécanique humaine depuis juillet 2019, première publication un moi plus tard. Et aujourd'hui, j'ai pratiquement mon plan de fixer jusqu'à la fin de l'intrigue. J'ai toujours su comment Mécanique Humaine se finirait. Maintenant, le chemin est pratiquement tracé, je n'ai plus qu'à respecter ce que j'ai fait ( s'en tenir au plan étant un exercice difficile XD). A ce propos je me demandais quelle fin vous imaginiez ? Je me suis moi même poser la question dernièrement en relisant les chapitres déjà publier. C'est si clair dans mon esprit que j'ai du mal à m'en détacher.

Sinon, j'espère que vous avez passer de joyeuse fête de fin d'année et que vous êtes galvanisé pour faire un pied de nez au destin ! Sur ce, je vous souhaite une très bonne lecture et un bon voyage.

ps: la musique en média, vous connaissez les bails maintenant ;)





Jimin n'avait pas lâché son roman de la journée oubliant de surveiller l'horloge de la bibliothèque. Dix-neuf heures étant passées, la nuit n'avait pas attendu pour s'abattre sur le manoir, accompagner de torrent de pluie. Depuis des semaines, le soleil s'évertuait à rester cacher derrière les nuages plongeant Jimin dans une certaine morosité. Le manque de soleil lui était difficile. Il n'aimait pas le froid, l'humidité et le vent. En son for intérieur, il craignait même les orages. Il s'était alors employé à noyer son attente dans un roman pour le distraire de la tristesse ambiante à l'intérieur du manoir. Une tristesse qui s'était rapidement accompagnée d'une attente constante.

En effet, depuis qu'ils s'étaient quittés au petit déjeuner il y a deux jours, Jimin avait très peu revu Jungkook. Il savait qu'il déjeunait juste avant lui, qu'il s'était entraîné en laissant la porte de la salle d'entraînement ouverte avec le mannequin d'entraînement encore bosseler d'impact. Enfin, il l'avait croisé de temps à autre au détour des couloirs.

Si Jungkook s'était essayé à l'entraînement, alors son corps devait avoir repris sa forme. Cependant, le besoin de se défouler traduisait un trouble émotionnel qu'il essayait tant bien que mal d'endiguer par l'exercice. Chose que Jimin comprenait très bien étant adepte de la même solution.

Seulement, sa manière d'agir si discrète demeurait inexplicable. Jimin ne savait pas si Jungkook chercher à l'éviter à cause de l'autre matin ou bien si c'était seulement pour réfléchir seul. À l'évocation de ce souvenir, le cœur de Jimin s'emballa. Ils avaient partagé quelque chose de si beau et éphémère qu'il lui était presque difficile de savoir si ce moment avait réellement existé. La réaction fuyante de Jungkook et l'amertume en découlant aider Jimin à se convaincre que c'était bien réel.

— Qu'est-ce que tu fais encore là ? Tu n'es pas allé te préparer ? demanda la voix d'Elizabeth surprise de trouver Jimin devant elle en entrant dans la bibliothèque.

Le blond releva les yeux de son roman et le ferma en gardant la page.

— Je ne suis pas encore en retard, dit-il en regardant discrètement l'horloge.

Mécanique HumaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant