Mécanique Humaine

Chapitre 49

Hello petits lutins !

Alors on prépare le sapin, on fait de la pâtisserie et on force sur les chocolats ? Perso, c'est mon programme. Et j'en ai besoin. J'ai ma première vague de partiel qui est arrivée, je suis en plein dedans. Ce qui explique le retard de ce 49ième chapitre.

Non mais vous imaginez, 49 ... et dire qu'à la base, cette fic devait en faire 50. Le temps passe si vite !

Juste avant de vous laisser avec la suite, je vient faire ma petite pub. 

Je vient d'écrire un OS qui s'appelle "Ma S.E.P et Moi" et qui rentre dans le cadre d'un concours. C'est vraiment quelque chose d'important pour moi, je l'ai écris avec bcp d'émotion. Alors n'hésitez pas à aller jeter un œil et me dire ce que vous en penser !

Sur ce, bon voyage les amichs !

Elizabeth était aussi fatiguée que tourmenté. Son cœur douloureux ne parvenait pas à s'apaiser. Même après ça discutions avec Jungkook la veille, son moral ne ce n'était pas amélioré.

Ainsi, son chemin avait pris une drôle de tournure. Et ses pas l'avaient amené à prendre une calèche pour s'échapper quelques heures du manoir.

Elle s'en faisait pour Jungkook. Jimin l'avait prévenue que sa famille avait essayé de rentrer en contact. Jimin était inquiet lui aussi. Même Jin et Hoseok avaient pris de ses nouvelles. Mais pour l'instant, le brun restait cloîtré dans sa chambre, silencieuse et apathique.

Elizabeth avait donné au cocher la première adresse qui lui était venue en tête. Elle cherchait du réconfort. Elle poussa finalement les portes de la maison Jade ou son odeur caractéristique lui prit la gorge. Cela sentait le sexe, l'alcool et autre substance illicite. Elle respira profondément. Ces odeurs étaient l'écho de son passé. Elle les détestait autant qu'elles lui étaient chaleureuses.

La maison Jade était silencieuse. C'était le calme avant la tempête. Le grand salon principal, entièrement meublé d'alcôve confortable, n'accueillait que quelques filles avec leurs clients. Autre fois, elle aurait contemplé ses lourds fauteuils de velours. Aujourd'hui elle pouvait seulement entendre quelques chuchotement et gloussement. Elle pouvait seulement distinguer les formes de l'espace et toucher les tissus vieux et précieux. Elle monta discrètement à l'étage où elle savait qu'elle trouverait la salle commune, réservée aux employés.

Ses talons martelèrent les planches tandis qu'elle s'élevait. Bientôt elle entendit des conversations, des rires, des grognements et des gloussements. À peine fut-elle arrivée en haut de l'escalier qu'une haute silhouette lui barra la route.

— Ma tendre fille, ça fait un bail que je ne t'avais pas vue, fit une voix féminine suave et langoureuse.

Sans une once d'hésitation, Eliza s'avança et la prit dans ses bras. Leur étreinte dura un moment.

— Tu dois vraiment avoir le cœur lourd pour être aussi affective, ricana la femme plus âgée.

— La ferme Jade.

— Ton langage ne s'est toujours pas amélioré à ce que je vois.

— Tu fais chier.

Derrière elles, les autres personnes commencèrent à s'agiter. Bientôt une tête blonde se détacha et remarqua la silhouette d'Elizabeth contre la matrone.