Interlude n°3

452 44 98
                                    


BONJOUR à tous ! Mais kes-ki-lui-arrive à la kadailla me direz vous ? C'est très simple : je suis bien trop impatiente de vous offrir cet interlude ! Le chapitre 70 qui allait normalement avec arrivera d'ici quelques jours, mais je règle encore des détails sur les quels je suis pointilleuse, ainsi, pour vous faire patientez, voila l'interlude !

Ce dernier est un interlude mystère ~ le personnage principal est à deviner, la réponse sera en fin de chapitre ;) J'ai hâte de voir vos suppositions et vos réactions ! J'adore me plonger dans l'écriture de MécaHu, mais je ne vous cache pas que certaine chapitre sont plus difficile que d'autre pour tout un tas de raison. Celui-ci, m'a demander beaucoup de cœur, l'émotion était parfois dure à canalisé. Alors j'espère de tout cœur que ça vous plaira !

Je ne tien plus en place, je vous jure ! Alors je vous laisser ici en vous souhaitant un bon voyage !






— Maman...

— Sortez-le d'ici, je ne veux pas le voir.

Les deux gardes qui se tenait près de la porte se regardèrent hésitants. Le gamin entre eux pleurait plein de morve jusqu'au menton. Il tenait à peine debout maintenu par deux béquilles. Ses jambes étant incapables de le porter et ses genoux ne faisaient que trembler.

— Maman, appela-t-il en faisant un nouveau pas mal assuré dans la direction de sa mère assise à son bureau.

— N'ai-je pas été assez claire ? Sortez-le de mon bureau ! ordonna la femme en ignorant les pleurs de son fils.

— Oui Madame. Bien Madame.

L'un des gardes s'avança et poussa délicatement le garçon du plat de la main pour le reconduire à l'extérieur. Il se laissa faire docilement, ravalant ses supplications. Une fois les portes closes, il s'effondra sur lui-même pour pleurer à chaude larme tachant sa chemise d'une blancheur immaculée. Les deux hommes ne savaient pas trop comment agir. Ils ressentaient de la peine pour ce gamin éploré. Mais ils ne pouvaient rien faire.

— Maman... sanglota-t-il. Maman...

— Tu... tu ne devrais pas rester là petit. Rentre chez toi, lui intima le premier avec douceur. Ta maman te rejoindra quand elle aura fini son travail.

— Promis ? demanda le petit.

— Eh bien... oui promis.

Il sécha les quelques larmes qui lui échappaient d'un revers de manche et renifla bruyamment. Il se releva comme il put, soutenu par le second garde, puis repartit en boitillant jusqu'à disparaitre dans le couloir. Les deux gardes reprirent leur poste devant la porte.

— Tu n'aurais jamais rien du promettre, le sermonna le second garde.

— Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? Il n'allait pas passer la journée sur le sol à chouiner ! répondit l'autre en sortant un paquet de cigarettes de sa poche.

— Ça ne sert à rien de l'aider. Ça nous attirera que des problèmes, gronda son collègue.

— Tu sais quel âge il a ? demanda-t-il en allumant un bâton de nicotine.

— Non, sans doute cinq ou six ans. Pourquoi ?

— Mes gamins doivent être un peu plus âgés que lui. Je n'aime pas comment cette femme le traite, soupira-t-il dans un nuage de fumée.

Mécanique HumaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant