A travers les nuages de suie de la capitale, Park Jimin avait tout d'un dandy. Confortablement installé dans une calèche somptueuse, il était tiré par une merveilleuse créature de laiton. L'innocente quiétude sur son visage n'était que passagère. Me...
Bonjour à tous ! Me revoila enfin avec la suite de Mécanique Humaine ! Bon sang, ce que j'ai mit du temps ! Entre l'écriture et des problème avec mon ordinateur ... heureusement, je me suis apperçus que la correction était en faite déjà presque terminer ( contrairement à ce que je croyais) donc je me félicite de pouvoir enfin pour offrir la suite après une temps si long !
Je vous invite à relire le chapitre précédent, au moins les derniers évènement, pour vous remttre dans le bain, ça fait un bail.
Je souhaite également vous annoncer que j'ai publier il y a quelque semaine un nouveau projet :
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C'est une nouvelle fantaisie que j'ai pris grand plaisir à écrire et qui pocèdera possiblement une suite. Si vous êtes curieux ~ n'hésitez pas à me dire que vous en pensez.
Sur ce, je vous souhaite un bon retour et un agréable voyage ! Je suis vraiment heureuse de vous retrouver !
En ouvrant péniblement les yeux il prit conscience de la présente d'Elizabeth avachie contre lui. Ses jambes engourdies servaient d'oreiller à la belle endormie. Elle respirait doucement le visage marqué par la ride du lion témoignant de son inquiétude. Il caressa ses cheveux et celle-ci répondit par un mouvement intuitif contre sa main. Pour la ramener dans la réalité, Jungkook lui assena une pichenette sur le front. Elle bondit vivement et braqua son regard courroucé dans sa direction sans aucune crédibilité tant elle avait du mal à émerger du sommeil.
— Comment ai-je terminé ici ? Lui demanda Jungkook en se redressant contre ses coussins.
— Espèce de petit merdeux, ronchonna la jeune femme en se frottant le front. Je dormais si bien...
— Tu m'as veillé, j'allais si mal que ça après ma séance avec Donia ?
— Non. Tu es simplement tombé d'épuisement, se reprit Eliza en se redressant elle aussi contre le fauteuil inconfortable. Mais j'avais peur que tu recommences... admit-elle en se frottant les yeux. C'est le binoclard qui m'a prévenue que tu ferais une dinguerie. Tu es complètement inconscient.
— Hoseok n'est pas un binoclard.
— Tu ne l'as jamais vu avec ses lunettes à l'atelier, il a l'air d'un insecte écraser sous une semelle. Et ne détourne pas cette conversation. J'ai eu, nous avons tous eu, très peur. Tu es certain que tu vas bien ? s'enquit-elle en venant tripoter son visage comme si celui-ci allait éructer par les pores une vérité inaliénable.
— Je vais bien, je t'assure.
Elle le dévisagea si longuement qu'il revient sur son affirmation.
— D'accord, je minimise. Mais je ne suis pas dans le même état que l'autre fois. La douleur est... maîtrisable ? Où est Donia ?
