le rendez-vous vous pas si inconnu

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Il était dix-huit heures trente.
Je me demande si je dois être là-bas à dix-neuf heures ou un peu plus tôt. Mais s'il doit préparer quelque chose et que j'arrive alors qu'il n'a pas fini ? Je croix que je vais y être à l'heure convenue: dix-neuf heures.

Il est dix-huit heures quarante-cinq. Je vais y aller. Le temps de me transformé et de lancer mon yoyo sur un immeuble non loin, je volais dans les airs tels un petit oiseau. Non, un aigle royal, c'est plus classe.

Arrivée sur le toit du Louvre, je vis Chat-noir qui peaufinait les derniers détails. Un vrai petit tatillon. Les fleurs et le banc n'avait pas changés de place. C'était toujours aussi magnifique.

- salut chaton, c'est magnifique, ça n'a pas chan... C'est super !

- merci ma lady, vient t'asseoir.

Je me suis assise et nous avons discuté de tout et de rien sans ne rien évoquer sur nos véritables identités. Après deux heures, Chat-noir s'est absenté pour aller chercher ma surprise. J'ai tellement hâte. Il m'a tendu une petite boîte, un genou à terre. Non, il va quand même pas...

- ma lady, acceptes-tu de combattre le crime avec moi jusqu'à ce que la paix soit revenue sur Paris ?

Ohhhhh, c'est tellement mignon.

- avec grand plaisir mon minou.

- alors, je t'offre cette bague en signe de notre amitié ( et peut être amour )...

Ça il l'avait pensé.

... En espérant qu'elle te plaise.

Je pris le petit boîtier et l'ouvrit. Une magnifique bague Trônait au centre. Noir avec une pierre rouge. Comme ça définition.

-ohh, chaton, elle est magnifique. Tu n'aurais pas dû.

- on ne compte pas quand on aime.

Il s'était dangereusement rapproché de moi en disant cette phrase. D'un doigt, je le fis reculer.

- merci, merci, merci.

Je me suit jetée à son coup. C'était trop tentant. Il me rendit la pareil en me serrant dans ses bras. Je me suis très vite retirée de ce câlin. Les joues rouges. Il me regarda bizarrement. Je crois que je lui rappelais quelqu'un. Il m'a vite fait un sourire. Je n'avais jamais remarqué que ses lèvres aussi étaient si attirantes. Je suis devenue encore plus rouge. Mais pas de gène cette fois.

Hola, calme-toi.

C'est de Adrien dont tu es amoureuses pas Chat-noir.

Je suis repartie un peu après en lui remerciant de tout cœur. Arrivée sur ma terrasse, je me suis dé-transformée. J'étais en pyjama sous ma couette. Je m'appraitais à dormir quand quelqu'un gratta à la trappe.

- salut chaton, que me vaut cette visite ?

- C'est pour te dire que ça a marché.

- quoi ça ?

- la bague. Le rendez-vous, tout !

- avec Ladybug ?

- ohh non, avec le maire Bourgeois. bien sûr avec Ladybug.

- ça va, ça, te fache pas. Tu pourrais peut être avoir d'autre princesse !

- oh non, tu es la seule et tu le resteras.

- euh merci ? Et comment ça s'est passé ?

- et bien, je l'ai amenée sur le toit du Louvre là où je t'avais emenée hier. On a parler et je lui ai donné la bague. Elle m'a sauté au cou ! Tu t'en rend compte ? Mais juste après elle s'est retirée, et elle a rougit. Ça m'a rappelé toi.

- comment tu peux savoir que je rougis sans cesse ?

- oh euh, et bien, c'est que je, parfois, dans la rue je te voix avec tes amis et à chaque fois, je te voix rougir.

- tu es entrain de me dire que tu m'espionnes chaton ?

- quoi, non, non pas du tout. Si je te croisais, c'était par pur hasard.

- bien sûr, bien sûr. Je suis réellement contente pour toi chaton. Tu es bien plus heureux que hier et ça, ça me fait plaisir.

- merci, tu es donc la seule personne au monde qui me comprends.

- ah bon, personne d'autre ?

- j'ai des amis, mais ils ne savent pas que je suis Chat-noir. Ladybug, mais, elle ne me comprend pas toujours. Tu es donc la seule. La seule à qui je peux faire confiance, à qui je peux tout dire. À qui je peux me confier sans que tu ne te moques. Il devrait y avoir plus de personnes comme toi Marinette. Tu es formidable. Ne l'oublie pas.

À ces mots, j'ai été si émue, qu'une larme coula sur ma joue.

- eh, il ne faut pas pleurer !

- oui, pardon. C'est tellement touchant. À toi aussi, je peux me confier. Tu es aussi une personne extraordinaire Chat-noir.

-moui, je sais.

Eh il a gâché le moment.

- tu sais, je ne pas toujours me confier à mes amis non plus. Non pas parce qu'il ne sont pas de confiance. Mais parce que j'ai un poid énorme dans la poitrine qu'ils ne pourraient pas comprendre. J'ai tellement de secret que je ne sais même plus combien. Mais chaque visite me rend le sourire. Les attentions que mes amis me font aussi. Alors merci.

Je l'ai enlacé et même si Chat-noir fut surprit, il m'enlaça aussi. Ce moment à durée longtemps. Mais ni lui ni moi avaient envie de l'arrêter. Mais après quelque minutes, il me dit en chuchotant dans mon oreille :

- il se fait tard. Je devrais rentrer.

- oui, tu as raison. Au revoir Chat-noir

- au revoir princesse.

Et il s'en alla. J'étais perdue. Adrien était parfait. Gentil, attentionné, intelligent, beau gosse,...

Mais Chat-noir me faisait me sentir mieux. Il avait une sensibilité incroyable et un courage impressionnant. Bien qu'il ai un humour  loin d'être parfait, il faisait sourire.

Qui j'aimais réellement ?

Adrien

Ou

Chat-noir

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Salut !
J'ai eu du mal à écrire ce chapitre. Mais je trouve qu'il est réussi.
Là, c'était du Marichat et du Ladynoir. N'hésitez pas à me dire le ou lesquelles vous préférez.
Marichat
Ladynoir
Ladrien ( ou adribug )
Adrinette.
Moi, mon top quatre. C'est ça
Marichat
Ladynoir/adrinette
Ladrien ( adribug) je trouve que c'est le moins bien.
Merci !

marichat EtcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant