l'exposé, mais pas seulement

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Je me suis réveillée tôt, je dirai six heures trente. Ce n'était pas de mon plein gré. Des doigts se baladaient sur mon visage replacent une mèche par ci une mèche par là. Quand j'ai ouvert les yeux, Chat-noir fut la première personne que je vis. Par réflexe. J'ai sauté dans mon lit. Sur le coup, je ne savait pas pourquoi il était là, mais tout mes souvenirs sont revenus très vite. Au lieu de lui dire bonjour, je me suis exclamée :

- rentre vite chez toi, si mes parents te voient dans mon lit. Je risque d'avoir plus que de sérieux problèmes. Pareil pour toi si on ne voit pas que tu es dans le tient.

- bonjour aussi princesse. Mais tu as raison. À bientôt !

Je ne lui ai pas répondue. Pas seulement parce qu'il était déjà loin, mais parce que je me suis posée des questions. Chat-noir et moi avons dormi ensemble. Heureusement rien d'autre ne s'était passé. Mais n'était-il pas amoureux de Ladybug ? Aurait-il mit ses sentiments de côtés pour être avec moi ? Ou bien pire encore, m'aurait-il démasqué ? Non, impossible. Comment ?

Tout en me posant ces questions, je m'habilla d'une robe bleu cette fois. La même veste et chaussures par contre. Deux couettes attachaient mes cheveux. Je descendis les marchés quatres à quatres. J'avais le temps de prendre plus qu'un croissant vu l'heure. Je discuta avec mes parents en leur rappelant que j'irai chez Adrien pour faire l'exposé en français. Il me regardèrent d'un regarde qui voulait tout dire. Je suis devenue rouge bien sûr.

Arrivée à l'école, j'ai discutée avec Alya de tout et de rien. En gros de Adrien. Elle commençais à me demander mes plans pour quand j'irai chez lui pour l'exposé. Je lui ai répondu franchement que je n'avais prévue aucun plan et que de toute façon on va faire un exposé. On aura pas le temps pour réaliser mon rêve. Elle ne m'a pas crue au début. Mais après lui avoir prouvée que je ne mentais pas, elle a acceptée le fait que je ne sois pas une total folle dingue.

Driiiiiiiiing

Nous nous rendons en classe. Alya, comme à son habitude, m'a obligée à m'asseoir à côté d'Adrien. Au programme : deux heures de géographie, puis anglais, puis français. C'est mercredi. Donc j'ai pas beaucoup de cours.

On a parlé de la techtonique des plaques. Si vous me demandiez ce que c'était hier, j'aurai pue vous répondre. Mais là, j'ai été plutôt absorbée par une étoile lumineuse : Adrien, que par le cours. La deuxième heure m'a permise de me remettre en ordre sur le cours dans ma tête.

En anglais, je vais pas le cacher, c'est la cata. Je sais me présenter. Présenter quelqu'un et dire tout les animaux. Pour le reste, c'est vague. Très vague. Dire qu'on a un contrôle délai sur les chiffre de 100 à 1000. Je crois que je vais demandée à Adrien de m'aidée quand je serai chez lui. J'en aurai bien besoin.

Heureusement, le cours de français, à été reposant. Nous avons parler des poètes du quatorzième siècles. Elle est à fond sur les poètes ! Nous avons aussi dû écrire un poème comme au quatorzième siècles. J'ai réussi. Je me demande bien ce que Adrien à écrit. Je ne le saurai probablement jamais.

Alors que le cours était fini, je ne rangea pas mes affaires. Trop absorbée pas le blond devant moi.

- Marinette tu ne range pas tes affaires ? Le gorille nous attend !

- oh, euh oui, pardon. Vas-y déjà, j'arrive.

- d'accord.

Et il s'éloigna. Je rangea mes affaires à une vitesse ! Dix petites secondes ? Allez, quinze. Je courus vers la sortie. Adrien n'était pas encore entré dans la voiture. Je cria alors de plein poumons dans les escaliers de la cour :

- attend moi, je suis là !

Tout les visages me regardaient. Mais je m'en fichait bien. Je courru vers la voiture d'Adrien.

marichat EtcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant