『 𝟡 』

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En descendant les escaliers du bâtiment un peu sombres et étranges, je me posais beaucoup de questions par rapport à ma grande sœur. En peu de temps, je n'avais même pas remarqué l'état dans lequel elle s'était mise. Elle avait carrément changée, s'en était impressionnant...elle me faisait tellement de peine. Je m'en voulais presque de ne pas été venue la voir plus souvent.

Elle avait l'air tellement triste,
tellement...bouleversée. Je ne saurais même pas comment la décrire. Son visage marquait une grande fatigue de la vie.

Le froid et la pluie qui étaient venus me taper violemment au visage m'ont rapidement fait changer les idées. J'ai enfilé la capuche de mon sweat, avant de me diriger rapidement vers la pizzeria.

En sortant du bâtiment, j'ai remarqué une présence étrange qui avait choisit un chemin inverse du mien. Je ne l'avais pas remarqué de suite, mais ça silhouette m'a interpellée quelques secondes plus tard. Je me suis retournée vers lui, qui était entrain de marcher lentement de son côté.

Un homme habillé en noir, les mains dans les poches. Sa carrure me faisait drôlement pensé à celle de Younès, qui m'effrayait presque.
La ressemblance frappante m'avait alors empêchée d'aller vers lui...mais ma curiosité malsaine était venue prendre le dessus. C'était Younès. J'en était sûre.

Je me suis retournée, et mes pas se sont accélérés. De plus en plus lorsque je le voyais lui, accélérer. Comme s'il avait remarqué que je le suivais. C'est à en croire qu'il a des yeux derrière le dos.

Seulement, j'ai réussis à le rattraper en triplant mon accélération. En arrivant à sa hauteur, j'ai sorti ma main qui était alors bien au chaud dans ma poche pour venir encercler le bras de l'homme qui était supposé être Younès, afin de l'arrêter dans sa démarche.

-Moi : Attend !

Il s'est arrêté net avant de tourner la tête vers ma petite main qui entrain de le tenir bien fermement, là où quelques gouttes de pluie venaient s'écraser. Ça en paraissait sûrement ridicule.

Mes yeux se sont levés vers le visage de cet homme, qui était en fait presque caché. Une sorte de cache-nez, mais ce n'était pas choquant.
Sûrement pour le froid. Son bonnet plus sa
capuche par-dessus étaient venus cacher toute la partie au-dessus de ses sourcils. On ne voyait alors que son regard.

-VENGEANCEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant