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PDV TAEHYUNG

Après la sonnerie je m'étais dépêché de me rendre à ma salle de cours. Jungkook était déjà présent mais cette fois-ci il n'y avait personne à côté de lui, quand il me vu, il se précipita pour mettre son sac sur la chaise mais trop tard je m'étais assis juste à temps. Il fît donc comme ci de rien était et moi-à côté- j'essayais d'attirer son attention en vain.

.....

30 minutes que le cours a commencé, 30 minutes que je me fais chier. De toutes manières c'est pas dur, les seuls cours que j'aime c'est ceux de langues et attention pas d'esprits mal placés s'il vous plaît vous serez gentils.
Je souffle, j'en ai marre faut que je parle.

«Pssst, Jungkook » chuchotais-je

Il tourna sa tête vers moi et chuchota :

«Qu'est ce qu'il y a Tae ? Si la prof nous entend elle va nous engueuler»

«Tsss, comme si ça te faisait quelque chose... »

Il me regarda en se mordant la lèvre inférieure.
Jungkook arrête ça tout de suite.
Tu veux ma mort ou quoi ?

«hum-hum bref je voulais savoir si t'étais libre ce soir ? J'organise une soirée avec les gars, rien que tous les 7... »

«Ce soir? J-je sais pas vraiment taehyung, il y a des devoirs pour demain et puis je suis fatigué en ce moment. »

«Tu me dis ça mais tu n'es même pas convaincu par tes propres mots, ça se voit Jungkook, je lis en toi comme dans un livre ouvert.»dis-je en le regardant dans les yeux

«Ah oui? T'es sûr de toi?Moi pas tu vois. Il y a des trucs que tu sauras peut être même jamais sur moi.»
Me lança-t-il avec un regard plein d'animosité

Ok je suis dans la merde il m'en veut vraiment...

«On pari ? Si on pari ,tu es obligé de venir à la soirée »

Putain, c'est quoi ce bordel ma bouche va plus vite que mon cerveau. J'allais me rectifier mais il ne me laissa pas le temps de parler.

«On pari. »me lança-t-il avec cette fois-ci un regard défieur.

Est ce que j'ai vraiment entendu ?
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Yesss il a dit oui !

.....

17h30

Nous sommes actuellement en train de marcher en direction de chez moi, les gars m'ont envoyé un message pour dire que tout était près et qu'ils venaient de partir. Parfait j'espère qu'il va m'écouter j'ai tellement de choses à lui dire...

Il fait presque nuit, les lampadaires sont allumés et nous, on marche comme des cons regardant chacun une extrémité de la rue ne sachant quoi dire.

Puis une scène totalement surréaliste, digne d'un de ces dramas super niais qu'on regarde en bouffant de la glace sous un plaid dans son canapé après avoir été largué, prit place devant nos yeux.
Une femme d'environ la vingtaine courrait vers son copain en souriant à pleines dents et son vis à vis se tenait là, les bras grands ouverts, prêts à accueillir le corps de sa copine.
Et nous, crétins que nous sommes, restons là, plantés comme des piquets, à observer la femme sauter dans les bras de son copain et tournoyer dans tous les sens pour finir par s'embrasser langoureusement.

Et nous, crétins que nous sommes, restons là, plantés comme des piquets, à observer la femme sauter dans les bras de son copain et tournoyer dans tous les sens pour finir par s'embrasser langoureusement

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Aveuglément ᵗᵏOù les histoires vivent. Découvrez maintenant