Jour 4

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- Rha putain c'est dur de voir ta sale gueule dès le matin sérieux, dis-je en entrant dans la cuisine.

- Je peux te dire que voir la tienne est un plaisir.

Je regarde Madara choqué de ce qu'il vient de dire. Ce dernier, se rendant compte rougit a vu d'œil.

- C'est pas un plaisir ! Je voulais dire que voir ta gueule n'est pas un plaisir, se rattrape-t-il.

- Euh ok...

Pourquoi suis-je déçu ? Je secoue la tête, chassant ces pensées complètement idiotes de ma tête. Je vais me faire du café puis va m'asseoir à table, en face du noiraud.

- Je savais pas que tu ronflais, c'est extrêmement agaçant.

Je lève les yeux vers Madara. Je ronfle ? Moi ?

- T'as cas à te plaindre auprès de nos frères, c'est eux qui nous obligent à dormir dans le même lit. Et puis c'est déjà mieux que toi qui parle et gigote dans tout les sens. J'ai du me retenir plus d'une fois de te balancer par la fenêtre, dis-je.

- Oui bah toi tu pourrais mettre plus qu'un simple caleçon pour dormir ! S'énerve-t-il.

- J'y peux rien si j'ai trop chaud le soir ! Et puis- attends voir, ça te gêne enfaite, souriais-je au coin, narquois.

- J'ai jamais dit que ça me gênais ! T'as cas à être à poil je m'en fous !

Je crois mes bras et m'adosse contre le dos de ma chaise, toujours mon sourire au coin.

- Enfaite ca te plais.

Il écarquille les yeux, le rouge aux joues.

- Q-quoi ! Même pas v-vrai ! Bégaie-t-il.

Je rigole puis il se lève de sa chaise en frappant ses mains sur la table.

- Tu me saoules putain d'albino de Senju de merde ! Non mais toi me plaire et puis quoi encore ! Comme si une vieille brique de lait pourri pouvait me plaire non mais j'y crois pas ! T'as de la merde à la place de ta cervelle ou quoi ??? Et ce narcissisme non mais wow l'ego quoi ! Hallucinant ! Non mais le gars j'y crois pas. Moi Madara Uchiha craquer pour toi mais MDR. 

Je m'entends pas la suite des plainte de Madara car il vient de claquer la porte de la chambre. Je reste pantois devant son monologue avant de laisser un petit rire sortir la derrière de mes lèvres. Ce gars est vraiment un cas putain.

Le pari Où les histoires vivent. Découvrez maintenant