le 9 avril 2014
la gouvernante (que je considere comme ma mere) vient me réveiller avec douceur en me portant avec elle un plateau trés bien garni.
Apres m'etre habiller, je sors de la maison pour mon rendez vous au spa dans lequel je passe toute la journée afin que je sois prete pour ma soirée samedi.
Le 10 avril 2014
j'étais tout a fait prête pour mon cour de piano malgrés toutes les émotions qui me tourmentaient , une fois rendue a la salle de musique où mon prof m'attendait, je le rejoignis sur la banc du piano.
"- Aujourd'hui on va pratiquer un morceau que ta mère appréciait énormément"
j'en ai eu les larmes au yeux puisque c'est toujours le cas quand on parle de la défunte , mais je prie mon courage a deux mains et rét
orqua :
-"Monsieur Haris je suis vraiment désolée mais je ne me sens pas du tout capable de le faire surtout pour le moment ! veuillez le reporter pour une autre fois !"
-"il n'y a pas de soucis mademoiselle Hiba on le fera quand vous en serai convaincu..."
le cour se termina apres deux heures de travail, mais a la fin de ce dernier monsieur Haris me donna quand même les partitions que ma mère aimait le plus pour les garder ...
j'étais vraiment au plus mal, a chaque fois qu'on parle d'elle je sens un énorme vide dans mon coeur. Le fait de m'avoir quitter en me donnant naissance me paraît tellement injuste et illégale parfois... Mais après tout nous n'y pouvons rien nous somme a dieu et a lui nous revenons apres tout.
Le soir après avoir dîné je suis allé répété quelques partitions que monsieur Hanri m'avait demandé. Tout allait bien jusqu'a ce que je tombe sur les partitions préféré de ma REINE je les ai regardé pendant un long moment les yeux mouillés , j'ai fini par sécher mes larmes et me ressaisir en essayant de pratiquer cette magnifique partition... apres un long moment d'exercice j'ai pu l'apprendre mais elle était juste resplendissante cette partition...
J'étais fière de moi j'ai enfin pu détruire cette barrière qui m'empêcher toujours de faire des choses dont j'ai envie et qui sont reliées a ma mère.
