Chapitre 1 : Exile

7 1 0
                                    

Le plan avait commencer . Nous étions déjà sur Terre . Et, au passage, déjà poursuivi . Notre père s'était aperçus de ma disparition plus tôt que prévu . Je croit que rien ne se passais exactement comme nous l'avions prévu . Nous nous étions déjà séparer avec Saule, et nous devions nous rejoindre à l'hôtel de ville . Nous étions dans une grande ville . New York ou Las Vegas, surement . Nous, les Asyriens, nous parlions la plupart des langues de la Terre . Mais moi, je n'avais quasi rien retenu . J'apprenais pour apprendre . J'avais de bonnes notes, mais je n'avais presque rien retenu . Mais je parlais pourtant presque toutes les langues sans difficultés particulière . Incroyable, hein !

*BANG* *BABOUM*

Des bruits étranges s'échappaient du vaisseau mère qui nous poursuivais, Saule et moi . Ils avaient lancé les meilleur militaires d'Asyre . En plus, mon père -enfin si on peut le qualifier de père- avait recruté un nouveau commandant ... Assez qualifié occuper ce poste haut placé . Il fallait avoir bon nombre de qualités pour être commandant . Je ne sais plus comment il s'appelait ... Hum .... Commandant  .....

Un militaire me sortit de mes pensées .

- Elle est là !!!

Je jetais un bref regard derrière moi . 1 ... 6 ... 8 ... 11 ... 15 militaires . J'avais 15 foutus militaires derrière moi . il fallait les semer avant de se faire attraper . Je courrais heureusement assez vite . Un coin de rue par ci et quelques zigzagues par là .... Je sortais déjà dans une autre rue principale -encore une- et je prenais a droite . Je vous évite des moments de course répétitive .

Après longue et interminable poursuite, essoufflée,  je retrouvais Saule devant l'immeuble le plus haut de la ville, comme prévu .

- T'as réussis à les semer ?

- Ouais pas vraiment ... Ils sont encore la mais j'ai un peu d'avance .

Tout en courant vers l'entrée, nous fessions un compte rendu du nombre de militaires a nos trousses .

- J'en avais 15 sur moi .

- 15 ?! J'en avais 5 !

- Et bien sans vouloir te vexer, je suis la cible et toi une complice . Alors il doivent t'arrêter aussi, mais je pense qu'ils croient que je suis "essentielle" au fonctionnement de la sociétés . Je me sens coupable, sœurette .

Nous entrions dans l'hôtel . Une grosse soirée était en cours . Une boum en quelque sorte . Nous n'avions plus d'autres choix que de monter au dernier étage . Nous nous dirigions vers l'ascenseur privé pour ne pas nous faire remarquer . Saule me prit les épaules et déclara :

- Leïa ! Écoute moi bien ! T'as pas à te sentir coupable ! Tu m'entend ! C'est leur faute a eux, si tu te sens mal ! Et nous avons déjà quitter Asyre ! Nous somme sur la Terre ! Il nous faut juste trouver un endroits ou on serais en sécurité !

- Ben c'est pas gagné gagné ...

- Dis pas ça !!! On est à deux doigts de réussir ! A deux doigts de faire le grand saut ! Après, on entendras plus jamais parler de cette maudite planète !

Mes pensée se bousculaient à toute vitesse dans ma tête .

- Saule ... Tu ... Tu te souvient de la lettre ?

Elle releva la tête . Son ton devint calme et posé .

- Bien sur que je me souvient .

- Je l'ai dans mon sac . Et je crois que ... elle nous porte chance .

Son regard était triste .

- Écoute . On oubliera tout, sauf ça . Je ... je suis désolé d'avoir dis ça ...

- T'inquiète . C'est pas grave ça m'arrive aussi de souvent de m'emporter comme ça . Très souvent même .

Elle rigola doucement .

- Leïa, tu n'as parlé à personne de cette lettre et de notre lien de parenté ?

- Quoi ? Non ! Pour rien au monde !!!

- Je te fais confiance .

Elle me pris dans ses bras .

*Ting !*

L'ascenseur était arrivé au dernier étage .

- Enfin ! J'ai cru qu'on y arriverais jamais !!!

- Allons voir le patron, il pourras peut être nous aider .

- Et si il ne veut pas ou ne peut pas ?

Elle ne répondit pas . Elle avait une mine déterminé . Prête à tout pour nous sauver toutes les deux .

Après quelques portes et quelques couloirs, nous arrivions devant la porte du bureau du patron .

- Quand faut y aller ...

Elle toqua . Une faible voix nous parvint . Je l'avait reconnu .

- Saule non attends ! Ce n'est pas ...

Trop tard . Elle entra .

- Je vous attendais avec impatience .

AsyreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant