CHAPITRE 6 : SOUVENIRS

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Je me raidit . J'ai écouté ses pas, et j'ai deviner qu'il marchait dans ma direction . Il s'arrêta, et je n'entendit plus que les bruits de ma propre respiration . D'un coup un cris a glacer le sang retentit . Un cri de rage qui venait de mon visiteur . Je ne bougeais pas . J'étais tétanisée de peur . Il s'avança sur le coté et ne bougeas plus pendant ce qui me parut une éternité .

- Je sais que tu est consciente, Leïa . Ne joue pas la comédie .

- Oui JE SAIS merci . Et pas grâce à toi, sale ordure ! J'ouvrais les yeux et me redressait en lui lançant un regard noir .

- Dis-moi ... Pourquoi t'est-tu enfuie ? Tu n'était pas bien au château ? Tu as peur de moi, c'est ça ? Oui, bien sur que c'est ça !

Je le regardais maintenant avec rage et peur à la fois . Je n'avais plus qu'une chose en tête .

- Hum ... j'aimerais bien savoir de qui il s'agissait . Cette fille . Elle ressemblais énormément à votre mère . Elle avait la même expression qu'elle avant de mourir à cause de vous .

Mon regard se décomposa .

- Il va falloir m'expliquer aussi ... Il plongea la main dans sa poche . CECI .

Il déplia la lettre .

- OU T'AS TROUVE CA ESPÈCE DE SALE .... !

- Mes chères filles .

- ARRÊTE !

- Si vous lisez cette lettre, c'est qu'il a du m'arriver malheur . Pourtant, au moment ou j'écris ce texte, je suis cachée . Jusqu'à ce que tu naisse, Saule .  Quand j'ai appris ce qu'il contait faire de Leïa, je me suis dit qu'il valait mieux te cacher . Le roi n'est pas au courant de ton existante, et c'est moi qui en suis la seule responsable . Il ne sait pas que tu existe . Quand à toi Leïa, je suis désolée pour ce qu'il conte te faire subir et j'espère que tu ne souffriras pas trop . Je suis désolée si tu m'en veux, si j'ai peut-être gâché ta vie , mais sache que je vous aimerais toujours et que je n'ai rien pus faire pour vous deux .

Merrida .

"Cette lettre ..."

- Oh ! C'est ta mère qui à écrit ça, non ? Non attends ... VOTRE mère ! Il était très intimidant à vrai dire ...

- N-non !

Son expression changea . Elle devint sombre .

- J'ai failli oublier . Elle est morte . C'était ... Votre sœur, c'est ça ? Est-ce que vous l'aimiez, princesse ? Les larmes me vinrent . Je lui ai tiré une balle dans le bras, ...

- Non ...

- Puis dans la jambe, ...

J'étais ... Je peux pas le décrire . Il s'approcha de moi et me dis à l'oreille :

- Et enfin, je l'ai pris par le cou, et je lui murmuré quelques mots . Thomas chuchota à mon oreille : "Va rejoindre ta chère mère" . Il se redressa . Puis je lui ai passé le couteau sous la gorge !

Il me tourna le dos .

Un long silence s'écoula . Un silence qui fut brisé par mes cris .

- ESPÈCE DE MONSTRE ! Je sautas de mon lit, ignorant la douleur . Je lui sauta dessus .

- Argh ! Les chaines de plasma me retinrent et me brulèrent . Mais elles ne m'empêchèrent pas de rester debout .

- On dirait que tu ne peux pas bouger !

- AAAAAAAAAAAAAAAAARGH !!!!!!!!! JE VAIS TE TUEEEEEEEEER !!!!!!!!!!

- Oh, comme c'est mignon ! Hum, c'était quoi... Ta meilleure amie ? Le fille qui t'as appris à marcher ? Oh ! Je sais ... Ta ... Soeur ?

La douleur m'importait peu, et, une deuxième fois, je lui sauta dessus .  J aime la galette savez vous comment ? Quand elle est bien ffraicheee avec du beurre dedans

AsyreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant