CHAPITRE 2 : FUITE

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- Non ! Ce ... c'est pas possible !

- Et si ! Vous n'êtes pas contente de me voir, princesse ?

- Que ... comment vous êtes arrivé là ?!

Le siège se retourna . Le visage familier et pourtant tant détesté .

- J'ai pris mes dispositions ... Après tout, un magicien ne révèle jamais ses secrets !

Thomas était habillé en costard blanc avec une élégante cravate noir .

Saule et moi étions figée sur place . Non ! Non c'est impossible ! Je devais faire quelque chose .

- Cours !!! Dans l'ascenseur, vite !!!

Nous nous précipitions vers la petite pièce . Saule martela le tableau de chiffres . 1er étage .

- Comment c'est possible !

- Saule ! Perd pas espoir ! on va réussir à s'échapper !


*Ting !*

Trop tard . Les forces de l'ordre étaient déjà là . Plus nombreux que jamais . Au moins une trentaine en plus de ceux qui nous poursuivez . Ce qui nous fesait a peu près ... une cinquantaine .

- Oups ...

- On va jamais s'en sortir ! s'affola Saule . Tout ça c'est de ma faute ...

- Arrête un peu de pleurnicher ! Je refuse de croire qu'on a définitivement perdu ! Regarde, ils ne nous on pas encore vus !

- Mais on ne peut pas sortir ! Ils bloquent toutes les portes !

- Alors cachons-nous et attendons le bon moment pour s'échapper . Vient dans ce coin . On se cacheras avec les manteaux qu'il y a par terre .

Nous nous faufilâmes dans la foule . La musique était extrêmement forte . Tant mieux . Ça cachait le bruit . Les gens qui étaient présents étaient tous assez jeunes, donc nous avions le bon age pour passer inaperçu . Tout le monde dansaient en sautant et en buvant de l'alcool (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé) . Nous avions du mal a avancer . Les militaires progressaient vite mais les invités n'étaient pas gêner de les voir au milieux de leur fête . Ils avaient presque autant de mal que nous .

- LA !

Nous étions obligées de crier pour se faire entendre . Saule emporta quelques manteaux avec elle pour nous cacher . Bon, les manteaux n'étaient pas a nous, mais les propriétaires les retrouveraient surement . Quelques minutes après, les militaires étaient tous disposés au quatre coins de la salle . A la porte, il n'y avait plus que cinq gardes .

C'était le moment .

- SAULE ! COURS !!!

AsyreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant