Bonjour, lorsque j'écris ce chap il est actuellement 7h30.
Bref c'est l'avant dernier jour avant les vacances hehehehehe.Ma petite sœur elle m'a pété le poignet droit. Super.
C'est pas le dernier chap ! C'est l'avant dernier !
Bonne lecture ~~
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PDV TON PRÉNOM :
Je touche un meuble et cela signifie que je ne pas pas reculer plus.
Sans quitter les hommes des yeux, je pose mon pied sur une chaise à proximité et monte sur la table.Les deux hommes sont maintenant juste à côté de moi, même si je suis plus haute qu'eux.
Ils lèvent leurs armes, près à m'attaquer mais avant de me faire blesser je leur met un coup de pied au visage.
Un d'eux se tient le nez, et je crois apercevoir du sang.
Le placard au dessus de moi contient des assiettes. J'en prend une, et la balance sur le deuxième homme, qui non seulement s'est fait frappé, mais qui prend les dégât des morceaux de l'assiette.
Tous deux occupés à atténuer la douleur, je descend de la table en me servant à nouveau de la chaise comme escalier.
Je rejoins Mitsuya, mais juste avant, je passe devant un placard et regarde son contenu. Je me presse de prendre la balais à l'intérieur et arrive par derrière d'autres hommes pour leur frapper le crâne.
Le balais ne leur fait pas grand chose, mais j'ai réussis à détourner leur attention.
Mitsuya en profite pour leur mettre un coup final et ils tombent raides sur le sol.- On sort, dit Mitsuya, regardant les deux hommes, auparavant dans la cuisine, qui s'approchaient de nous.
Nous courons dans les escaliers, cette fois sans savoir où aller.
- On va où ? Je dit, presque en criant.
- J'en sais rien, on cours juste !
Arrivés devant la dernière porte, nous courons plus vite encore et sortons.
Nous nous retrouvons coursés par les plus forts qui ont su résister aux attaques de Mitsuya.
En bas de la rue se trouve un virage, et nous prenons la droite.
Toujours sans nous arrêter, Mitsuya prend son téléphone, et appelle quelqu'un.
Nous arrivons à un feu tricolor, et un nouveau groupe d'homme se trouve ici.- On en finira jamais ! Je dis, essoufflée.
- Non. C'est le Toman, dit Mitsuya, presque en souriant.
Je suis soulagée. C'est vrai que j'aurai pu les reconnaître, la moto de Mikey n'a pas changé, depuis.
Les membres du Toman descendent de leur moto et s'avancent vers nous.- Comment ça va Tp ? Ça fait longtemps ! Crie Mikey.
- Ça pourrait aller mieux, dis-je.
Le Toman s'avance vers le gang adverse et ensuite suit un combat où je ne vois pas la fin. J'essaie au maximum de ne pas me mêler de leurs affaires mais je ne peux pas éviter tous les corps du gang adverse qui volent.
Je me retourne pour vérifier que la police n'arrive pas puis je sens quelque chose me piquer dans mon dos.
Je reste immobile. Je sens un liquide chaud couler le long de ma colonne pour continuer sur mes jambes.
Peut-être suis-je en train de mourir ou trop dans mes pensées, car les voix qui appellent mon prénom me paraissent si lointaines.
Je sens la lame, auparavant dans mon dos, se retirer.
Plus de sang encore tombe de la plaie.Je sens ma tête tourner.
Je me retourne, fasse au Toman, au milieu des corps épuisés des adversaires. Ils sont tous là, à ma regarder.
Immobiles comme des statues.Je sens ma gorge me piquer puis je me tousse, mettant ma main devant ma bouche.
Je découvre ma main pleine de sang.Je relève la tête vers les garçons, qui n'ont pas bougé.
Je sens ma tête tourner, et je suppose que je ne devrai pas tarder à tourner de l'œil.
Je cligne plusieurs fois des yeux, et mes oreilles se mettent à siffler.
Avec ma vision floue je vois Mitsuya courir vers moi, tandis que je me laisse tomber dans ses bras, mes jambes lâchant.
- Je vois flou, dis-je.
- Ça va aller. Ça va aller, ils ont appelé une ambulance, dit Mitsuya, les larmes aux yeux.
Un silence s'ensuit. Juste le bruit du vent et des voitures lointaines peuvent s'entendre. Plus tard, les ambulances se font entendre.
- Tu continuera à m'envoyer des lettres, dis-je alors que les ambulanciers me prenaient dans leur camion.
- Oui, je t'aime, Tp, dit-il laissant les larmes couler sur ses joues.
Mitsuya demande la permission aux infirmiers de rester à mes côtés le temps que l'on arrive à l'hôpital.
Je suppose qu'ils ont accepté puisque, de mes yeux à moitié ouverts, je vois Mitsuya à côté de moi me prendre la main.
PDV Omniscient
- Joyeux anniversaire, Tp, dit Mitsuya, devant la tombe de sa bien-aimée, une lettre à la main.
- Je vais continuer de t'aimer comme tu as toujours voulu l'être, finit-il.
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Est-ce Qu'on Reçoit Une Lettre ? || Mitsuya x Reader
Fiksi PenggemarCher Mitsuya, je t'aime.