𝐿𝑒 𝑃𝑙𝑎𝑛 𝐷𝑒 𝐿'𝐸́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙 [TERMINÉ]

CHAPITRE 18

Pdv de Julie

J'étais au Salon, je venais de finir ma prière du soir, après m'allonge sur le canapé, je crois que les enfants dorment. Jules est rentré tôt, je voulais bien qu'on discute encore un peu. Oui je suis amoureuse de lui et je crois que lui aussi même bien et ça fait très longtemps qu'on n'a pas parlé de l'autre fois chez Lucy.

On sonne à la porte.

Moi : Quoi ? À cette heure-ci ?

Je me lève et me dirige vers la porte pour ouvrir à cette personne. En ouvrant la porte je trouve Jules en sueurs avec une respiration saccadée.

Moi : Qu'est-ce qui se passe Jules ? Pourquoi es-tu dans cet état ?

Jules : Julie !

Il prend mes mains entre ses siennes.

Jules : Je t'ai fait plusieurs déclarations auxquelles tu n'as pas répondu. Je t'aime Julie est-ce que toi tu m'aimes ?

Il me fixe dans les yeux, bon là c'est le moment. C'est lui que le Seigneur a placé sur mon chemin, j'en suis sûr.

Moi : Oui moi aussi je t'aime !

Wow on dirait des ados qui crient leur amour alors qu'il est presque minuit. Quel cliché mais je remercie l'Éternel de l'avoir placé sur mon chemin.

Jules : Je n'ai jamais été en couple mais je vais faire tout pour te rendre heureuse.

Moi : Je suis déjà heureuse.

Quelques mois plus tard

Pdv de Michelle

J'étais allongée sur mon lit, Madame Florence m'a laissé vivre ici depuis quelques mois et je l'en suis reconnaissante. Ben s'est réveillé le mois passé, il nous a fait un témoigne de l'enfer et de l'amour de Dieu envers lui. J'ai jeûné pendant des jours pour qu'il se réveille et c'est arrivé. J'ai fait la paix avec Samuel, Béatrice et beaucoup d'autres personnes. Ma famille ne sait pas où je suis sauf Samuel, mon père lui il m'ignore au lycée comme ailleurs.

Je soupire.

Moi : J'ai accepté Jésus comme Seigneur et sauveur, ce n'est parce que la vie est dure que Dieu t'a laissé. Ma joie ne dépend pas des circonstances de la vie.

Quelques temps plus tard

Cole : Tu es magnifique Michelle.

Moi : Et toi élégant.

Julie : Et moi très belle, dit-elle en arrivant au salon.

Cole : Oui c'est vrai.

Julie : Oh Cole tu t'es enfin habitué à mettre le smoking que Lucy t'a offert ?

Cole : Oui je m'y suis habitué, c'était dure.

Ça se voit qu'il s'est forcé de le porter.

On sonna à la porte et c'est Cole qui ouvre.

Cole : Tu n'as pas de maison ou quoi ?!

Julie : Parle bien à ton oncle, Cole.

Jules : Oui parle-moi mieux.

Cole : Pardonne-moi Oncle Jules.

Jules : Je préfère ça.

Julie : Maintenant que tout le monde est là on peut y aller, il y a ma petite soeur qui se marie aujourd'hui.

Moi : Vous êtes sûre.

Julie : Tu ne veux pas venir Michelle ? Me posa-t-elle

Moi : Je veux bien, marmonnais-je

Julie : Alors allons-y, dit-elle en sortant suivi de l'oncle de Cole.

Cole : Depuis qu'ils sont ensemble, elle est pétillante.

Moi : Tu n'es pas heureux qu'elle ait trouvé le bonheur.

Cole : Non ce n'est pas ça, j'aimerai bien l'appeler un jour Tante Julie ou Tata Julie mais ce n'est pas ça qui me dérange, c'est mon père je ne l'ai plus revu depuis ce soir-là. J'ai prie chaque jour pour lui.

Moi : Je suis sûre qu'il va bien, continue à prier pour lui.

Cole : Oui.

Julie : Bon les enfants nous ont part ! Cria Madame Florence depuis la voiture

Moi : Elle rigole ?

Cole : Je ne pense pas.

On sortit en ferment la porte derrière nous.

Éclipse jusqu'à la fête

J'étais assise devant un grand homme noir avec un enfant dans ses bras. Pourquoi il me fixe comme ça ?

Lucy : Arrête de la fixer comme ça Bryan.

Bryan : Qu'elle arrête de me fixe d'abord, grogna-t-il en se tournant vers moi. Pourquoi tu me fixe comme ça ?

Moi : Mais-..mais c'est vous qui avez commencé.

Lucy : Je déteste ce genre de dispute, ça me rappelle quand Éric et toi vous faisiez ça. Je vous ai laissé dehors toute la journée, je peux le faire maintenant aussi.

Bryan : Euh non, je crois que j'ai bel et bien commencé.

Enfaite la famille de Madame Florence n'est pas si mauvais, Son petit frère est très gentil mais il parle beaucoup.

Eric : Je suis journaliste et je crois que l'une des collèges m'aime bien, j'en suis sûr.

Lora : Tu parle de la belle Hawaïenne qui fait les yeux doux à ton patron ?

L'aînée lança un regard noire à la petite soeur cadette.

Bryan : Je t'avais dit de la laisser dehors

Lora : Hé !

Eric : Non ce n'est pas une hawaïenne mais une ivoirienne et elle est nouvelle.

Lucy : Mes petits grandissent trop vite !

Bryan : Oui, deux sont déjà mariés et l'un a un garçon trop mignon.

Lora : Vantard !

Je tourne mon regard vers Cole qui était avec son oncle et Madame Florence, lui aussi souffre les adultes à côté de lui ne font que se comportaient comme un couple. Ils ressemblent beaucoup à une famille. Cole remarque que je le fixais et se lève pour venir vers moi, je me lève aussi pour m'approcher de lui mais Tata Lucy me dépasse rapidement.

Lucy : Coly ! Viens là, dit-elle en le prenant dans ses bras.

Cole : Bonsoir Tata Lucy.

Lucy : Tu es là pour demander une danse à ta chinoise ?

Moi : Je suis coréenne.

Lucy : Oh.

Elle plisse les yeux.

Lucy : Bref !

Elle nous colle contre elle en marmonnant des histoires à tomber parterre.

Julie : Lucy s'il te plait laisse-les. La supplia sa soeur

Elle nous lâche et nous pousse vers la piste de danse où danser quelques couples.

Lucy : Vas-y Coly, invite-la !

On se fixa gêner, cette femme est un phénomène.

Cole : Bon viens danser avant qu'elle nous attache.

Moi : D'accord.

On commence à danser et wow il sait très bien danser, je ne savais pas. Ça me rappelle des souvenirs, quand j'avais 9 ans Rose et moi on dansait encore et encore sur des chansons chrétiennes. Elle était chrétienne mais après elle a arrêté d'aller à l'église cependant je l'entendais toujours prier. Elle est comme une mère pour moi...