Chapitre 2

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Nos nez se frôlaient, se touchait, je pouvais sentir son souffle s'abattre juste la sur mes lèvre. Et encore se regard perçant qui me transperce, je fermais les yeux, mais très vite le visage de Léonardo m'est apparu.... Je ne pouvais pas faire cela...

" Dario...je..nan, Nan je ne peux pas faire ça, excuse moi" 

Je l'avais repousser, il m'avais fallut toute la volonté du monde pour le faire, car je sentais déjà son parfum agir comme de l'opium sur moi et c'étais fichtrement effrayant. 

J'ai alors pris mon sac à main et je me suis enfuis loin de lui, du moins j'ai essayé de le faire. Arriver à la voiture de Brenda, je cherchais mes clés dans ce fichu sac à main mais sans succès. Je n'arrivais pas à mettre la main dessus... 

" Excuse moi c'est cela que tu cherche ?" 

Je relevais alors le regard vers cet inconnus pas si inconnus que sa... Dario avait la mains lever au niveau de mon visage, et au bout de son doigt pendait le porte clés a l'effigie de la bières "Leffe" que Brenda affectionnait tant... Dario avait mes clés en sa possession.... 

"Hum... ouais merci c'est très gentil de ta part mais maintenant je ferais mieux d'y aller..." 

"Attend Louisa... attend je te dis !" 

Il avait hausser très légèrement la vois attirant le regard de quelques passants qui détournèrent très vite le regard... Je les comprends, à moi aussi les yeux de Dario me faisait peur... Encore une fois il rapprocha sons visage du miens, voilà que le manège recommençais... j'allais finir pas m'y habitué... 

"Louisa... je suis sûr que tu le ressent toi aussi... Cette...cette attraction entre nous"

"Dario...Je ne peux pas, je ne peux vraiment pas faire cela..."

"Quoi mais pourquoi ? Qu'est ce qui te gène ? C'est la différence d'âge ? C'est sa ? Louisa ce n'est pas un problème ça..."

"Nan c'est pas ça...c'est"

Je n'arrivais pas à lui dire, je ne sais pas pourquoi, les mots ne me venais pas... je me trouvais vraiment ridicule, là dans le bras de ce jeune homme...alors qu'il me suffirai juste de monter dans cette putain de bagnole !  

" Louisa..."

Et sans un mot de plus, il avait déposer ses lèvre sur les mienne, ce n'était pas doux, c'était sauvage... il m'embrassait comme si j'aurais pu lui filer entre les doigt, comme ci j'était la chose la plus précieuse qu'il avait eu entre les doigts et bon dieu, je n'avais pas ressenti cela depuis 17 ans, depuis que Valentina était né... 

On à alors coupé le baiser, on est monter dans cette voiture, j'ai conduis jusque la maison de Brenda. On à déboucler nos ceintures, on s'est encore embrassé. Les pats maladroit on avait peiner à trouver la chambre dans laquelle je résidais pendant ce court séjour, nos bouche toujours coller l'une à l'autre... Ont s'étaient abandonner aux plaisir de la chaire, et jamais cette nuit là, Léonardo n'est venu à mon esprit. 


Il devait être au alentour de 5h du matin quand je me suis réveiller... je me suis lever, j'ai parcourus la maison pour ramasser nos affaires éparpiller un peu partout... Dario m'avait suivis, je le sentais juste là derrière mon dos. 

"Qu'est ce que tu fais ?" me demanda t-il 

" Je crois que c'est mieux que tu parte" Répondis-je en lui tendant son t-shirt  

"Quoi, comme ça ? On à pas échanger nos numéros donc on se reverra pas ?" 

"C'était juste l'histoire d'une nuit, cela doit finir aussi vite que cela à commencer" 

Amor en todos sus estadosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant