Chapitre 4

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" Avec Léonardo on vit sous le même toit et on à une filles ensemble, mais c'est comme si l'on menait une vie séparer. Toutes les choses qui au début nous réunissais ce sont totalement volatiliser. Pour lui le plus important c'est son travaille, ses dossiers et sons assistante, je crois. Je les soupçonnes d'avoir une liaison"

"Je vois, et qu'est ce que vous ressentez face à ça ?" 

" Je sais pas. Bien sure sa me met en colère mais je ne sais pas si c'est mon cœur ou ma dignité qui est toucher, mais ce n'est qu'une excuse n'est ce pas ? Je ne vous direz pas que je me suis laisser emporter dans le feux de l'action, parce que se serait mentir. C'était par désir qu'il soit à moi, par désire de ne plus être la professeur Moreno, de ne plus être l'épouse du juge ou la mère de Valentina et qu'il ne reste juste la femme. Vous savez le pire dans cette histoire ? C'est que cette attraction est encore là..." 

" Que compter vous faire ?" 

" Rien, rien a cause du devoir, de la loyauté envers mon maris, ma fille et la culpabilité"

" De quoi, vous vous sentez coupable ?" 

" De ne pas ressentir de culpabilité"

Parler avec ma psychiatre me faisais le plus grand bien, je me sentais comme libérer. Maintenant j'en étais sûr jamais je ne devais pas revoir Dario personnellement. Notre relation s'en tiendra seulement et uniquement à la sphère Professionnelle.

" Ok reprenons, vous n'avez jamais envisagez la possibilité de faire ce que la plus part des hommes s'autorise ?" 

" C'est à dire ?" 

" he bien je parle d'avoir une relation secrète... de vivre l'instant présent " 

" Nan, Nan , Nan, Nan, c'est hors de question !" 

" Pourquoi ? A cause de la société qui déclare qu'une femme convenable ne peut ressentir d'autre sentiment pour un autre homme que son maris ? Je ne suis pas entrain de vous inciter à le faire ! Je vous demande simplement d'étudier cette possibilité" 

" Non, Je ne pourrai pas avoir une liaison secrète, je ne sais pas mentir, je crois que je serai incapable de faire durer une telle situation..."

" D'accord, maintenant on peu discuter de ce que vous pensez faire alors" 

" Je sais pas... mais je crois qu'il faut que j'ai une longue discussion avec le juge Moreno, Je ne sais pas si j'ai envie de lui dire ce que j'ai fait ou lui demander ce que lui est en train de faire, tout ce que je sais c'est qu'il est primordial que l'on est cette discussions" 


Il devait être aux alentour de 20H30 quand je me gara en face du parquet, juste là ou travaillait mon maris. J'étais motiver à avoir cette discussion juste après ma consultation avec la psychiatre, parce que je sais exactement que je n'aurai plus le courage de le faire plus tard. 

On m'avais laisser entrer, évidement j'étais la femme du juge bien sûre qu'on allait me laisser passer. Les couloirs était interminable... Dans le bureau de Léonardo il n'y avait personne, je me dirigea alors vers le bureau de Edith, son assistante, et je tombai sur une scène qui me glaçait le sange. 

Léonardo était juste derrière Edith, qui elle tenait ses cheveux en l'aire tandis que Léo lui passait un collier qui devait valoir 4 mois entiers de salaire. J'en était sûr. 

" Je le savais" 

" Louisa, c'est pas du tout ce que tu crois" 

" Sa m'étonne que tu n'est pas trouver quelque chose de plus original comme excuse..." 

" Ne cherche pas de problème là ou il n'y en à pas Louisa." 

" Alors c'est moi le problème ?" 

" Excusez moi, mais vous vous tromper Madame Moreno, J'ai..."

" Edith, tu n'a pas à lui donner d'explication. C'est entre Louisa et moi. Je te propose de parler de ça quand on sera tout les deux rentrer" 

" Pathétique" 

C'est ainsi que je quitta ce bureau aussi vite que je n'y était entré. Je voulais essayé de joindre Brenda mais encore une fois, sans succès. Elle devait surement être entrain de s'éclater sur son bateau... Pourquoi ne suis-je pas partis avec elle ? 

Quand j'ouvris mon sac pour y redéposez mon téléphone, je découvris une carte, une carte d'un garage... Je savais de qui elle venait, je fais quoi ? J'y ? J'y vais pas ? Je ne sais plus je suis chambouler je n'arrive plus à réfléchir. Je n'est pas envie de rentrer à la maison tout de suite mais je n'est nul part ou aller... 

J'étais devant le garage mais je n'arrivais pas à sortir de ma voiture... J'observais juste la devanture, je voulais juste croiser son regard, rien qu'une fois. Je ne sais vraiment pas à quoi je joue... C'est comme ci mon cerveau c'étais mis en pause le temps de quelques instant.

Une silhouette est soudainement apparue, sur le trottoir juste en face de la route, la ou j'était stationner... C'étais lui, je le reconnaîtrais entre mille.. Il me fixai, nos regard c'était encore accrocher l'un à l'autre. 

Il essaya tout à coup de s'approcher, de venir à moi.. Mais je ne pouvais pas, c'étais inconcevable.. Prise de peur je décida alors d'avancer... de continuer ma route. Je l'avais vue, j'avais eu ce que je voulais n'est ce pas ? 

Quand je rentrai à la maison ce soir là, l'atmosphère était bizarre.. Léonardo avait inviter Esteban à venir diner avec nous, il faisait comme ci rien ne s'était passer comme ci je ne l'avais pas vue offrir un collier qui valait des millions d'euros à sa secrétaire... Mais au final cette situation m'arrangeai, Je ne voulais plus parler, je m'étais décourager à avoir cette discussions. Finalement tout ceci n'étais pas plus mal. Il nous suffisais juste d'ignorer toutes cette situation et moi d'oublier Dario... Rien de plus simple, N'est ce pas ?


Amor en todos sus estadosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant