Chapitre 10

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La lumière du jour envahissait la chambre d'hôtel, terminant de me sortir de mon sommeille profond... Je n'avais fait ni cauchemar ni rêve, et au final je pense que j'aurai préférer faire l'un des deux. Parce que je détestais cette sensation de me réveiller sans rien dans la tête... 

" Ce mot dans la ville ou l'amour s'appelle de toutes les rue, de toutes les maisons, de tout les appartements, de toutes les chambres, de tout les lits, de tout les rêve"

Léonardo lisait un poème, un poème que je connaissais si bien puisque depuis que les lèvres de Dario me les avaient susurrer hier, les même paroles repassaient en boucle dans ma tête sans arrêt... Sa me torturais, sa me rongeais... Mais mince est ce qu'on pouvait m'expliquer pourquoi Léonardo était entrain de me lire le poème que Dario avait écrit. 

" C'est quoi ça ?" demandais-je 

Léo déposa le bouquet qu'il avait dans les mains ainsi que la petite carte ou y était inscrit d'une écriture soigné le poème, sur la table de chevet. Puis il s'assit sur le lit juste en face de moi. 

" Un cadeau de la direction, que l'on vient de déposer. Qu'est ce qui t'arrive ? Tu n'aime pas le poème ?" 

" Nan, c'est pas ça, c'est que en 20 ans tu ne m'avais jamais lu un seul poème alors ça me fais juste bizarre de t'entendre m'en réciter un..." 

Quel piètre menteuse je faisais. Enfin si Léo ne s'en rendais pas compte il était vraiment débile, un truc clochait !

" Si seulement j'avais sû que tu aimait la poésie, je t'en aurais lu chaque matin..."

Et il m'avait encore embrasser, mais ces baisers n'avait plus aucune saveurs et je m'en rendais compte. Mais qu'est ce qu'il ne tournais pas rond dans ma tête. Tout ce que je voulais c'était retourner à ma petite vie d'avant. Jamais je n'aurais du aller à se fichu week-end, sans celui ci jamais je n'aurais rencontrer Dario, Brenda n'aurais jamais disparu et je pourrait encore aimer mon maris. Au lieu de cela je pensais à un autre homme pendant que mon maris essayait de me donner de l'amour. 

" Chérit, je te laisse t'habiller et tu me rejoins en bas pour déjeuner ?" 

" Ouai, ouai pas de soucis chérit..." Avais-je pitoyablement répondu. 

La salle de restaurant de l'hôtel était vraiment magnifique il n'y avait pas à dire. J'avais envie de m'abandonner, de laisser cette fichu histoire avec Dario de coter le temps de quelques heures et  d'apprécier de retrouver mon maris. L'homme que j'aimais depuis maintenant 20 longues années....  

" Tu vois chérit je réfléchissait à prendre une année sabbatique"

" Quoi ? Un an ? Léonardo, je te connais trop bien, tu ne tiendra pas 1 mois sans travailler" 

" Mon amour, je voudrai au moins essayer, je veux passer plus de temps avec toi, qu'on voyage. On pourrait emmener Valentina avec nous... et je sais pas j'ai vraiment envie de profiter de vous deux." 

" Ouai ok comme tu voudra Léo. Enfin bref tu veut un fuit je vais en chercher ?" 

" Ouai s'il te plait mon amour" 

Et voilà je fuyais encore, je pense que c'est la chose pour laquelle j'étais la plus douer. Nan mais vraiment c'est quoi mon problème ? Léo me parle d'un voyage qui pourrait ressouder notre famille et je reste aussi froide que de l'asphalte. Bravo Louisa tu voulait te détendre et retrouver ton maris, voilà qui était gâcher.

Je demanda une orange au serveurs avant de retourner à notre table. Cependant plus je m'approchais et plus je doutais d'une deuxième présence à notre table, un garçon je dirais. j'entendais des brides de conversation et malheureusement je crût reconnaître l'autre voix. 

Amor en todos sus estadosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant