Chapitre 6

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Dario avait donc dût reprendre le travaille que son employer avait dû laisser par obligation familial. j'étais assise sur le siège passager à regarder Dario travailler parce que je n'avais tout simplement rien d'autre à faire. Mon téléphone n'arrêtait pas de sonner dans mon sac mais je le laissais faire. Je pense que je ne voulais pas regarder qui était entrain de me harcelé sur mon téléphone uniquement par peur que ce ne sois Léonardo. Car si c'était lui je savais très bien que ce moment allait être briser. Parce que en cette instant je me sentais très bien, trop bien. 

Nous nous échangions de doux regard, regard qui étais de ma faute. C'est moi qui les engageait  parce que je le fixais. Je fixais ses muscles se contracter quand il portait la roue ou quand il bougeais. Parce que mes yeux recherchai le chaos dans les siens.

Il à poser ses outil puis il s'est diriger vers moi alors que je m'était préalablement lever. 

" La voiture est prête, madame..." 

"Et hum, Ou sont mes clés ?" 

Il est rester muet, enfaite c'est plutôt son corps qui m'a répondu, puisqu'il c'est approcher de moi. Il a complètement envahit mon espace personnel. 

" Pardon" 

" Dario ne fait pas ça" 

" Tu est sûr que tu veut vraiment partir ?" 

"Je...nan" 

Nos lèvre se réclamais, elle hurlais de douleur du manque de contacte de leur jumelle. Cette appelle se faisait infernal, elle piquait, elle brûlait. Elles avaient besoins d'être réunis pour ne former qu'un... Parce que ces lèvres étaient réconfortantes. Elles n'avaient jamais connues la douceur.. Tout était toujours si brutales entre elles, comme ci chaque fois qu'elle se touchait était la dernière. Comme si Dario allait disparaître, comme ci Louisa allait disparaître et que plus jamais elles ne pourraient se bousculer, se toucher, se dire des mots doux, se taquiner... Parce que c'était devenu comme un besoins vital pour elle deux de se toucher.. 

Et pendant que les deux corps s'abandonnais à l'autre, un message vocal fût déposer dans la messagerie de Louisa... Message qu'elle ne lira sans doute jamais. 

"Louisa ? Je suis passer te chercher à l'université, je voulais m'assurer que tu aille bien. Je sais qu'en ce moment c'est difficile pour nous mais il faut qu'on en parle. Louisa, je sais que je ne te l'est pas dit depuis longtemps, mais Je t'aime. Rappel moi." 


Nous étions allonger dans les bras l'un de l'autre, dans son lit.. je ne sais pas ce qu'il m'avait encore pris mais c'est comme cela. C'est comme ci tout capacité à réfléchir désertai mon cerveau dès qu'il était dans les parages.

" A quoi tu pense ?" 

" Tu est si jeune" 

"Et alors ? C'est bien ou c'est mal ? " 

" Tu sait que c'est la première fois que je trompe mon maris ?" 

" Arrête de te sentir coupable, c'est lui le juge, moi je ne suis pas là pour te juger" 

"Comment tu le sait ? Tu à vraiment tout vu sur mon profil...tu à passer toute ma vie au scanner"

" Tu en connais beaucoup qui ne vont pas voir la page facebook des personnes qui leur plaisent ?" 

" Quand j'étais en âge de faire ça je ne crois pas que Facebook existait.. j'en sais rien. Si tu avait pousser tes recherches sur moi tu aurait put découvrir que j'avais une fille, qui est a peine plus jeune que toi...elle pourrait même être..."

" Nan, Nan, ne dis rien "

" Il est tard, il faut que j'y aille"

Je me leva donc pour enfiler mon mentaux et prendre mon sac, Tout ceci devenait soudainement trop pour moi. 

" Dario,je t'apprécie énormément et j'avais oublier à quoi ressemblait ce sentiment mais toi et moi c'est...Je sais pas c'est juste"

" Appel ça comme tu veut, mais c'est ce qu'on éprouve l'un pour l'autre qui compte, parce qu'on éprouve quelque chose non ?" 

" Non tout ce que je sais c'est que c'est impossible Dario... tu comprend ? Je suis marié, sa peut pas arriver"

Je détestais voir cette expression sur son visage..

" N'en parle à personne s'il te plais. Je peux compter sur toi ?" 

" T'en fait pas, je dirais rien. Vie ta vis moi j'existe pas"

Je l'avais laisser comme ça... Et je m'en voulais. J'étais certain que jamais je n'arriverai à m'enlever cette expression sur son visage. 

La route jusque la maison était horriblement silencieuse. C'était comme ci j'était vide... Aussi vide qu'une coquille sans escargot... Vide comme ci je venais de perdre quelque chose que j'avais chéris si fort. 

"Valentina" 

"Hey, tu frappe avant d'entré." 

" Pardon." 

" Excuse moi maman" 

"Mmh, ma puce tu à vu papa ?" 

" Ouai, tout à l'heure, il à demander après toi mais il est reparti. Sinon...Comment tu va ?"

" Bien merci" 

" Est ce que tu à envie de parler de ce qui te tracasse ? Je vois bien que ca va pas trop en ce moment..." 

" Nan t'inquiète pas chéri, tout va bien..."

c'est alors que j'enlaça ma fille... C'était le seul réconfort que je pouvais avoir en ce moment. Je sentais que tout partait en vrille et je détestais ce sentiment d'impuissance qui courrait tout le long de ma poitrine. 

La douche était le meilleur endroit pour réfléchir. J'avais toujours affectionner cette endroit pour m'isoler. L'eau chaude avec se pouvoir d'apaisement sur moi. J'avais besoins d'être apaiser ces temps si. J'avais l'impression que tout me dépassait, que je n'arrivais pas sortir la tête de l'eau. Après la douche j'allais devoir descendre et comme d'habitude Léonardo et moi allons remettre nos masques de parfait petit couple sans problème devant notre fille. Mais notre couple battait de l'aile on lui avait arracher ses plumes... On l'empêchait de voler... Le déclencheur n'a pas été Dario, c'était bien avant, je suis incapable de dire avec précision à partir de quand... Dario n'avait juste été qu'un élément de plus qui a fait pencher la balance. Est ce que l'amour entre nous était définitivement mort ? est ce que Dario y avait prit une place beaucoup trop important ? Est ce que j'avais des sentiments envers Dario ? Ou était-ce seulement le goût de l'inconnu qui m'attirai ? Je ne savais pas et tout ça me rendais folle.

" Louisa ! Chérie ! Tu descend manger ?" 

Que le jeux recommence....

Amor en todos sus estadosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant