Chapitre 3

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Le soleil réchauffait mon corps encore somnolant. La veille je m'étais endormis seul sur mon ordinateur ,j'avais dû travailler toutes la journée sur mon cours pour cette après-midi... Léonardo n'était pas rentrer ou du moins si il l'avais fait, c'était sans doute très tard. Il devait surement l'être maintenant car j'entendais l'eau de la douche s'écouler.

Je me levais, et allais faire mon tour au toilette comme chaque matin et y croisais Léo sous la douche. Je fis ce que j'avais à faire...

" Est ce que tu sais que c'est dangereux de laisser un ordinateurs allumer sur les draps toute la nuit ?"

"Je... ouai pardon, j'ai dû m'endormir sans m'en rendre compte. Tu est rentré à quel heure hier soir ? "

"Très tard chérie, tu dormais déjà"

Louche toujours aussi louche. Mais comme d'habitude j'allais encaisser, puisque comme d'habitude je devais être la femme parfaite... Je devais être Louisa Moreno l'épouse sans faille du grand Juge Léonardo Moreno. C'est la qu'à toujours été ma place.

" Léo ton téléphone sonne est ce que tu veut que je décroche ?"

" NAN ! nan chéri c'est pas la peine tu va être en retard"

Il était alors sortit précipitamment de la douche pour prendre son téléphone encore vibrant dans ses mains.

" Et toi tu sait pas que c'est dangereux de toucher à un téléphone quand on à les mains mouiller ?"

Et bim dans tes dents Léonardo Moreno !


Le parking de l'université était encore bonder, il faut croire que beaucoup d'étudiant inspiraient à être Juge ou avocat où tout ce qui touche au droit. Moi j'enseignais surtout sur les Féminicides... vous savez ces meurtres de femmes perpétrer le plus souvent par des hommes. Parmi eux on compte le crime passionnelle, c'est à dire le crime commis au nom de l'amour. mais j'aurais l'occasion d'en parler plus en profondeur dans l'un de mes prochains cour.

La majorité des personne que j'avais en salle était des filles, quel coïncidence étant donner que nous parlons de féminicide, cependant la donne allait changer. Il y a pas moins de 2h j'avais appris qu'un nouvel étudiant allait rejoindre ma section. Il est très rare qu'au cour de l'année un étudiant en droit décide de s'inscrire dans une section qu'il n'avait pas choisis au début de l'année. Il doit être très motiver.

Quand j'arrivais en salle tout les étudiante étaient déjà installer, à l'exception d'un... un siège était libre et j'imaginais que cette chaise vide était destiner au nouvel arrivant sans doute en retard. Il commence bien celui là.

"100 million de femmes sont porter disparu dans le monde. Nous savon que 100 millions de femme sont né mais nous ne savons pas ou elle sont. Nous ne savons pas si elles on été assassiné parce que elle ne représente pas la même valeur qu'un garçon aux yeux de leur parents. Nous ne savons pas si elles on été donner, ou vendu ou si elles sont entre les mains de trafiquant dont le but est de les prostitué, les exploiter ou vendre leurs organes. Des femmes qui meurt sous les coups de leur maris, de leur père, de le frère ou de leur ex-conjoints. Ou encore ces femmes qui meurt assassiner par des inconnus pour la seul raison qu'elles sont des femmes. Vous savez que dans notre pays 9 femmes meurent par jours, une toute les 2H30. Ce sont des femmes qui sont des mère, des filles, des sœurs, des épouses ou la meilleur amis de quelqu'un. Les chiffre nous désensibilise, nous ne protégeons pas les victimes, on les rend invisible c'est pour ça que je veux que nous parlions du cas de....

"Madame ? Madame ?"

Dario, Dario était là, juste devant moi, il avait remplis la chaise vide. Son regard était poser sur moi, toujours aussi transperçant. Je rêvais ce n'était pas possible... comment pouvait-il être à Guadalajara hier et à Puebla aujourd'hui ? Pourquoi ne l'avais-je pas croiser avant ?"

"Madame, est ce que tout va bien ?"

" Je... Oui, excusez moi."


Le cours était maintenant fini, je m'apprêtais à quitter l'université, Dario avait filer aussi vite qu'il n'était arriver. Peut être que finalement lui aussi ne s'était pas attendu le moins du monde à tomber sur moi. Tout ceci n'est juste qu'une coïncidence, une blague du destin mais alors une très mauvaise blague.

" Comment je dois t'appeler ? Louisa ou Professeur Moreno ?"

" A partir de maintenant je suis la professeur Moreno et tu est monsieur Guerra ! Est ce que c'est claire ? C'est aussi simple que sa. Nous deux, sa ne se reproduira plus !"

Punaise mais quel culot il à se, se, se gamin ! comment j'ai pu me laisser séduire par ce genre d'homme ? Bon ok Louisa calme toi, tu va tranquillement rentré chez toi.

Quoi que se passe t'il ? Pourquoi ma voiture n'avance t-elle pas ? Je sortis alors de la voiture pour aller voir ce qu'il se passait.

" Rho c'est pas vrai ! Pas aujourd'hui !"

Mon pneu était crever, cette fois ci c'est claire, aujourd'hui n'est clairement pas une bonne journée. Bon il doit bien y avoir une roue de secours dans cette fichu voiture.

" Un coup de main ? professeur. Vous avez pas la tenu adapter pour changer une roue"

L'ignorance était sur le coup ma meilleur arme.

" Sans vouloir vous vexer, c'est un fait, vous avez vraiment besoin de mon aide professeur."

Je l'avais donc laisser faire. Ba quoi ? j'avais vraiment besoins de rentrer chez moi, j'allais tout de même pas refuser l'aide d'un homme, que ce soit Dario ou n'importe quelle autre homme sur cette fichu terre.

" Pourquoi tu m'a pas dit qui tu était vraiment ?"

" Je pensais que nous n'allions jamais nous revoir. En tout cas Dario, que ce soit le hasard ou le destin, oublie ce qu'il c'est passer à Guadalajara ok ?"

Il c'est approcher de moi, comme ce soir la.

"Oublier quoi ? La meilleur soirée de ma vie ? MMH je crois pas nan !"

" Je suis ta professeur !"

" C'est vrai, et on vient de se découvrir un nouveau point commun ! Nous étudions tout les deux le droit"

"oublie je te dis"

"J'en est pas envie, on est adulte on fait ce que l'on veut, on pourrait"

"Je suis marier"

" Evidement ! C'était sûr ça. Bon si tu es d'accord on peut emmener ton pneu crever à mon gara..."

" Dario je m'en chargerai ! et je ne veux pas te blesser en te disant que c'était une erreur mais.."

" C'est exactement ce que tu est entrain de dire"

" Jamais j'aurai imaginer ça, que l'on se reverrai, pour moi c'était juste.."

"Louisa, écoute, je sais pas pourquoi on c'est retrouver ensemble cette nuit là, et a vrai dire je m'en fiche, je retiens juste que c'était merveilleux. On ne peut pas fuir un truc pareille"

" Il faut que tu passe à autre chose"

"Si tu change d'avis et que tu à besoin de mon aide avec ta voiture, passe me voir, à mon garage. Bonne journée, professeur "

Il me glissa alors sa carte dans la main, que je pris soins de ranger dans mon sac. Il me tourna le dos, monta dans sa voiture puis il partit.





La maison était encore vide quand je rentrais ce soir là. Valentina devait encore être en cour ou alors elle trainait sans doute avec ses copines. Léonardo lui, il était toujours à son bureau... Me sentant seul et déboussoler par l'arriver de Dario si soudainement dans ma vie, je décidais d'appeler Brenda.

"Oui vous êtes bien sur le répondeur de Brenda, je suis pas là, je suis surement très occuper à m'amouracher d'un gars là, alors à moins que vous ne soyez la police, éviter de me harceler et laisser plutôt un message"

" Brenda, j'ai besoins de te parler c'est urgent. Tu ne devinera jamais qui à débarquer dans mon groupe de TD aujourd'hui"

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Et voilà le troisième chapitre, J'ai été prise d'une très forte envie d'écrire haha...J'espère que celaa vous à plu, il est un peu plus long que les autres.

Amor en todos sus estadosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant