Amor en todos sus estados

Chapitre 8

" L'endroit le plus dangereux au monde pour une femme c'est sa propre maison. Plus de la moitié des femmes victimes d'homicide sont assassinée par leur compagnon ou du moins par un parent proche."

Je déambulais entre les table, et aujourd'hui la chaise de Dario était vide, complètement vide.

" Alors oui c'est vrai que dans le monde il y a davantage de meurtre d'homme que de femme, mais ce qu'il y a de choquant de nos jours c'est que le meurtre d'un homme est généralement commis par un inconnu. Alors que le meurtre d'une femme est commis de la mains d'une personne proche qui lui est chère....Ok nous étudierons les conséquences plus tard; merci à vous"

La non présence de Dario m'inquiétais, Est ce que cela avait un rapport avec nous ? Enfin si nous il y a déjà eu.. Il ne peut pas foutre en l'aire ses étude pour une amourette de Deux nuit, enfin ça n'a aucun sens. Inquiète et voulant parler de tout cela avec lui j'essaya de l'appeler mais ce ne fus sans succès. Je me résignais donc et laissa tomber. Peut être que finalement il avait décider de tirer un trait sur nous. Et je ne pouvais pas lui en vouloir si pour tirer ce fameux trait il avait besoin de ne plus me voir, Je devais respecter cela n'est ce pas ?

Quand je rentrais à la maison en cette fin d'après midi, je fus surprise d'y entendre du bruit... Bizarre normalement Valentina ne finissait ses cour que dans 2h.

" Louisa !"

" Oh léo"

" Je partais pour l'aéroport, j'ai essayer de t'appeler plusieurs fois mais.."

" Ou est ce que tu va ?"

" A Guadalajara, je vais remplacer un collègue pour le séminaire de la magistrature."

" ça se décide d'un coup comme ça ?"

" Heu ouai je suis désolé"

" Qui t'accompagne ?"

" Heu..Je...je suis presser excuse moi, il y a Andres qui m'attend"

J'eu le droit à un simple bisous sur la pommette.

" Tu reviens quand ?"

" Vendredi si tout va bien"

" Vendredi ?'

"Ouais"

" Pour notre anniversaire ?"

" OUI ! J'a..j'ai pas oublier, je te le promet, je ferais tout pour être là"

Il ouvrit la porte de notre maison, et juste en face y était garer la voiture sensé l'emmener pour l'aéroport, mais à l'intérieur de celle ci, ci trouvais Edith en train de se recoiffer...

"Ha au faite, Dit aurevoir à Valentina de ma part. Ma chérit ? Hey Louisa Je t'aime"

Et la porte claqua, se referma brutalement. Je venais de laisser mon maris s'enfuir avec sa secrétaire.

( Chez la psychologue de Louisa)

" Léonardo, Edith, je l'est imagines dans un hôtel ensemble entrain de me tromper..."

" Oui"

" Et sa me fait ni chaud, ni froid.. C'est plus mon égo qui est blessé...Et moi je pense qu'a une chose... Dario, Dario tout le temps"

" Vous l'avez revu ?"

" Nan il n'est pas venu à mon cour, il était pourtant censé y assister.. Il ne répond pas à mes appel, aucun signe de vie, pas un texto de sa part, pas un appel, rien.."

" Comment vous le vivez ?"

" J'aimerais vous dire que je me sens soulager, parce que en fin de compte c'est ce que je voulais nan ? Que sa finisse..."