「 épisode quatre 」

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nda - vous savez à quel point c'est dur de trouver des temps morts dans Dernier Train pour Busan ? 😭 mon découpage est catastrophique parce que tout s'enchaîne à une vitesse indécente. j'espère malgré tout que le chapitre n'est pas trop confus ou rapide-

j'en profite pour annoncer que cette histoire aura des bonus qui viendront par moments se rajouter entre les épisodes que je poste là : il y a quelques scènes que je ne peux pas adapter au sein de l'histoire car elles concernent des personnages annexes mais qui restent, à mon sens, intéressantes pour combler les vides que je laisse parfois. donc, il y aura prochainement un épisode bonus entre les chapitres trois et quatre qui reviendra sur la situation du train et la raison pour laquelle il part sans certains passagers. Ce ne sera pas le seul bonus, mais j'annoncerai les autres le moment venu !

en attendant, bonne lecture ! Le prochain chapitre sortira le 02 mars :)

chapitre quatre, regarder en avant(derrière ne restent que les regrets et les cadavres)

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chapitre quatre, regarder en avant
(derrière ne restent que les regrets et les cadavres)
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Avec un nouveau juron, Chuuya se précipita sur la fenêtre, confirmant ses craintes profondes : ce n'était pas une vue de l'esprit, le train était bien en train d'avancer doucement pour quitter la gare.

« Putain ! » lâcha-t-il de nouveau.

Il ne pouvait pas croire qu'ils allaient les abandonner... Ignoraient-ils que tout le monde n'était pas dans le train ? C'était une possibilité mais Chuuya la trouvait offensante. Et inquiétante. N'y avait-il plus personne pour remarquer leur absence ?

« Il faut qu'on se dépêche ! » s'exclama Dazai. Néanmoins, son regard se porta sur les zombies qui leur bloquaient le passage (mais leur tournaient encore le dos) et il fronça les sourcils.

« T'aurais pas encore un plan de génie pour nous tirer d'affaire ? s'enquit Chuuya.

À part frapper ces zombies tu veux dire ? » rétorqua le brun, visiblement pince-sans-rire.

Leurs deux compagnons gardèrent le silence, sans doute en proie à une grande panique intérieure. Dazai leur jeta un regard en coin en attrapant la première chose qui lui passait, à savoir une brique qui traînait et dont l'utilité première était sans doute de maintenir une porte ouverte en permanence. Le bruit de la pierre contre le sol résonna dans le silence relatif et fit converger vers eux l'attention de tous les monstres alentours.

Chuuya n'était clairement pas convaincu par cette décision.

Et il le fut encore moins en voyant que le brun arrivait à peine à la soulever.

Heureusement que les zombies étaient lents.

« Tu parles d'un plan. » Il prit la brique des mains du lycéen avant de la balancer sur la tête du zombie le plus proche d'eux. Celui-ci tomba en arrière et se heurta aux autres qui venaient à toute allure dans leur direction ― Chuuya n'était pas peu fier de son lancer, mais l'autre idiot renifla d'un air méprisant.

NOIRES SONT LES CENDRES - 𝘀𝗼𝘂𝗸𝗼𝗸𝘂, 𝘀𝗵𝗶𝗻 𝘀𝗼𝘂𝗸𝗼𝗸𝘂Où les histoires vivent. Découvrez maintenant