[ʙᴏɴᴜꜱ 5]

205 11 5
                                    

「-𝙻𝚎𝚎 𝙼𝚊𝚛𝚔    𝟮𝟯

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

「-𝙻𝚎𝚎 𝙼𝚊𝚛𝚔   
𝟮𝟯.𝟬𝟰.𝟮𝟮」


Tu collais ta tête sur son torse, son corps te réchauffant lentement. Tu entendais les battements de son cœur réguliers pendant qu'il te serrait plus tendrement encore. Ton cœur contrairement au siens, s'affolait. Il prenait un rythme irrégulier, bien dénonciateur des sentiments que tu avais envers la personne qui te prenais dans ses bras.

Ton cerveau ne fonctionnait plus, laissant ton coeur envoyer toutes sortes d'émotions possible et laissant contrôler ton corps. Tu étais rouges cramoisi, peut être étais-ce la chaleur qui reignait dans la pièce où l'atmosphère entre vous deux, en tout cas, tu ne savais pas.

Tu aimais l'odeur qu'il dégageait, la façon dont il murmurais ton nom pendant que tu te blotissais le plus possible contre lui, ses bras tendre qui te prenaient dans ses bras, toi, la toute petite chose que tu étais. En fait, tu aimais tout simplement cette personne contre toi.

Mais c'était différent de d'habitude, tu le sentais. Bien que Mark tentait de cacher tout ce qu'il pouvait le tracassé, rien qu'en ayant vue ses yeux, tu savais qu'il était bouleversé.

Quelque part cela avait toujours été bizarre quand vous vous retrouviez puisque vous aviez tout simplement pas le droit d'être ensemble et de vivre votre amour au grand jour venant de deux sociétés rivales avec de parents très strictes.

Chaque fois que vous vous retrouviez vous aviez cette sorte de pression qui était sur vous au sujet de se faire prendre mais aujourd'hui c'était différent.

Aujourd'hui il y avait quelque chose en plus que Mark ne voulait pas dire.

Tu pris le temps de se rapprocher de son oreille avant de lui susurrer des mots doux. Mark rougissas, plutôt honteux du fait qu'il aimait bien ce que tu lui disais et ça aussi près de lui. Il aimait que tes cheveux eflleurs sa joue rosé par l'amour, ton eau de Cologne remplissant ses narines pendant que tu ricanais de ce que tu disais juste à quelque centimètre de lui.

D'habitude il t'aurai dors et déjà ensevelis de baisers mais aujourd'hui il avait une certaine retissence au fait de te prendre dans ses bras. C'était comme si, pour lui, il n'avait plus le droit de te toucher.

Il se releva, se décollant de toi. Il dessera la cravate qu'il avait autour du cou, celle ci le serrant à présent trop au niveau du col tellement il avait chaud et surtout à cause des mots coincés au fond de la gorge.

Tu l'observas faire toujours assise sur le sofa. Qu'est ce qu'il était beau quand il était toujours en tenue de travail. Tu l'admirais, ton homme, la seule personne qui avait presque l'allure d'un dieu à part entière à tes yeux.

[𝐍𝐂𝐓]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant