[ʙᴏɴᴜꜱ 7]

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「-𝙽𝚊 𝙹𝚊𝚎𝚖𝚒𝚗 𝟭𝟴

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「-𝙽𝚊 𝙹𝚊𝚎𝚖𝚒𝚗
𝟭𝟴.𝟬𝟭.𝟮𝟯」

𖦹ᴛᴡ : 𝐬𝐮𝐢𝐜𝐢𝐝𝐞, 𝐦𝐨𝐫𝐭𖦹

Vingt-neuf juillet, il pleuvait. Qu'est ce que tu détestais le Vingt-neuf juillet et encore plus quand il pleuvait. C'était supposé être tes jours préféré quand il pleuvait et les siens aussi mais maintenant ce n'étais qu'une tornade de sentiments amers.

Il y avait une nouvelle fête ce jour là précisément mais tu ne te ressentais pas d'y aller. Pendant que tous les autres s'étaient relevés et parlaient de lui avec décompression, toi tu n'avais pas réussie. Tu restais encore là à ressasser le passé alors que ça faisait quatre ans tout juste.

Tu n'avais pas cicatrisé avec le temps.

Parce qu'il était trop tard. Quand tu voulais enfin lui parler et lui avouer, il était trop tard. Quand tu pensais enfin soulager ses peines, il était trop tard et maintenant tu le regrettais. Peut être que si tu t'étais réveillé avant, lui ne serait pas rester dormir indéfiniment.

Tu continuais de rêver dans ton canapé, regardant ta télé éteinte refléter comment tu étais misérable. Il y avait des déchets sur la table mais tu n'avais pas le motivation de nettoyer et ça depuis une année.

C'etait de la négligence envers toi même mais tu ne pouvais rien faire d'autre.

Le temps était passé trop vite. Le temps n'aurait tout simplement pas dû passé entre.

Tu l'admirais tellement que tu voulais lui ressembler, marcher dans ses pas. Tu lui ressemblais déjà beaucoup c'était peut être pour ça que tu voulais le suivre, parce qu'il était un part de ce que tu étais.

Mais il ne restait plus rien à présent, seulement de la poussière. Une infinité de choses qui auraient pu se passer, une infinité de moment à passé et de souvenir à faire.

Cette pensée te rendait malade.

Tu pensais encore parfois qu'il était encore là et tu te surprenait à attendre ses appels. Tu te demandais même si tu n'étais pas devenue malade. Malade de lui.

Il avait laissé tant de vide à comblé que ça t'étais impossible de le remplir. Pas après toutes ces années.

Tu t'étais mise à détester la galette des rois après son départ. C'était psychologique. A chaque fois que tu avais la fève tu le choisissais comme roi. Depuis, tu te sentais mal si tu te devais choisir un autre roi que lui, si tu devais effacer ce souvenir.

[𝐍𝐂𝐓]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant