[𝐍𝐂𝐓]

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「-𝚉𝚑𝚘𝚗𝚐 𝙲𝚑𝚎𝚗𝚕𝚎  
𝟭𝟲.𝟬𝟭.𝟮𝟮」

T'approchant de ce piano noir, la foule vous regardant tous les deux,tu étais nerveuse. Nerveuse de jouer les mauvaises notes après tant d'effort. Replaçant ta robe correctement sur ton tabouret, tu lanças un regard vers ton camarade pour lui demander si il était prêt. Il te répondit d'un simple geste de la tête, plaçant son violon sur son épaule.

Tu soufflas un bon coup avant de commencer à jouer les première notes. Cet examen de fin d'année etait stressant surtout qu'il vous fallait passer devant toute une salle de théâtre remplie mais tu ne te fis pas surmontée par le stresse.

Tu posais doucement tes mains sur ces touches, allant lentement puis vite, tâtant, appuyant doucement sur ces touches noires et blanches de tes mains vives pour en faire sonné un mélodie harmonieuse. Tes mains jouaient toute seule, tu avais travaillé des mois pour cette mélodie et avais passé ton temps pour arrivé jusqu'à cet examen sans te decourager.

La mélodie était triste, lente, puis vint s'accélérer jusqu'à ce que Chenle commença à jouer du violon. Les deux instruments se mêlant ensemble, faisant ressortir un air commun à tous les gens présent dans la salle.

Chenle s'acharnait sur son violon, des gouttes de sueurs perlant sur son front. Il avait attendu toute sa vie pour rendre autant fière ses parents en se présentant ici, l'achèvement de toute une vie puisqu'il avait commencer si jeune.

Il jouait comme si sa vie en dépendait, se mélangeant à la musique, ressentant toutes les émotions qu'elle dégageait à travers son corps, bougeant ses mains d'une telle façon à reproduire ce qu'il ressentait intérieurement.

Sa main droite faisait des gauches droites incessant, pendant qu'il ferma les yeux, tentant d'oublier la foule de visage qui se tenait devant lui. Il appuyait un peu plus fort sur son violon, ce violon qui avait tout vue et surtout reçus les nombreuses larmes de Chenle qui se disait qu'il ne le fera jamais puisqu'il ne trouvait pas encore de partenaire pour ce projet final.

La mélodie devint plus grave et plus rapide. Tu bougeais tes mains un peu plus vite, fronçant les sourcils et ouvrant grand le yeux pour être sûre de ne manquer aucune touche possible. Tu avais appris cette musique par cœur et pourtant tu avais l'impression de tout faire mal.

Peu à peu c'était comme si le temps s'était figé. Vous deux, Chenle et toi, sur cette scène en bois, faisant votre représentation pendant que les gens vous regardèrent jouer. Pour eux, vous étiez des prodiges tant la musique était compliqué et tant vous la jouiez d'une manière aisée.

Cependant derrière tout ça se cachait un énorme travail insoupçonné. Tu avais sacrifiée des nuits de sommeille pur ces cinq minutes qui allaient déterminés ta vie et Chenle aussi. Vous jouiez tous les soirs, faisant des nuits blanches parfois, regardant vos instruments respectif qui allaient être le juges de vous même plus tard.

De plus, il y avait eus galère sur galère et vous en aviez bavé jusqu'avant la représentation. Vous aviez d'abord eus les mauvaises partitions et ensuite ton piano vous avais lâché. Miraculeusement vous aviez pus rattraper le retard et surpasser les autres en traquant de précieuses nuits de sommeille.

Jouant toujours la même mélodie, tu regardais le piano en face de toi. Tu avais partager de tellement bons souvenirs avec les pianos mais tellement de mauvais que tu ne saurais plus dire si tu aimais encore jouer de cette instrument ou non.

La foule complètement aveuglée par vos talents ne s'impatientait pas de la fin ,non, elle aurait voulut que cela ne se finisse jamais tant c'était beau et prodigieux. Ils le voyaient que vous y mettiez toute vitre cœur dedans.

Chenle ravala le peu de salive qui lui restait dans la bouche tellement elle était sèche. Il avait l'impression d'avoir le souffle coupé et la boule au ventre ainsi que les frissons dans se colone vertébrale se firent plus lourds pour lui mais rien au monde ne pouvait l'empêcher de continuer de jouer les notes sur son violon.

Allant de moins en moins vite sur tes touches, la fin était proche mais tu ne te relchais pas pour autant et Chenle encore moins faisant valser son archet d'une manière si élégante qu'on avais jamais vue cela.

À la fin, tu ne touchais plus aucune touche de ton piano mais continuais de le fixer. Chenle avait son violon dans une main et son archet dans l'autre. Vous priâtes le temps d'un instant, toi fixant ton piano pendant que le chinois fixait la foule encore dans l'obscurité.

Un commença à applaudir, puis un autre pour que toute la salle le fasse. Chenle mit son archet et son violon dans la même main puis vint te chercher pour saluer. Il te tendit sa main que tu pris délicatement pour vous avancer au milieu.

Au centre de l'attention, vous vous inclinâtes devant cette foule maintenant visible. Jamais ils n'avaient vue d'aussi jeune gens aussi performant et ils étaient sûrement tout aussi émus que vous.

Tu sortis de la scène toujours accompagnée de Chenle. Tu te mis à pleurer et lui aussi, la pression retombant de vos épaules. Tout ce dur labeur n'avait donc pas été vaint.

Vous étiez si content, une joie indescriptible qui s'emparant de vous après tout ces frissons de peur et ce stresse incessant.

"-Encore merci d'avoir accepté que je sois ton partenaire Y/N. Je ne pourrai jamais autant te remercier pour ça. Prononça Chenle. "

Tu repris ton souffle pendant que lui le perdit encore un fois en recommençant à pleurer pendant qu'une nouvelle musique jouée par un autre groupe commençait en arrière plan.

"-Bien sûre que tu peux me remercier Chenle, regarde."

Tu l'attrapas par son col de chemise, sa chemise si blanche qui avait été lavée plusieurs fois avant qu'il ne la mette pour faire bien attention à ce qu'il soit le plus présentable possible, avant de poser tes lèvres sur les siennes.

Chenle ne bougea pas pendant que les larmes que vous aviez sur les joues se mélangèrent ensemble au fur et à mesure du baiser. Le chinois tenait toujours son violon et ne pouvais t'étraindre correctement contre lui pour mieux t'embrasser mais cela te suffisait comme ça.

Pendant que tu devorais les lèvres de Chenle et qu'il faisait de même avec le tiennes, vous entendiez jouer Liebestraum de Listz derrière vous sur la scène que vous veniez de quitter.

Vous aviez fait forte impression et Chenle était si content de l'honneur que tu lui avais fait d'avoir été sa partenaire qu'il ne pouvait détacher ses douces lèvres des tiennes.

「END」
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-"1101𝚖𝚘𝚝𝚜"
ɴᴏɴ ᴄᴏʀʀɪɢᴇ́