Chapitre X

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~Un jour l'amour a dit à l'amitié:
Pourquoi existe-tu puisque je suis là ?
L'amitié lui a répondu :
Pour amener un sourire là ou tu as laissé des larmes~

~*~

    Il y avait une légende bien connue, celle de la princesse qui viendrait de la lune. On entendait dire qu'un jour, elle descendit du ciel tel une comète, tombant dans un champ de bambou. Et qu'un vieux coupeur trouva une mystérieuse canne de bambou reluisante, qu'il coupa. Un bébé de la taille de son pouce en sortit et, heureux de trouver une si belle petite fille, lui et sa femme l'élevèrent comme si elle était leur propre enfant.
Élias était gêné, de n'avoir aucun sujet de discussion. Alors Nariyuki lui demanda, humblement, un refuge, où il pourrait, le temps d'une soirée séjourné. Il gloussa et déclina, à cause de son père il ne pouvait amené chez lui, un étranger. Mais le jeune prince n'était pas déçu de cette réponse, il s'attendait à un rejet.
    Le vent souffla, un courant d'air frais parcourait les arbres et passa entre les deux enfants. Le malaise commençait à s’immiscer. Discrètement Élias posa une question qui trottait dans sa tête ; « -D'où vient-tu ? » Nariyuki doutait de la confiance du garçon. Venait-il à peine de se rencontrés, qu'aucun des deux ne savait la raison de leur rencontre. L'héritier fut, par il ne sait qu'elle raison, poussait à enter dans la forêt, puis en s'y enfonçant, il vit une personne allongé, point.
Le garçon aux cheveux blancs s’assit sur l'herbe enneigeait. Ce dernier semblait prêt à entendre son histoire. L'autre de la même manière s'assit en face d’Élias. Le doute de Nariyuki se volatilisa, en voyant le regard attentif de celui-ci. Alors, le jeune prince raconta son aventure du palais jusqu'à cette forêt. Élias fut surpris de voir avec-quelle aisance Nariyuki lui contait ce récit. Ce qu'il ne comprenait pas, c'était la manière dont, le jeune prince, un humain, à put l'air de rien s'introduire dans la sombre forêt. A vrai dire, la forêt d'Ashira s’étendait sur des milliers de kilomètres, engloutissant le quart de la planète. Mais le monde des Hommes était bâti à l'extérieur de celle-ci.
Le ciel s'assombrit, la nuit allait bientôt tombée. Le froid de l'hiver devint insupportable. L'heure était venue de rentrer. Pour se réchauffer, ils n'avaient pas d'autre choix, que d'affronté Orrions. L'idée, qu'un jour il défie son père ne lui était jamais venue. Remettre en cause son autorité, s'était comme signé son arrêt de mort. Il en va de même pour le jeune héritier, son père, le roi du royaume des Hommes, ne recevait que le respect, si un jour par malheur, celui-ci se voit directement insulté, la seule sanction possible était la peine de mort. Pourtant, ils s'apprêtèrent a pénétrés dans la maison. Élias ouvrit la porte et présenta un ; « Je suis renté », puis il la referma. Nariyuki, timide, se tenait légèrement en arrière. L'elfe lui répondit, avant de lui demandait de venir dîné. Il y alla accompagner de son ami. Quand Orrions aperçu le jeune garçon vêtu de rouge, la bonne humeur qu'il avait acquis durant la journée, se dissipa. Ce qui lui déplaisait le plus, c'était de savoir que son fils, était en contact avec un étranger. En voyant cela, le jeune garçon s’adressa, avec politesse, à l'elfe. En le suppliant, les genoux sur le planché mal poncer, il l’implorait de ne pas se mettre en colère et d'accepter d'offrir un endroit où, son ami pourrait dormir.
«-Combien de fois t'ai-je dit de ne jamais parler à un inconnu ? » Sur ces paroles, il le gifla sans retenu. Il était vrai qu’Élias avait été éduquer pour être un solitaire. Orrions inculquait, depuis qu'il la recueilli, de ne jamais faire confiance à qui que ce soit. Lorsqu'il désobéissait, il recevait un châtiment physique. Élias était battu par son père adoptif, qui croyait que le seul moyen pour qu'un enfant comprenne, était d'être mis à l'épreuve par la réalité de ce monde.
Sans pouvoir agir, Nariyuki observait cette scène atroce. Encore une fois il était incapable de faire quelque chose. Était-ce là son impuissance ? Ne pourrait-il qu'admirait l'étendue infinie de sa faiblesse ? Non, Élias était devenu son tout premier ami. Ils n'avaient pas beaucoup discutés mais un lien s'était crée entre eux deux.
Soudainement, il prit la main d’Élias, à terre, fatigué par les coups qui lui ont été infligés. Et se mit à fuir. La situation était trouble mais en voyant Nariyuki lui tenir la main, il ressentit la chaleur qui émanait de tout son être. C'était cette même chaleur qu'il ressentit lors de leur première rencontre.     La confiance qu'avait placé le jeune garçon au prince était plus grande que celle qu'il avait donnée à son père. Il voulait qu'entre les mains de son ami, soit placée sa vie.
    Les bois n'étaient pas sûr. Les monstres de la forêt rodait durant la nuit, dans l'espoir qu'une âme égarée saurait trouvée asile dans les ténèbres du soir. La forêt d'Ashira, possédait une variété hallucinante de végétaux et de créatures magiques. Cette écosystème ne tenait que sur le fil de la magie. Car nul créature ne pouvait survivre sans en dévoré d'autre. La magie ne venait pas de la terre. Seul les êtres vivants en étaient dotées. Ainsi se créa la société du monde des Syph.
La Lune brillait d'un éclat étincelant. Le ciel, lui, avait rassemblé tellement d'étoiles, que l'on vit danser toutes ces lumières.
Les jeunes amis éraient dans la forêt. Ils s’arrêtèrent observé les cieux, où une étoile luminescente s'approcha à toute allure d'un champ de bambou. Tout près d'eux avait atterrit cette étrange astre, qui comme une comète était descendu du ciel. Celle-ci sut attirée l’attention de quelques gobelins. Ces êtres à la peau verte aussi haut qu'un enfant de sept ans, étaient d'une classe de niveau D-. Un vrai gâteau pour un aventurier d'en terrassé un. Cependant, c'était une tout autre histoire pour des enfants de douze ans, n'étant pas expérimenter aux combats.
Ils prirent le chemin qu'avait tracé la zone d'impact de l'astéroïde. Les arbres qui s'étaient densément développés fut rasée. Une large clairière s'était formée. Des gobelins se dressèrent devant eux, les encerclant. Ils ne pouvaient allés plus loin, n'étant pas armés. C'était alors que derrière leurs ennemis apparu une ravissante enfant. De long cheveux tombaient sur le sol poussiéreux. Ils brillèrent d'un jaune, aussi éblouissant que le soleil. La gamine était nue. Elle ne portait aucun vêtement, puis elle leva son bras. Une vocalise accompagna ce geste. La terre se mit à tremblée et un séisme succéda. L'étrange enfant tombée du ciel, avait d'un simple geste envoyaient tous les gobelin dans le Royaume des Démons.

A suivre

Yggdrasil ; dans la croisée des mondesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant