Ayato x Fem!Reader {Your Highness}

🟦Chapter 11: Lover Boy🟦

Aujourd'hui est un nouveau jour. Je me rendis comme d'habitude au domaine Kamisato, directement j'aperçus Mlle Ayaka, je la saluait.

Thomas: Bonjour (Y/n)!

(Y/n): Bonjour, tu m'as l'air de bonne humeur aujourd'hui.

Thomas: Comme les autres tout compte fait.

(Y/n): Ahah... C'est vrai. Saurais-tu où se trouve M. Le Commissaire?

Thomas: Je ne l'ai pas vraiment aperçu.

(Y/n): Je vois... Je vais aller le chercher.

C'est bien étrange... Peut-être qu'il dort toujours. En même temps, au vue du travail ce n'est pas étonnant. J'espère qu'il pense au moins à manger. Je parcourais les couloirs du domaine sans le trouver. Il ne restait que son bureau, du moins son lieu de travail habituel. Arrivée devant la porte je commençais à toquer. J'entendis un léger "entrez". Il devait forcément savoir qu'il s'agissait de moi.

Ayato: Oh, c'est toi (Y/n).

(Y/n): Je vous ai cherché partout, et Thomas m'a dit ne pas vous avoir aperçu.

Ayato: Ce n'est rien, je me suis juste mis plus rapidement au travail que d'habitude.

(Y/n): Prévenez, au moins moi la prochaine fois s'il vous plaît. Je vous cherchais partout, je m'étais un peu inquiéter.

Ayato: Je vois, excuse moi, je ferais attention à l'avenir.

(Y/n): Mon rôle est de vous protéger et de vous assister, je dois m'assurer que vous allez bien et que rien ne vous arrive.

Ayato: Tu as raison. Cela ne se reproduira plus.

Même si je sais bien qu'il n'a pas besoin de moi pour sa sécurité, il est nettement plus doué qu'il en a l'air. Les Kamisato sont reconnus pour leur maitrise de l'épée. En tant que meneur du clan, il se doit d'avoir une bonne maitrise dans ce domaine, c'est essentiel.

Ayato: Pour me faire pardonner, que dirais-tu de partir en ville aujourd'hui?

En général je me fais dévisager dans la rue donc je ne vois pas pourquoi il trainerait avec une personne telle que moi, c'est inutile.

(Y/n): J'aimerais bien mais... Si je traine avec vous les regards vont vous dévisager.

Il me pinça le nez un peu plus fort que d'habitude, il me fit un peu mal.

Ayato: Qu'importe, c'est avec toi que je veux sortir, ce n'est pas pour t'exposer publiquement, et puis honnêtement, ce ne sont pas de telles personnes qui vont me dire avec qui trainer.

(Y/n): C'est d'accord.

Je ne suis tout de même pas très d'accord avec cette idée, il semble très confiant. D'habitude je ne vais pas avec lui en ville, c'est plus Thomas. J'ai tout simplement honte de salir son image mais ce qui me révolte c'est que je n'ai rien fait. Je ne vois pas en quoi je suis le problème, ma famille, oui, mais je n'ai rien à voir avec leurs affaires.

Ayato: Allons-y.

(Y/n): Oui!

Nous sortons, et étonnement, personne ne faisait attention à ma présence. Peut-être que tout s'est arrangé? À moins qu'ils m'ont oubliés. C'est assez rassurant...

Ayato: Où veux-tu aller?

(Y/n): Je ne sais pas vraiment, faites comme cela vous chante.

Ayato: J'ai pensé au salon de thé Komore, qu'en dis-tu?

(Y/n): Bien sûr !

Il n'attendit pas pour y aller, en même temps, il n'avait rien manger ce matin, ce n'est pas étonnant.

Nous étions arrivés devant le comptoir et il avait prit sa commande.

Ayato: As-tu besoin de quelque chose en particulier?

(Y/n): N-non pas du tout !

Ayato: Je ne vais pas rester là à manger seul pendant que tu me regardes.

Alors il commanda de quoi manger pour deux. Je lui suis encore redevable.

Ayato: Ahah ne me regarde pas ainsi, c'est moi qui invite.

(Y/n): Très bien je vois.

Il m'a l'air jovial aujourd'hui, enfin bon ça ne change pas vraiment de d'habitude.

Les gens le considère comme le Grand Commissaire, celui à la tête des Kamisato. Une personne avec du prestige, mais lorsque je le vois rire, sourire ou être de mauvaise humeur, il n'est qu'une personne ordinaire.

Les gens lui donnent pleins de statuts qui ne pourraient tenir une feuille entière alors que tout compte fait, il n'agit que comme tout le monde devrait. Parfois je l'admire.

Ayato: Un problème (Y/n)?

(Y/n): Non pas du tout j'étais simplement dans mes pensées.

Ayato: Tes pensées m'intéressent, pourrais-tu me les raconter?

(Y/n): Euh-... C'est à dire que...

Au final, je lui expliquais ce à quoi je pensais. Je m'attendais à un regard jugeur mais contrairement à ce je pensais, il riait.

(Y/n): Qui y-a-t-il de drôle?

Ayato: Je ne te pensais pas capable de telles réflexions. Mais à vrai dire...

(Y/n): Mh?

Il abordait un sourire magnifique et adorable sur son visage.

Ayato: Je suis heureux que tu ne me vois pas comme eux le font.

Son sourire, et l'expression sur son visage... À l'instant même, j'étais heureuse de le voir sourire mais aussi, ravie de passer mes journées à ses côtés. Je dirais même, qu'il est aujourd'hui ma source de motivation.

(Y/n): Vous êtes magnifique lorsque vous souriez.

Je crois bien que j'aurai dû fermer ma bouche sur ce point. Étonnement il me regarda dans les yeux légèrement gêné, ses joues étaient toutes rouges. Je crois bien que j'ai instauré un malaise...

Ayato: (Y/n),

(Y/n): Oui?

Ayato: Je te remercie, (Y/n).

Ses remerciements étaient sincères et ne manquaient pas de le prouver.

Je suis heureuse d'être avec lui. Non... Je...

Je suis heureuse de faire partie de sa vie.

~À suivre~

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-Bonus-

À propos d'/de (Y/n)...

-Mh? Mon actuelle assistante? Elle m'est dévouée et applique son travail à merveille. En dehors de cela je l'aperçois généralement de bonne humeur elle est investie dans ce qu'elle entreprend. Passez une journée avec elle et vos lèvres se courberont sans cesse. Ahah...
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Bien le bonjour, qu'avez-vous pensé de ce chapitre? J'espère qu'il vous est suffisant.

En ce moment j'ai un peu du mal à écrire des histoires mais j'essaye vraiment de me concentrer du moins, plus que d'habitude.

Passez une bonne journée ou soirée !

Et merci de lire mes écrits. C'est très réconfortant.