Chapitre 2 - Le temps de compréhension

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On regardais tous la poupée étrange alors que son rire fort aiguë pour la taille de cette chose résonnait dans l'intégralité de l'espace du jugement.

» Par quoi commencer ?, disait-elle tandis qu'elle commençait à faire un mouvement.

Le silence régna quelques secondes, permettant à tous de nous regarder sans savoir comprendre ce qu'il se déroulait sous nos yeux. Les treize personnes étaient débout et écartaient du corps du récent défunt.

Mon cœur battait de plus en plus fort à cause de mes nombreuses questions qui traversait mon cerveau durant ce court lasse de temps. Seul, en tête à tête avec mes pensée, je commençais à avoir un début de plusieurs théories de ce qu'il pourrait se passer dans le futur.

« On s'est fait kidnapper pour du chantage ? ».

« C'est possible ... », pensais-je en secouant lentement la tête d'une léger va et vient « Mais beaucoup trop gros ... ».

La peluche bougeait de plus en plus vite.

« On est séquestré pour une vengeance ? Je ne le pense pas. J'ai rien fait pour être ici. Si c'est bien cela, cela veut dire qu'on va tous ... y passer ? ».

« Ou à moins qu'on a été capturer par un tueur en série ? Ce qui est fort possible dans la situ... ».

La poupée reprit assez rapidement son discours, tandis qu'elle coupa nettement ma pensée.

» Je peux vous dire déjà que vous avez réussi la première étape.

On regardait tous la poupée, sans lui coupé la parole.

» Et comment ? C'est très simple, si l'un de vous n'avait pas tenter de forcer le mécanisme du bâillon ... à cette heure-ci, vous serez déjà tous mort. De la même manière, que celui qui est allongé sur le sol. C'est dommage, j'aurais bien aimé voir cette scène ... Et c'est grâce au gros lourdeau, qui s'est débattu comme un porc pour pouvoir enlever le collier, que vous êtes en vie. Hi hi hi hi ...

Je restais pétrifié par chacun des mots que la chose prononçait assez simplement.

» Je peux vous le dire d'avance, qu'il y n'a aucun moyens de pouvoir vous en fuir de ce lieu. J'ai bloqué toutes les issues de sorties, y compris les bouches d'aérations et les accès aux égouts, sans parler des portes et des fenêtres. Considéré ce lieu comme votre propre tombe et que ce sera votre dernier contact humain, avant que la police trouve le lieu. Enfin, si vous êtes toujours en vie, à ce moment-là. Bien entendu, à l'extérieur, personne n'est au courant de votre disparition. Et j'ai donné des informations à un contact externe qui transmette des fausses informations qui prouve que vous avez tous commis un délit, comme ça personne ne pourra trouver ce lieu.

Mes jambes ne tenaient plus lors de l'annonce.

« Merde ... », pensais-je tandis qu'une larme commençait à se former au coin d'un de mes yeux.

» Mais, sinon je connais personnellement un moyen de sortir d'ici. Il doit rester seulement deux personnes vivantes. Hi hi hi hi. Cela veut dire que onze d'entre vous devra mourir d'une façon ou d'une autre ... Mais si, je vous laisse vous entretuer, ça pourrait être pas intéressant pour le public. Alors je vous ai concocté six petit jeux mortels, que j'ai toujours rêver de voir de mes propres yeux depuis tout petit. Enfin, je vous dis cela, mais il est possible que je fasse partie d'une des treize personnes qui se retrouve enfermé. Hi hi hi hi . Bien entendu, j'ai positionné plusieurs caméras dans l'intégralité de la bâtisse pour regarder ce que vous faite.

Par l'annonce de ce dernier point, tout le monde se regardait de méfiance.

« Dans quoi je me retrouve ? ».

Mon corps commençait au fur et à mesure de ses paroles à se crisper.

Je comprenais parfaitement à ses paroles que je ne pourrais jamais le revoir. Lui, qui a réussi à faire battre mon coeur de pierre. Lui, que j'aime.

» J'expliquerais chaque jeu au fur et à mesure que les évènements se dérouleront. Mais aussi les contraintes qu'il y aura. Chaque jeu aura un niveau de difficulté par étoile: ça peut aller d'une étoile, niveau très simple avec très peu de mort, à cinq étoiles, avec très peu de survivant. Bref, je vais continué l'explication en détail des évènements. Hi hi hi hi. Entre chaque jeux, il y aura un battement de vingt-quatre heure d'écarts. Durant ce court espace de temps, vous pourrez faire ce que vous voulez : dormir, baiser, voir même tuer si vous en avez l'envie. Bien entendu, les jeux pourront se dérouler que ce soit de jour comme de nuit, à n'importe quel heure et d'une durée variable. Il y aura une sonnerie qui indiquera le moment de la convocation, du début de la partie et de sa fin.

Mon regard se fixa sur l'une des victimes. Une jeune femme qui devait avoir le même âge que le mien, qui prié de ses deux mains, peut-être pour tenter de réussir à survivre le plus longtemps possible, pensais-je.

» Au cours de la partie, il est tout à fait possible que je vous rajoute de nouvelles règles pour pouvoir facilité le jeu.  J'ai oublié de parler d'un point important durant vos vingt-quatre heures de repos. Pendant ses vingt-quatre heure, il y aura un vote qui se déroulera à la douzième heure pile. Ce vote permettra délire la personne, qui aura soit un gage, qui soit mortelle ou non, soit un handicap dans le jeu suivant. Bien entendu, ce sera le hasard qui choisira.

Le silence regagna très rapidement à la fin de sa parole.

» Bien, bien, bien ... On va pouvoir commencer directement le premier jeu. Je l'ai intitulé « Toi, tu vis. Toi, tu meurs », le niveau de difficulté est d'un seul étoile. La règle est très simple. Dans chacun de vos corps, j'ai inséré une clef. Une clef qui permet d'enlever le bâillon mortel que vous portez actuelle. Une seule clef peut ouvrir n'importe quel muselière, pas obligé de vous entretuer je précise. Sous chacun de vos bureaux, se trouve un scalpel. Ce scalpel vous sera utile pour récupérer la clef, je vous laisse votre imagination faire le travail. Bien entendu, vous pouvez utilisé la carcasse du défunt pour récupérer sa clef. Ah et aussi, c'est celui qui a récupéré la clef, qui peut choisir à qui il va libérer de vos baillons. Et Je tiens à préciser que vous avez une heure pour réussir, si cela dépasse votre tête ainsi que votre vie fera boom.

J'avais du mal à déglutir après les paroles que je venais d'entendre. Mais je savais ce que j'allais faire. J'attrapais le scalpel, qui était collé à l'aide d'un scotch marron et le serra fortement.

» Que la partie commence ! À moins que je vous dise, « que votre sort vous soit favorable », pour mettre une petite référence d'un livre que je suis entrain de dévorer. Hi hi hi hi ...

Le temps d'un instantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant